Torna a casa - Ethan Torchio (Måneskin)

Çhåþï†rê 2

Son expression me fit tout de suite comprendre à quel point revoir ma gueule la touche, mais c'est comme si elle se forçait à ne pas être enthousiasme...

—[Y/n].. mais.. mais qu'est-ce que tu fais là..?
Bafouilla-t-elle.

Je la regarda droitement dans les yeux.

—À ton avis...
Répondis-je.

Elle jetta un coup d'œil à l'intérieur, avant de s'avancer, me faisant reculer, et de refermer la porte.

Elle se plaça face à moi et croisa les bras.

J'avais comme l'impression qu'elle se forçait de ne pas me câliner.. ce que je trouva bizzard...

—Je suppose qu'on ne peut pas te refuser d'entrer...
Dit-elle, baissant le regard.

Je me retourna pour croiser le regard de mon frère, avant de lui ouvrir mes bras et de la prendre contre moi.

À ma grande surprise, elle se laissa faire.

—Je sais que débarquer le soir de Noël c'est pas ouf, mais je pense qu'il faut qu'on parle.
Dis-je d'une voix basse, ayant presque eu du mal à le dire.

Elle se décolla de moi et regarda Milo, qui se trouvait toujours derrière nous.

—Maman.. e.. elle a raison...
Annonça Milo.

Elle soupira lentement, passant sa main dans son beau brushing annuel.

—D.. d'accord, mais je te préviens, il y a aussi nos nouveau voisins, et eux ne connaissent pas l'histoire. Et puis, ils ne sont pas n'importe qui.. mmh ?
Soupira-t-elle.

Un sourire non contrôlé s'afficha, prouvant finalement à quel point je suis touché qu'elle me laisse revenir. Et puis, qu'est-ce que je m'en fou des nouveau voisins.. certainement des grands gens d'affaires...

J'aquiesça doucement.

—T'inquiètes.. j.. je peux même me changer si tu veux.. mettre une tenue adéquate...
Dis-je.

J'avais l'impression de lui parler comme si il ne c'était jamais rien passer, c'était si étrange, mais en même temps si naturel...

Et mon sourire s'emplifia lorsque je la vu sourire également de mon enthousiasme.

Elle posa sa main sur mon épaule.

—Pas la peine, aller, entre.

Je la remercia du regard, puis elle rentra dans la maison.

Milo venu passer son bras autour de mes épaules.

—C'était peut-être une bonne idée au final...
Chuchota-t-il au creux de mon oreille.

Je le regarda en souriant, puis nous avons passer la porte.

La chaleur de la pièce frappa mes joues froides, tandis qu'absolument toute les discussions s'arrêtairent.