Atem x Yugi Les Destins Liés

Chapitre 12

Heba grimpa de nouveau sur le pharaon, et lui dévora le cou à coups de baisers. Il les fit descendre sur son torse pour s'arrêter sur ses tétons. Il lécha et mordilla ses extrémités rosées si sensibles.

- Anh ! Heba...

Le plaisir d'Atem remontait en flèche. Il se laissait dévorer par son compagnon pendant que ses mains reprenaient les caresses dans le bas de son dos. Heba martyrisait ses mamelons et le pharaon n'en pouvait plus. Il fit doucement descendre ses baisers sur son bas ventre et dénoua doucement les vêtements qu'il lui restait. Heba pu contempler le sexe si puissant de son roi. A part le sien, il n'en avait jamais vu d'autre et il ne pensait pas que cela pouvait être si volumineux. Une boule de stresse lui monta aux tripes. Mais qu'importe là tout de suite, il avait juste envie de faire du bien à son amant.

- Heba, j'aimerais que ce soit moi qui te le fasse.

Atem porta Heba pour le mettre en position assise, au bord du lit, puis s'agenouilla devant lui. Il lui retira également son shentis et le laissa tomber au sol. Il approcha sa bouche entre ses cuisses et y déposa de délicats baisers, avant de se diriger vers son pénis en érection. Atem fit passer sa langue sur les testicules de son ange, puis la fit remonter le long de sa verge.

- Anh, ... Anh, mon roi.

Heba jeta sa tête en arrière tellement cela lui faisait du bien et plaça une main derrière la tête d'Atem. Le pharaon ressentait tout le plaisir qu'il lui procurait en sentant ses doigts si tremblants contre son crâne. Il prit ensuite son gland complétement en bouche et l'enfonça. Heba ne pouvait s'empêcher de gémir de plaisir en appelant les différents titres de son maître. Il n'avait jamais connu de telles sensations de toute sa vie. C'était sa première fois. La langue d'Atem jouait avec le sexe du plus jeune et ses vas et viens étaient de plus en plus rapide.

- Atem,... Anh, Atem ! Je ... Anh, Je n'en peux plus !

Heba se déversa dans la bouche du roi. Mais celui-ci n'avala pas. Il prit un des vêtements qui trainait sur le sol et recracha la semence de son partenaire dedans.

- Par tous les dieux, je suis vraiment désolé mon pharaon. Je ne voulais pas...

- Tout va bien Heba. C'est aussi une première pour moi. Je ne connais pas bien tout ça. Mais je veux continuer d'explorer ton corps.

Heba lui fit un signe d'approbation, Atem embrassa de nouveau ses douces lèvres et lui susurra à l'oreille.

- Mets-toi sur le ventre.

Heba s'allongea sur le ventre, et Atem pu avoir le plein accès à son postérieur. Il le gouta, et lui lécha l'anus, puis il se mit un doigt dans en bouche pour l'humidifier et commença à titiller l'entrée du plus jeune. Il fit ensuite lentement pénétrer un de ses doigts.

- Ça te fait mal ?

- Non, tout va bien.

Atem lui enfonça un deuxième doigt. Le visage d'Heba se crispa un peu par cette intrusion. Atem sentait que son corps était tendu et il commença un petit mouvement de ciseau pour le dilater un peu. Une fois habitué, Atem lui enfonça un troisième doigt qui laissa lui échapper un petit cri de douleur.

- C'est le dernier mon amour. Je te le promets.

Entendre les mots « mon amour » provoquait des vertiges dans le ventre du plus jeune. Pour l'aider à se détendre, Atem massa les bourses de son amant. Puis attrapa son pénis redevenu aussi dur, à pleine main. Il commença de légers vas et vient, pour ne pas lui faire mal. Le plaisir reprit place sur le visage d'Heba et Atem sentait son anneau s'élargir. Il était prêt.

Il se releva et alla chercher un flacon dans une petite table, un peu plus loin.

- Qui y a-t-il à l'intérieur ?

- De l'huile. C'est pour que ce soit plus facile.

Heba ne comprenait pas. En quoi de l'huile allait les aider ? Atem en versa dans ses mains, et en badigeonna son membre bandé. Il comprit alors pourquoi l'huile aller les aider.

- Atem, c'est beaucoup trop gros. Cela ne rentrera jamais !

- Heba, fait moi confiance. Je te promets que ça ira. Et si vraiment tu n'aimes pas. Nous arrêterons.

Atem lui insuffla ses paroles pour le mettre en confiance. Mais lui-même ne savait pas s'il apprécierait. Heba se mit à 4 pattes sur le lit et Atem se tenait debout derrière lui. Il approcha son sexe de l'entrée d'Heba et commença à y frotter le bout de son sexe, puis se décida à rentrer le gland.

- Tout va bien ?

- Oui. C'est déjà rentré ? Je pensais avoir beaucoup plus mal que ça.

Atem eu un petit sourire, puis s'enfonça plus profondément dans son amant. Heba se retenait de ne pas crier de douleur.

- Anh ! Heba ... c'est si chaud et si serré.

Il attendit encore une fois que son intérieur s'habitue à lui, et s'occupa à nouveau du sexe du plus jeune. Plus le plaisir revenait, plus son anus s'élargissait. Atem commença de petits coups de hanche, mais le plaisir était si intense qu'il enchaina rapidement sur des mouvements plus brutaux. Heba, dont le visage reflétait la douleur, laissa peu à peu place à la jouissance. Le roi cognait contre sa prostate, et les cries du plus jeune se faisaient de plus en plus fort.

- Oh, mon roi... C'est si bon !

- Heba. Anh ... J'aime tellement être en toi.

- Enfoncez, ... enfoncez moi, ... encore plus.

Atem ne se fit pas prier et ne s'accorda plus aucune retenu.

- Heba, Je vais jouir.

- Venez ... venez en moi !

Le souverain poussa un long crie de plaisir et éjacula dans son partenaire. Heba, joui à son tour dans la main du souverain.

Ils tombèrent extenués sur le lit, haletant. Atem déposa un doux baiser sur le front d'Heba et ils se dirigèrent ensuite vers le bain privé du pharaon pour se nettoyer. De retour dans la chambre, Heba ramassa ses affaires par terre et commença à se rhabiller.

- Où vas-tu ?

- Eh bien je vous laisse vous reposer, et je retourne dans mes quartiers.

- Nous venons de faire l'amour, et on s'est promit de partager ces quatre jours ensemble. Donc redéshabille toi et viens là.

Heba était heureux qu'Atem lui fasse cette demande. Il n'avait pas du tout envie d'être séparé de lui. Il laissa tomber ses vêtements, et installa sa tête sur son torse. Le roi l'entoura de ses bras pour le serrer contre lui.

- Alors, comment as-tu trouver ça ?

- C'était merveilleux, Atem. Vous aviez raison.

- C'est aussi la première fois pour moi que je prends autant de plaisir. Toutes mes sensations étaient décuplées.

Un dernier baiser, et Ils s'endormirent l'un contre l'autre.