Vingt sept jours plus tard
J'étais encore en cuisine lorsque je sens deux mains m'envelopper par la taille.
J'ai sursauté sur place avant de lâcher la boîte de comprimés qui était resté dans mes mains.- Assad : est - ce que tu étais sur le point de t'enfuir là ?
- Assad : ... il n'y a que nous deux dans cette maison pourtant.
- Moi : aurais - tu perdu tes esprits Assad ? ne prends pas l'habitude de m'effrayer ainsi, cela aurai pu mal tourner.
- Moi : tu sais bien que je n'ai pas le cœur solide.
- Assad : ça c'est un détail que j'avais oublié. Je suis désolé mon amour.
- Assad : je voulais simplement m'amuser un peu avec ma femme ❣️
- Moi : أنت غالية جدا نور قلبي
- Moi : mais regarde sur internet, je suis sûr que tu trouveras bien d'autres milliers de moyens d'amuser ta femme sans prendre le risque de la tuer.
( il sourit encore une fois pour rien )
- Assad : je t'aime tellement, est - ce que tu le sais au moins ?
( les larmes aux yeux, alors qu'il me caressais le visage )
- Moi : je t'aime aussi nûr kalbi.
- Assad : redis le moi encore s'il te plaît.
- Moi : ... nûr kalbi.
Il me fait un bisou esquimau et se
se cramponne encore plus à moi, avec un désir fou dans les yeux.- Assad : dis moi très vite ce que tu m'a préparé de bon avant que je ne t'avale à la place.
- Moi : pervers ... tu ne penses vraiment qu'à ça.
- Assad : ce que je désir m'appartiens je te rappelle, alors personne n'est en droit de me blâmer pour ça.
Il prend ainsi mes jambes en otage pendant qu'il baladait ses mains partout avant de m'embrasser passionnément de nouveau comme il sait si bien le faire.
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Une Femme Pour Quatre Frères !
Non-FictionLa passion n'est pas toujours une bonne chose pour nous ou du moins, elle ne l'est que pour quelques très rares exceptions d'entre nous. Sauf que c'était une grande vérité qu'ignorais Saranah Arweed lorsqu'elle avait fait la connaissance de son âme...