Chapitre 130

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Réaction insoumise

Dans le miroir de la salle de bains, je fixe mon reflet, la brosse dans ma main droite...

Mathieu : Vraiment les meufs... Vous êtes un mystère...

Cette remarque me fit sourire, alors que je termine d'appliquer mon mascara

Mackenzie : T'as jamais essayé de te maquiller ? demandais-je malicieuse

Mathieu : Nan, jamais !

Mackenzie : Rappelle-moi d'y ajouter en tant que gage pour notre prochaine soirée arrosée...

Nous nous mettons à rire tous les 2 alors que je rebouche le tube de maquillage. La porte s'est ouverte pour se refermer aussitôt, tandis qu'Eris souffla à cause du froid

Eris : Putain, c'qui caille dans ce pays bordel...

Elle posa un sac sur le sol pour retirer son écharpe et sa veste. Mathieu, appuyé contre le mur à ma droite, s'est redressé pour aller s'asseoir sur le lit d'Eris, tandis que j'éteins la lumière de la salle de bains, désormais prête

 Mathieu, appuyé contre le mur à ma droite, s'est redressé pour aller s'asseoir sur le lit d'Eris, tandis que j'éteins la lumière de la salle de bains, désormais prête

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Je m'assois sur le lit de Francesca, face à mes amis, en soupirant

Mackenzie : Merci de m'avoir laissé utiliser ta douche et ton makeup Eris

Eris : Oh bah de rien répondit-elle en s'asseyant sur son lit. Si on peut plus rendre service...

Elle sortit des gobelets fumants du sac qu'elle nous tendit

Eris : Alors un cappuccino, un chocolat chaud...

Nous récupérons les boissons et mes doigts fins se sont empressés de se coller à la chaleur

Eris : Un macchiato pour bibi...

Eris posa son café sur sa table de chevet et sortit un sac de viennoiseries

Eris : J'ai pris des croissants, des pains au chocolat et des petits beignets...

Mathieu : T'avais peur qu'on meure de faim ? a-t-il plaisanté en ouvrant le sac

Eris : En même temps, t'es un ventre sur pattes toi ! a-t-elle répliqué amusée

Tous les 2 se sont mis à se chamailler, pour rire. On m'a tendu le sac et j'ai attrapé un croissant, pour mordre dedans. Nous commençons notre petit-déjeuner, avant que la conversation ne reprenne...

Eris : Ça va Mac ? demanda-t-elle soucieuse. T'arrive à te réchauffer ?

Occupée à mâcher, j'hoche la tête, les mains emprisonnant mon gobelet de café

Mackenzie : Ouais, merci beaucoup !

Mathieu : Depuis combien de temps t'étais à l'Institut ?

Une passion consumée, brûlant tout sur son passageOù les histoires vivent. Découvrez maintenant