-Amber -
Lorsque je me réveillai, le lendemain matin. Je remarquai que mon oreiller était parti. Quand je parle de mon oreiller, je veux dire Harry. À sa place était écrit un mot avec son écriture désordonnée familière. Je bâillai en m'étirant. Mon dos me faisait mal, mais je l'ignorai. Je pris la note d'Harry entre mes doigts et la lu.
"Amber, je suis sorti. Désolé de ne pas t'avoir réveillé. Tu es trop mignonne quand tu dors. Je sais que j'ai promis de rester avec toi, mais c'était vraiment important. Ça ne signifie pas que j'ai cassé la promesse. Retourne le papier."
Je retournai le papier et un sourire se forma sur mes lèvres. Sur le dos, Harry avait dessiner un horrible bonhomme avec des cheveux bouclés. Bien que l'art n'était pas son domaine d'expertise, il était absolument adorable.
Dessous, on pouvait y lire :
"Maintenant, je suis toujours avec toi. Joyeux anniversaire ! - Harry"
Mon estomac bascula. Il était trop mignon. Harry était trop mignon. Je ne sais pas ce que je vais faire avec ce garçon. Je commençais à lui devoir beaucoup.
Je pliai soigneusement le morceau de papier et le rentrai dans ma poche, pour ne pas le perdre.
Je passai mes doigts dans mes cheveux et quittai la salle d'attente.
J'espère que mon père était réveillé. Je voulais lui parler. De quoi ? Aucune idée. Je voulais juste entendre sa voix, pour confirmer qu'il était bien éveillé et avec moi.
- Chérie ? La voix de ma mère me fit sursauter.Elle scruta ma tête par la porte de la salle d'attente, en poussant la porte plus d'une fois, elle se rendit compte que j'étais éveillée.
- Ouais ? Je répondis.
- Ton père est encore en train de dormir, mais il devrait se réveiller bientôt. Pourquoi ne pas aller à la cafétéria pour un petit-déjeuner en attendant ?
- Ok. Je hochai la tête, ne me souciant pas du fait que mes cheveux ressemblaient probablement à un désordre et que je devais ressembler à un zombie.
Je suivis ma mère. C'était tellement agréable d'être de retour à Holmes Chapel. Bien que l'hôpital n'était pas mon idée de «maison» , mes parents l'étaient.
- Joyeux anniversaire. Ma mère sourit, en ralentissant afin de marcher à côté de moi. Ne me dis pas que t'avais oublié, n'est-ce pas ?
- Honnêtement, maman. Je rigolai. Ça m'a glissé de l'esprit.
- Comme toujours. Maman secoua la tête. Certaines choses ne changent jamais.
- C'est ce qu'a dit papa. Je lui dis, un petit sourire apparaissant sur mes lèvres.
Maman continua à sourire et c'est seulement maintenant que je me rendis compte que nous étions debout devant les portes de la cafétéria. Elle les ouvrit et me fit signe de rentrer. Il n'y avait pas beaucoup de gens ; seuls les travailleurs et une ou deux personnes. Elle était en fait assez vide. Je ne pouvais pas distinguer l'odeur de la nourriture non plus. Ça sentait tout comme le reste de l'hôpital.
- Que veux-tu ? Ma mère me demanda tandis que nous approchions de la caisse.
La dame nous sourit et attendit. Je scrutai les menus, voyant qu'il n'y avait pas beaucoup. Je décidai de prendre un muffin aux pépites de chocolat et une petite bouteille de lait au chocolat. Ce n'était pas grand chose, mais ça suffisait pour remplir mon estomac vide.
Ma mère commanda un café avant de trouver une place. Le silence s'installa entre nous tandis qu'elle sirotait son café et je luttai pour ouvrir mon muffin.
- C'est un gentil garçon. Ma mère parla soudainement.
Je levai les yeux de mon muffin, le visage d'Harry surgissant dans mon esprit.
- Ouais ?
Ma mère hocha la tête.
