𝘓𝘦 𝘓𝘰𝘶𝘱 𝘥'𝘈𝘳𝘨𝘦𝘯𝘵 ••• 𝐿𝑒𝑔𝑜𝑙𝑎𝑠

Chapitre I

Dans ce mauvais état c'était la mort qui l'attendait bien gentiment. Mais elle ne pouvait reculer, un pas de trop vers l'arrière et c'était voué a l'échec dans le fleuve. Ce n,etait certainement pas ainsi qu'elle voudrait mourir et encore moins a cause de lui, si elle devait perdre la vie, ce ne serait pas de sa main. Si elle le laissait la tuer, il en conclurait qu'il aurait gagner, il pouvait toujours rêver.

- Renonce ! Tu sais très bien que tu ne gagneras pas cette fois !

Mais elle ne l'écoutait pas. Elle cherchait un moyen de se libérer de cette emprise. Face à elle se trouvait son ennemi et dos a elle se trouvait le bord d'une falaise. Des deux manières elle y trouvait très certainement la mort. Les deux options n,étaient pas réellement la manière dons elle rêvait pour quitter le monde des vivants.

Quoi faire ? Elle savait que son mauvais état ne lui fera pas gagner ce combat. S'avouer vaincu devant lui, cet imbécile, ce rustre ou foncer tout droit devant les portes de la mort ? Le laisser lui transpercer le cœur, puisqu'elle ne le suivrait pas du tout comme une bête suit son maitre, ou mourir noyer, ne pas savoir nager n'était pas ce qui lui sauverait la vie.

Tout compte fait, la deuxième option était meilleur. Qui voudrait s'avouer vaincu face à un tel insolant ? Certainement pas elle, pas âpres ce qu'il a fait. Plutôt se battre et mourir que de le suivre comme un chien.

La communauté suivait le courant du fleuve depuis la veille, ils avaient quitté la Lorìen une journée auparavant. Les Hobbits observaient le paysage qui défilait lentement avec le courant qui n'était pas a sa plus grande vitesse ce jour-là. Mais c'était le moyen le plus rapide et sûr pour se rendre en Mordor, sans a la fois trop se fatiguer. La marche les aurait épuisée rapidement, sauf peut-être Legolas, Aragorn et Boromir.

Le rôdeur étant dans la même barque que Frodon et Sam, il entendit soudainement des lames s'entrechoquer, un combat n'était pas loin du rivage. Si il s'agissait d'orque, leur traverser ne sera pas avantagée. Priant pour que ce ne sois pas des Ennemis, son regard divagua sur les deux côtés du fleuve, mais rien seulement la forêt à perte de vue. Cependant, il croisa le regard de Legolas, il avait lui aussi entendu ces bruits.Avec son ouïe elfique, ce n'était pas si étonnant.

- Renonce ! Tu sais très bien que tu ne gagneras pas cette fois !

C'était la voix d'un homme, il semblait en colère, mais contre qui ? Si son ton aurait été plus calme, cela pourrait être un homme doux et affectueux. A ces paroles, cela semblait quelqu'un qui cherchait l'autorité gouverner par l'aveuglement.

Cette voix provenait de plus haut au bord d'une falaise.

Une femme faisait dos à la mort, face à elle se trouvait une mort différente.

- Pourquoi résiste-tu à te soumettre ? Tu préfères vraiment trouver la mort, maintenant ?

- Qui voudrait se soumettre devant toi ? Un homme qui n'a aucun honneur, qui n'est pas digne de confiance et qui ne possède aucune loyauté, cracha la femme toujours dos au bord de la falaise.

Sur ce, une flèche, sortant subitement du feuillage des arbres, probablement un archer caché, vint lui frôler la joue, en même temps le pas de trop était arrivé. Elle tomba du haut de la falaise.

Elle sentit l'eau froide et presque glacial lui transpercer les tripes, elle ferma les yeux prête a échapper son dernier souffle. Alors c'était ainsi qu'elle rejoindrait les Terres d'Aman ? Contrairement a ce que les textes disait, elle ne vit pas sa vie défiler sous ses yeux. Un noir ténébreux et profond, rien d'autre. Se sentant porter par le courant au fond des abysses où son corps finirait ses jour, elle ouvrit une dernière fois les yeux et ne vit qu'un rayon de soleil l'atteindre au fond du fleuve.

Toute la communauté ayant assisté à ce spectacle, était perturbée. Seul Aragorn fut le premier à agir, il sauta à l'eau pour essayer de sauver cette femme, même si elle lui était étrangère, elle restait tout de même un être vivant. Déjà trop de vie etait retirer a cause du mal que répandait le Mordor, si une pouvais être sauver, alors il fallait prendre cette chance.

- Aragorn ! tenta de l'appeler Legolas.

Mais le Dunedain l'ignora. Ses yeux s'habituèrent rapidement à la noirceur des abysses. Il put repérer la femme étant porter par le courant, inconsciente. Son dernier souffle semblait s'échapper de sa bouche entrouverte. ses yeux clos lui prouvèrent qu'elle ne serait pas en état de se secourir elle-même.

Il parvint a nager jusqu,a elle où il l'atteint par la taille. C'est avec une certaine difficulté qu'il tenta de remonter a la surface. Lui-même commençait a manquer d'air. Les vêtements trempés les rendait lourd. N'ayant qu'un bras et ses jambes, ainsi qu'un corps a transporter, la tache n'était pas facile.

Il parvint a suffisamment s'approcher du rivage pour toucher le fond et marcher vers la berge. Ses amis s'étaient accostés afin de lui venir en aide. Ils n'allaient certainement pas le laisser se débrouiller seul.

Le rôdeur déposa le corps de la jeune femme au sol, il passa un doigt sous son nez pour vérifier si elle respirait. En effet, mais avec difficulté. Il la tourna sur le côté, elle cracha de l'eau, mais ses yeux restaient clos. Mais se remit à respirer a une vitesse normale écartant tous risque de la laisser partir en quête de Mandos et ses traits sévères et peu amical.

Tout comme le reste de la compagnie, Aragorn regarda cette femme toujours inconsciente pour essayer de trouver un indice qui pourrait les aider sur son identité. Il ne s'agissait certainement pas d'une Elfe a la vue de ses oreilles rondes, ni d'un Nain ou d'un Hobbit avec la taille de celle d'un Homme.

Elle était vêtu d'habits noir, comme ceux des rôdeurs. Des cheveux blancs immaculés étaient étrangement cours lui arrivant à peine à la nuque. Ils lui arrivaient à peine à la nuque.

(Voici un peu à quoi ça ressemble, je suis nul en description)

Un ceinture d'arme était sa taille, un fourreau contenant une épée. A sa cuisse gauche, un second fourreau qui conservait une dague.

C'était inhabituel de voir une femme armée, mais ce qui attira le plus l'attention du rôdeur fut ses dents. Elle avait la bouche entrouverte. Des canines qui devaient certainement être tranchante comme des rasoirs. Quelqu'un a qui il ne fallait pas prendre le risque de libérer le tigre qui se cachait dans ses entrailles. Bien qu'ils ne s'en doutaient pas, cela etait bien vrai. Laisser la clé trop prés de la cage pourrait entrainer de mauvaise aventure.

Qui etait cette femme au trait inhabituel ? Seul les Valars le savaient ?