Chapitre 56

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Retour à l'Institut

Auguste Armand : N'en veux pas à Emmanuel pour son comportement à Noël

Emmanuel Teyssier : Merveilleuse... 

Momo : Bah, s'il te regardait c'était parce qu'il s'inquiétait pour son élève...

Neil Melendez : Elle a cette petite étincelle qui la rend encore plus lumineuse. Vous n'avez jamais eu cette sensation quand vous êtes près d'elle ?

Je me réveille ce matin, avec une tête à peu près lucide. En regardant autour de moi, je vois qu'il est 7h30 et me lève pour me préparer

Je descends pour retrouver Momo au salon, devant le petit déjeuner qu'il nous a préparé

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Je descends pour retrouver Momo au salon, devant le petit déjeuner qu'il nous a préparé. Satine et Nymeria se lèvent pour me faire la fête. Je caresse leurs têtes avant de m'avancer vers mon meilleur ami

Mackenzie : Tu n'as pas vu ma blouse de cuisine ?

Momo : Huuum... Non. Je l'ai lavé il y a 3 jours. Mais je ne me souviens plus si je l'ai repassé, attends...

Il s'est levé pour aller regarder dans les affaires propres, et dans ma penderie. Alors je que je marche pour l'aider, je ferme les yeux lentement

Mackenzie : Aïe... lançais-je faiblement

Momo : Eh, Kenz ça va pas ?

Momo est automatiquement revenu m'aider, et nous asseyons ensemble sur le canapé

Momo : T'as encore eu un vertige ?

Mackenzie : Oui... Ca arrive quand je suis trop speed

Momo : T'es sûre que reprendre les cours c'est une bonne idée ?

Mackenzie : Ca fait une semaine déjà. Je ne peux pas me permettre de rater plus, sinon je vais être perdue

Momo : Ce que tu as vécu c'est quand même grave. Et tu es bien plus douée que tous les élèves de ta promo

Cette phrase m'a arraché un petit rire

Mackenzie : T'en fais un peu trop là 

Momo : Je t'assure que non, t'es faite pour ça. Il te suffit de regarder une ou deux fois, et hop ! Tu sais faire. Profite en pour te reposer

Mackenzie : Non, vraiment je préfère y retourner. En plus, aujourd'hui j'ai un cours de pâtisserie qui a l'air très intéressant

Soudain, son visage s'est assombri. Il est devenu froid et dur. Puis, mon meilleur ami s'est levé pour faire quelques pas 

Une passion consumée, brûlant tout sur son passageOù les histoires vivent. Découvrez maintenant