un lourd secret

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À la fin de nos deux jours de confinement pour la punition, mon père se décide finalement à nous libérer de notre prison.

Très tôt à l'aube, il se présente en personne devant la porte pour nous ouvrir l'accès. Nous sortons donc tous les deux de la chambre sous les yeux de ma mère et de mes frères qui se retenaient à tout prix d'exploser de rire parce que Maher portait encore une fois une de mes robes.

J'étais sûr en plus qu'il avait fais exprès de venir nous sortir dès l'aube afin que nous puissions partir sans être vu avant le réveil les autres.










- Mon père : j'imagine dès lors que vous êtes devenu un peu plus intelligents tous les deux à présent.










- Mon père : à l'avenir lorsque vous voudriez vous battre de nouveau, revenez encore le faire dans ma maison.

( aucun de nous deux ne lui réponds )









Mes frères finissent par éclater de rire car il n'en pouvaient plus de se retenir. Ma mère leur demande tout de suite de se taire par respect même si aucun de nous deux n'a voulu lever le regard.

Nous nous sommes juste empressé de partir sans dire un seul mot. Je monte donc dans la voiture et Maher s'installe au volan mais avant qu'on ne démarre, mon père se présente de nouveau devant la vitre pour lui adresser un dernier mot en privée.







- Mon père : puisque tu as osé faire ce que personne n'a encore tenté à ce jour, je te mets au défi et tu as bien intérêt à enfermer ta femme à double tour dans ta maison !








- Mon père : parce que la prochaine fois que ses pieds frôleront le sol de cette maison pour un problème entre vous deux, ce n'est plus la peine de revenir la chercher !








- Mon père : autrement c'est la police qui va t'accueillir.








Suite à ces mots, nous comprenons bien qu'il s'est senti profondément vexé par les paroles de Maher deux jours plus tôt.

Il eut donc honte pour ses mots et baisse les yeux face à lui. Au bout d'un moment mon père tourne le dos pour ordonner aux gardes d'actionner le grand portail et Maher démarre.

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A notre arrivé chez nous, sa mère ( Dalillah) se mets également à rire pour se moquer de lui mais il ne dit toujours rien et garde le silence.

Il part très vite prendre une douche pour se changer et je fais de même lorsque Samia vient nous prevenir que nous sommes demandé par ma belle - mère en bas.

Je n'ai donc pas pu trouver du temps pour me reposer car nous avions été contraints de redescendre dans la précipitation pour aller répondre à son appel.








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Une Femme Pour Quatre Frères !Où les histoires vivent. Découvrez maintenant