𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟐𝟓

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La douce lumière du soleil qui s'infiltrait par le hublot de la cabine vient me caresser le visage.

J'ouvris doucement les yeux mais les refermèrent aussitôt, aveuglée par cette source de lumière. Je les réouvris et tentai de m'habituer à son éclat.

Je regardai ensuite à côté de moi et ne vis personne. Je ne savais pas quelle heure il était, mais il devait sûrement être tard.

Je me préparai à me lever et réalisai que je suis nue. Sans aucuns vêtements sur moi. Pas même mon pyjama. Qu'est-ce qu'il s'est donc passé hier soir et avec qui ? Je ne m'en souvenais pas vraiment.

Je me levai enfin et me dirigeai vers mes vêtements qui étaient dispersés et éparpillés partout dans la pièce.

Je ramassai mon bas de maillot et mon short puis les enfilai rapidement. Je fis de même avec mon haut de maillot que j'eus trouvé accroché à la porte du placard.

Je m'étirai un coup avant de saisir la poignée de la cabine et de sortir de cette dernière.

Je refermai la porte de la cabine puis je décidai d'aller faire un tour sur la plage de sable doré.

Je parcourai les couloirs jusqu'à tomber sur la porte de sortie que je poussai pour enfin sortir du bateau.

Je descendis du pont supérieur puis marchai le long du port jusqu'à arriver devant la plage.

Je retirai mes sandales et je marchai vers le bord de l'eau où l'écume des vagues se déposaient.

Je m'asseyai ensuite sur cette source de chaleur puis je regardai paisiblement l'océan qui s'étend à perte de vue.

Je fermai les yeux un instant afin de me concentrer uniquement sur le bruit des vagues qui s'entrechoquent.

Je sentis soudainement une présence derrière moi, qui arrivait à petit pas dans le sable chaud.

??? : Bouh !

Moi : Je t'ai entendu arriver.

??? : C'est pas juste ! *S'assoit à côté de moi*

J'ouvris les yeux et tournai la tête sur ma droite et vis Ace, tout souriant et l'air tout joyeux.

Moi : Qu'est-ce qui t'amène ?

Ace : Je te cherchais et je t'ai vu ici du coup je suis venus. *Pose sa main sur la mienne*

Moi : Pourquoi tu me cherchais ?

Ace : Rien d'important t'inquiètes.

Moi : Euh, ok. Et dis moi, pourquoi mes vêtements étaient éparpillés partout ?

Ace : Tu t'en rappelles pas ?

Moi : Euh... Non ?

Ace : Fais pas genre. Tu vas me dire que tu ne te rappelles pas ce qu'il s'est passé hier soir ? Dans ma cabine ?

Moi : Ah c'est dans ta cabine que je me suis réveillée.

Ace : Ben oui, où tu veux que ce soit ?

Moi : Bah je sais pas moi.

Ace : Tu ne t'en rappelles toujours pas ?

Moi : De quoi ? Mentis je

Ace : De comment je t'ai fait crier mon nom.

𝐐𝐔𝐎𝐈𝐐𝐔'𝐈𝐋 𝐀𝐑𝐑𝐈𝐕𝐄, 𝐉𝐄 𝐓'𝐀𝐈𝐌𝐄Où les histoires vivent. Découvrez maintenant