- Je l'ai rencontré ce matin, c'est un charmant garçon. Il me semble un peu trop familier.
Je me raclai la gorge, en évitant d'évoquer le fait qu'Harry était notre voisin, il y a sept ans.
- Il est dans un groupe.
- Ah, Maman tapa son doigt sur la table. Ça doit être la raison.
J'arrivai à ouvrir mon muffin. Je souris à moi-même, fière d'y être parvenu. Prenant ma première bouchée, je me penchai dans mon siège. Il avait étonnamment bon goût.
- Comment ce passe le tournage du film ? Maman se décida à demander.
- Super. Je lui dis, en prenant une gorgée de mon lait au chocolat. Harry joue dans le film aussi.
- Oh, vraiment ? Maman questionna. Est-ce ainsi que vous vous êtes rencontrés ?
J'ouvris la bouche pour répondre, un rougissement se glissa sur mes joues.
- C'est une longue histoire.
- J'ai le temps. M'informa-t-elle, mais je secouai rapidement la tête.
- Je vais te le dire. Je le promets. Mais pas maintenant, je veux vraiment aller voir papa.
Ma mère hocha la tête, comprenant.
- Va s'y. Prends ton muffin.
- Je t'aime.
Je souris, en prenant mon lait et mon muffin avant de quitter la cafétéria. Sur le chemin de la chambre, je mangeai rapidement mon casse-croûte, dans l'espoir de le terminer. Quand j'approchai de la porte, je mis le dernier morceau dans ma bouche avant de rentrer à l'intérieur.
- Amber, dit tout de suite la voix de mon papa.
Je sourire et me dépêchai de prendre le siège à côté de lui.
- Bonjour, papa. Dis-je, heureuse d'être en mesure de dire ces deux mots.
- Bonjour, il sourit. Et joyeux anniversaire, princesse.
Mon sourire s'élargit et mes joues devinrent rosées. Il ne m'a pas appelé appeler "princesse" depuis des années. Je détestais quand il m'appelait comme ça. Je ne lui dis pas, mais il savait qu'il me gênait. C'était différent maintenant.
L'entendre m'appeler princesse avait tant de souvenirs. J'ai de la chance de l'avoir comme père. Il avait toujours été là pour me détendre. Nous avions eu tellement de bons souvenirs ensemble. Je veux que tout redevienne comme avant.
Mon père était mon meilleur ami.
- Merci, papa.
Il m'atteint plus et prit ma main.
- Je ne peux toujours pas y croire. Ses yeux scrutèrent mon corps de haut en bas. C'est comme un rêve.
- Un rêve réel, je murmurai.
Il sourit.
Quelqu'un frappa soudainement à la porte, ce qui nous fit sursauter. Je regardai en arrière, me demandant qui ça pouvait être. Peut-être maman.
- Ah, ça doit être l'infirmière.
Papa se mît en position assise avant que j'eus une chance de lui offrir mon aide.
- Entrez. Dit-il, la porte s'ouvrit, laissant apparaître l'infirmière.
Elle était de taille moyenne, cheveux bruns tirés en arrière dans une queue-de-cheval, et l'uniforme d'infirmière. Elle souriait, tenant un objet dans ses mains.
- Votre commande est prête, M. Skywood. Elle dit à mon père, marchant vers moi à la place. Elle tendit ses mains. Joyeux anniversaire.
Mes lèvres formèrent un petit «o».
Dans ses mains, était un cupcake avec une seule bougie. Ce n'était rien de grand, mais c'était tout comme.
- Papa, il ne fallait pas. Surprise qu'entre hier soir et ce matin, il avait eu le temps de commander un petit gâteau pour mon anniversaire.
- Si, il le fallait. Il souligna. Je t'ai dit que je voulais me rattraper pour toutes les années que j'ai manquées.
L'infirmière mit le gâteau dans l'une de mes mains. Elle se retourna sur elle et alluma la bougie, souriant pendant tout ce temps. Avant qu'elle ne puisse se retourner et partir, mon père l'arrêta.
