Chapitre 150

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La crémaillère

Je prends mon parfum pour appuyer sur le diffuseur et vérifie une dernière fois ma tenue avant de sortir. Je descends les escaliers en accrochant mes bijoux et souris à Théo en le croisant du regard

Mackenzie : Désolé pour l'attente...

Théo : T'excuse pas. On voit que tu sais pas ce que c'est quand Charlène dit qu'elle va se préparer...

Je secoue la tête et me redresse lentement, pensive

Mackenzie : Alors, le cadeau de cet abruti... lançais-je à haute voix. Où est-ce que je l'ai mis ?

Les poings sur mes hanches, je commence à regarder mon salon, à la recherche de ce fameux cadeau

Théo : Ah, j'ai rien pour lui... A une crémaillère, on offre toujours quelque chose

Mackenzie : T'inquiète, t'es pas obligé

Je commence à fouiller dans la pièce pour savoir où j'ai rangé le large carton

Théo : Quand même... Arriver les mains vides, ça le fait pas trop

Mackenzie : Tu veux qu'on s'arrête dans une boutique ? On a le temps

Théo : Je veux bien ouais

Mackenzie : Pas de problème

Je tombe enfin sur ce que je cherche et porte le carton trouvé

Mackenzie : Ah ! Il est là !

Je le déplace jusqu'à l'entrée, pour ne pas l'oublier. Je commence à préparer tout un tas de choses à emmener chez Momo. Il m'avait prévenu qu'il avait déjà emmené une partie de ce que j'ai cuisiné cette nuit. Le reste étant rapide, nous avions convenu que je m'en occuperai sur place

Théo : Tu vis toute seule ?

Mackenzie : Ouais. Enfin, avec Nymeria quoi

Je continue de déplacer ce que je dois emmener, suivant la liste que j'ai en tête. Je vérifie une dernière fois que j'ai tout puis me tourne vers le garçon

Mackenzie : Ok ! C'est tout bon, on peut y aller

Je remets ma veste en vérifiant ma tenue dans le miroir et prends mes affaires

Théo et moi sortons dans la rue et je verrouille la porte avant de me tourner vers lui

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Théo et moi sortons dans la rue et je verrouille la porte avant de me tourner vers lui

Mackenzie : Vamos ! lançais-je enjouée

J'ouvre la marche et nous prenons le chemin de la rue commerçante

Théo : C'est pas trop lourd ?

Mackenzie : Non, t'inquiète souriais-je. T'es chou

Désormais entourés de boutiques, nous regardons chaque devanture, à la recherche d'un endroit où trouver quelque chose pour Momo. Nous entrons dans une boutique et commençons à regarder ce qui est entreposé. Alors que nous déambulons depuis 5 minutes, Théo se décide pour une déco et je ne dis rien. Nous passons en caisse et en attendant que le vendeur emballe le cadeau, je pense à quelque chose

Une passion consumée, brûlant tout sur son passageOù les histoires vivent. Découvrez maintenant