Outer Banks//Talia

Chapitre 48 La fête va pouvoir commencer !

La soirée, se termina, personne n'avait oser parler de Rob ce qui et on va se mentir me réjouissais fortement. Ce qui se passa ensuite fut assez simple : Kiara partit la première soit disant pour aider avec le resto de ses parents, mais si vous voulez mon avis, ce n'était qu'une excuse... Pope fut le second à partir, il avait reçu un coup de fil de son père qui lui demandait de rentrer chez lui également. Ceci nous amena à nous retrouvez tous les quatre et à prendre la décision de passer la nuit chez Barb. Quand nous arrivions, Barb, Taylor et Culson étaient déjà coucher. Nous montions les escaliers discrètement pour nous retrouver sur le pallier. Au moment d'aller nous coucher, JJ se dirigea vers la chambre de JB à la plus grande surprise de ce dernier.

- Bah, quoi ?! c'était pas filles garçons séparés ? Questionna JJ sentant le regard interrogatif de son ami.

- JJ a raison, j'préfère faire profil bas avec Barb. À la fin de ma phrase je tirai brusquement Sarah, dans ma chambre, par le bras. Mais juste avant Sarah et JB s'étaient jeter un regard frustré.

La nuit se passa sans encombre. Au petit matin vers quatre heures et quart, JJ descendit les marches. Il se dirigea dans la cuisine pour manger un truc avant de partir bosser. Quand il ouvrit le placard, une lumière s'alluma derrière lui.

- Tiens, tiens, tiens. Fit l'homme qui venait d'allumer la lumière. C'était Taylor, il mangeait des tartines. Je me trouvais sur sa droite, dégustant mon meilleur bol de Lucky Charm. À ce moment, je ne rêvais que d'une chose, m'enterrer à six pieds sous terre. JJ se retourna et nous aperçut, mon oncle et moi-même. Je pense que lui comme moi, avions oublier que nous travaillions dans le même hôtel. Je me levais gênée.

- Bonne journée Taylor ! Fis-je en attrapant mes affaires et en l'embrassant sur le front.

- T'y va pas un peu tôt ?

- Nan, t'inquiète mieux vaut être en avance...

- Okay ! Quand je fus dans l'entrée, enfilant mes chaussures Taylor s'adressa à JJ. Vous y allez pas ensemble ?

- Euh... JJ était gêné. Si si. Il n'osa pas refuser. Il me rejoignit, sans mot en espérant trouver un moment pour me parler.

Le chemin pour se rentre au Pélican ne m'avais jamais parut aussi long. JJ et moi marchions côte à côte, sans parole ni geste d'affection. Chacun regardait droit devant lui espérant arriver au plus vite, à l'hôtel. Une fois arriver là bas, nous nous séparions afin d'effectuer nos tâches respectives.

J'essayais de rester concentrée, malgré mon égarement à chaque fois que je passais devant ce placard. À la fin de mon service, justement, je passais devant cette petite porte et désirai secrètement que JJ m'y attire une seconde fois, mais ceci ne sa passa pas. Suite à ses pensées inopinées, marchant toujours dans ce couloir, un homme passa sur ma gauche sans que je n'y prête attention. Quand mon cerveau assimila les informations, je me stoppai net.

JJ avait fini ses tâches du jour et marchai dans ce couloir. Il aperçu cette porte et repensa la la veille. Une femme passa près de lui sans s'arrêter. Il la dépassa et s'arrêta quand il compris qui s'était.

Les deux adolescents, se trouvaient, dans ce même couloir, à quelques mètres seulement, se tournant le dos. Chacun se retourna furtivement comme pour vérifier l'identité de la personne se trouvant derrière lui. JJ et Talia se trouvaient maintenant face à face sans savoir qu'ils pensaient à la même chose. Sans même se parler, et après seulement une ou deux secondes, ils se retrouvèrent, tous les deux, dans ce placard.

Ce schéma se répéta les jours suivants et pendant près d'une semaine, sans qu'aucun des deux ne parle à l'autre. Cette situation convenait bizarrement à la jeune fille. En effet, Talia, savait que JJ souhaitait mettre les choses au clair mais qu'il n'osait, par peur que cela ne les sépare à nouveau. Pourtant, elle continuait, tous les jours de le retrouver dans ce placard. JJ n'était pas aussi satisfait de ce fonctionnement, mais il ne parvenait pas à trouver le moment opportun pour déballer son sac. Pourtant il se doutait qu'il devrait le faire tôt ou tard.