- S'il vous plaît, mademoiselle. Dit-il. Restez.
C'était mon père, toujours gentil avec les autres.
- Merci. L'infirmière sourit gentiment, en reculant.
- Ok, Papa tapa dans ses mains. Tu es prête ?
- Prête à quoi ? Je me demandai avec une expression confuse sur mon visage.
- Ça. Et puis il commença à chanter, l'infirmière se joignit à lui et je ne pus m'empêcher de rire en chantant "joyeux anniversaire.
Mon père n'a jamais été un grand chanteur et j'avais l'habitude de le taquiner à ce sujet. Comme il a dit la nuit dernière et comme ma maman l'a dit ce matin, certaines choses ne changent jamais.
- Joyeux anniversaire, Amber. Ils chantèrent. Joyeux anniversaire...
- Fais un vœu ! M'ordonna Papa.
Je hochai la tête, fermant les yeux et en soufflant la bougie. Je souris.
- Qu'est-ce que tu as souhaité ? Demanda papa.
Je pris sa main, lui souriant.
- C'est un secret.
Papa trémoussa ses sourcils.
Je hochai la tête.
- Ayez un joyeux anniversaire ! Me dit l'infirmière avant de s'excuser et quitter la pièce.
Une fois qu'elle ferma la porte derrière elle, papa désigna la gâteau.
- Vas-tu le goûter ?
Je me mordis la lèvre, et découpai le cupcake en deux.
- Prends la moitié.
- Amber, il commença à dire, mais je le coupai.
- Prend le.
Il soupira et prit le morceau de gâteau dans ses mains.
- Pas mal. Il dit par la suite. Pas mal pour un petit gâteau d'hôpital.
Je me moquai de son commentaire avant d'y goûter moi aussi.
- Effectivement, il n'est pas mauvais du tout.
Il était assez bon. Pas super bon, mais bon.
- Amber ? Ma mère apparut, en poussant la porte pour me regarder. Oh ! Bonjour, Edward. Elle salua mon père.
- Bonjour, mon amour. Il répondit.
Ma mère rougit avant de dégager sa gorge.
- Amber, une certaine personne t'attend à l'extérieur. Il m'a dit de te dire qu'il y a un endroit où il aimerait t'amener.
Je mordis ma lèvre, sachant qu'elle parlait d'Harry. Je ne voulais pas quitter mon père, mais je ne voulais pas dire non à Harry.
- Maman, je commençai à dire.
- Je vais rester avec ton père. Elle me dit. Va s'y.
- Mais...
- Va s'y, Amber. Mon père parla avec un regard curieux sur son visage. Quoi qu'il en soit, va s'y.
J'expirai, décidant que peut-être, je devrais y aller.
- Ok. Dis-je. Je t'aime.
- Je t'aime aussi. Maintenant, va s'y.
Avant que je me lève pour partir, je lui donnai un rapide câlin, respirant son odeur.
- Ne t'inquiète pas pour moi. Il murmura.
Je hochai la tête et m'éloignai. Hésitante, je quittai la chambre, me demandant ce qu'Harry voulait éventuellement me montrer.
Je souris et saluai les infirmières lorsque je passai, me sentant très heureuse aujourd'hui. Quand j'arrivai finalement devant portes, Harry est la première chose que je vis de l'autre côté. Il attendait sur les marches, les mains dans les poches de son jean. Il portait un t-shirt gris avec le mot "Lover" et un petit cœur rouge imprimés sur la petite poche du t-shit. Plus un bonnet de couleur café, qui laissait quelques-unes de ses boucles dépasser. Il sourit d'un air honteux quand il me vit, ses deux fossettes plus visibles que jamais.
- Tu as eu la note ? Il demanda une fois que je fus juste en face de lui.
- Oui. Je respirai, le sentant étrangement nerveux. Je l'ai eu.
- Bon.
Ce fut le silence pendant un certain temps entre nous avant de me décider à demander :
- Où es-tu allé ?
- Chez moi. Il me dit. Pour prendre une douche, me changer, et voir ma famille.
- Où d'autre ? Je continuai de demander, sachant que ce n'était pas le seul endroit où il avait été.
C'était écrit sur son visage.
Il cligna de l'œil.
- Je vais te montrer.
- Montre moi-
Je n'eus pas la chance de demander quoi que ce soit d'autre. Ses mains saisirent ma taille et il me jeta sur son épaule. Je criai, battant doucement son dos.
- Harry ! Je protestai. Je peux marcher !
Il rit m'envoyant des frissons dans le dos. Sans un mot, il ouvrit la porte d'une Audi R8. Je sus immédiatement que c'était la sienne. Qui d'autre pourrait se permettre une telle voiture ?
- Harry ! Je criai de nouveau, mais il me jeta dans le siège passager.
"Me jeta" pas vraiment, il m'a doucement fait tomber sur le siège, fermant la porte et fit son chemin autour de la voiture. Il se glissa dans le siège du conducteur, démarrant le moteur et me fit un sourire.
- Désolé, bébé. Il s'excusa. Joyeux anniversaire.
Je lui montrai ma langue, en croisant mes bras.
- Tu es un vrai co-
Il me coupa, ses lèvres claquant contre le mien dans un rapide, chaste baiser. S'il essayait de me faire taire, ça avait marché. Il se redressa, souriant en sortant sort de l'allée. Je m'enfonçai dans mon siège, une sensation de vertige. Je commençais à haïr son effet sur moi, ainsi que l'amour.
- Tu sais que je déteste les surprises. Je marmonnai après quelques minutes de conduite.
Harry rit.
Je mordis mes lèvres.
- Tu ne peux pas me dire où nous allons ?
-Non.
Bien sûr que non. Je soupirai.
- Ce sera long ?
Harry pensa à ce sujet.
- Peut-être.
Un autre soupir.
- Je veux vraiment retourner voir mon père ...
Harry fit une expression blessée.
- Tu ne veux pas passer du temps avec moi ?
Même s'il plaisantait, je me sentais mal.
- Non. Oui. Harry ...
Je fronçai les sourcils.
- Bien sure que je le veux. C'est juste-
- Je plaisante.
Il secoua la tête et rit doucement.
- Je comprends que tu veux être avec ton père. Je le voudrais aussi.
Une main lâcha la roue et il m'atteignait un peu plus, en prenant ma main dans sa sienne.
- Donc, ne t'inquiète pas. Je te ramènerais à lui.
Je ne pus m'empêcher de lui sourire.
- Harry, je...
Ses sourcils sillonnèrent ensemble.
- Tu quoi ?
Je secouai la tête et soupirai.
- Peu importe.
Harry fronça un peu plus les sourcils.
- Pourquoi tu fais ça ?
- Faire quoi ?
- Tu commences à me dire quelque chose et puis tu dis peut importe.
Il me regarda curieusement. Je secouai tout simplement la tête.
- Ce n'est rien.
Il ne me posa pas plus de questions, la confusion ne quitta pas son visage tandis qu'il se concentrait de nouveau sur la route. Le reste du trajet fut silencieux. Je pouvais dire qu'Harry était perdu dans ses pensées tandis que je penchai ma tête contre la fenêtre, regardant les voitures et les arbres qui passaient. Je n'avais même pas réalisé qu'Harry avait arrêté la voiture, signalant que nous étions arrivés.
- Nous sommes arrivés. Il m'informa, sortant de la voiture pour venir ouvrir ma porte.
Il me prit la main. Quand je regardai autour de moi, ce fut quelque chose auquel je ne m'attendais pas.
Je m'attendais à ce qu'il nous amène dans un endroit romantique : comme un autre carnaval. Au lieu de cela, nous nous trouvions devant une boulangerie. Non seulement cela, mais aussi le mot «fermé» était visible sur la fenêtre.
- Que faisons-nous ici ? Qu'est-ce que c'est ?
- Ceci, Harry fit un signe vers l'avant.
Il creusa dans sa poche et y sortit une clé, avant de l'insérer dans la poignée.
- C'est W Mandeville. La boulangerie où j'avais l'habitude de travailler.
Je continuai à regarder le petit bâtiment, en essayant d'imaginer, le jeune homme aux yeux verts, cheveux bouclés debout derrière un comptoir avec des petits gâteaux.
- Pourquoi sommes-nous ici ? Je demandai de nouveau tandis qu'Harry poussa la porte et me mena à l'intérieur.
Il alluma rapidement les lumières, révélant les murs et le plancher en bois. Je pouvais même sentir le doux parfum de chocolat fraîchement préparé.
- Harry, je commençai à dire lentement. Je sens le gâteau.
Il rit.
- Correction: des cupcakes.
- Encore des cupcakes ? ! Je s'exclamai, me tournant vers Harry. Toi et mon père aviez planifiez ça ?
Harry rit encore plus.
- Amber, j'ai même pas encore rencontré ton père.
Il se promena devant moi et derrière le comptoir, il ouvrit une porte, qui devait conduire à la cuisine.
J'attendis patiemment, en tapant mon pied et jetant un regard sur ce qui m'entourait.
Le dos d'Harry apparut peu de temps après, un lot de petits cupcakes décorés dans ses mains, un grand lot.
- Joyeux anniversaire. Il sourit, plaçant le plateau sur le comptoir.
Je marchai, en examinant les cupcakes. Ça avait l'air bon.
- Wow ... Je parlai enfin. C'est beaucoup de cupcakes.
- Dix-neuf. Harry souligna. Depuis aujourd'hui, tu as vécu pendant dix-neuf ans.
Je ris.
Depuis qu'il nous avait fait des pâte à la maison de la plage, la cuisine de Harry était ma préférée.
- Puis-je en goûter un ?
Je ne lui laissai pas le temps de répondre. Je pris un des petits gâteaux et commençai à le soulever vers mes lèvres.
- Attends ! Harry m'arrêta. Ils ne sont pas à manger.
Un froncement de sourcils se forma sur mon front, alors que je regardai le gâteau dans mes mains.
- Il semble étrangement comestible.
- Eh bien, oui. Admit Harry. Mais ...
Je n'eus pas le temps de réagir. Il prit le cupcake et l'écrasa sur mon visage. J'avais le souffle coupé, essuyant le glaçage de mes yeux.
- HARRY ! Je criai. C'est quoi ce bordel ?
Il éclata de rire, se tenant le ventre alors que je fis une mine renfrognée.
- C'est une tradition. Harry m'expliqua après s'être calmé un peu. Chaque fois que c'est l'un de nos anniversaires, les gars font cuire des cupcakes et ont fait une guerre de petit gâteau. J'ai pensé que ce serait amusant.
Une lueur de malice apparut dans mes yeux.
- Oh, ça va être amusant.
Avant qu'il ne puisse réagir, je pris l'un des cupcakes et lui écrasai au visage. La cerise colla à ses boucles et le reste du gâteau tomba au sol.
Il ricana.
- C'est la guerre.
Je ne pouvais pas décrire ce qui se passa ensuite. Nous étions tous les deux couverts de glace de la tête aux pieds, des cupcakes recouvraient les murs et le plancher de la boulangerie.
- Tu as un petit quelque chose.
Harry rit, montrant innocemment à un peu de glaçage sur mes lèvres.
Je l'essuyai avec ma main.
- De toute évidence. Cette fois, il rit. Joyeux anniversaire, mon amour.
Je rougis, ouvris mes lèvres pour dire merci, mais il me coupe. Ses lèvres firent sur les mienne en quelques secondes et nous nous embrassions. J'enchevêtrai mes mains dans les boucles et le rapprochai, sentant sa chaleur contre moi.
Harry me poussa contre le mur recouvert de petit gâteau, m'embrassant plus rapidement, mais avec passion. Le baiser sembla durer pour toujours et à jamais. Je pouvais honnêtement dire, que c'était le meilleur des anniversaires. Pas de doute à ce sujet.