Une Femme Pour Quatre Frères !

Mystère

Quelques mois plus tard

Un matin pendant que Assad était installé comme d' habitude sur son tapis de prière à lire le coran, je remarque de la cuisine un reflet passé très vite inaperçu.

La curiosité m'a aussitôt poussé à jeter un coup d'œil par la fenêtre.

( ainsi je remarque la présence d'une Audi A8 noire blindée garée en face de la résidence et un homme avec des jumelles en côté passager )

Aussitôt après m'avoir aperçu et su qu'il était à découvert, le chauffeur a foncé sans que je n'aies eu le temps de réaliser ce qui venais de se passer.

Bref je n'ai pas cherché à aller jusqu'au bout de ce mystère, sûrement que ces hommes étaient à la recherche d'une autre personne.

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Sur ce, je suis retournée dans la chambre récupèrer le linge sale et continuer de vaquer à mes occupations.

J'étais sur le point de ressortir lorsque son portable se mets à sonner sur le lit. Étant donné qu'il était en pleine prière, j'ai décroché l'appel à sa place.

🗨 - Moi : السلام عليكم

( sans qu'aucune voix ne réponde )

La main de Assad me surprends aussitôt dans les secondes. Il me reprends le téléphone des mains avant de raccrocher brusquement sans chercher à savoir qui s'était.

- Moi : qui y'a t - il ? tu as raccroché brusquement sans même me laisser le temps de parler.

- Assad : ne prends plus la peine de décrocher ce téléphone la prochaine fois Saranah.

- Assad : laisse le sonner et ne le touche plus.

- Moi : et pourquoi ?

- Assad : j'ai mes raisons !

Sur place, je n'ai pas cherché à discuter son ordre, je suis retournée dès lors continuer ce que je faisais.

En triant ses vêtements pour les mettre à laver dans la machine, je tombe encore une fois sur des taches de sang sur plusieurs de ses tuniques.

( j'ai eu des frissons sur place mais je n'ai rien dis )

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Dans la soirée nous avons posé un petit barbecue sur le balcon pour nous faire une petite soirée romantique dans l'intimité.

Il s'est occupé des merguez, pendant que je préparais les accompagnements

( Je n'arrêtais pas d'ailleurs de le contourner pour lui en piquer une toutes les minutes )

- Assad : tu aimes ?

- Moi : elles sont trop délicieuses tu veux dire.

- Assad : pas aussi délicieuses que ma magnifique femme 🖤

( avant de me prendre par la taille )

- Moi : سبحان الله tu es trop pervers pour moi.

- Assad : il n'y a pas de honte à dire la vérité.

Il prends sauvagement mes formes en otage avant de m'embrasser passionnément. Nous avons donc atterri sur le canapé en quelques secondes.

- Moi : mon amour ?

- Assad : dis moi.

- Moi : y'a t- il quelque chose que je devrais savoir ?

- Assad : dis moi le fond de ta pensée plutôt.

- Moi : je suis tombée sur des tâches de sang sur plusieurs de tes chemises ? et ce n'est pas la première fois.

- Moi : j'en vois partout, même sur le sol de la salle de bain.

- Moi : serais - tu malade ? y'a t - il quelque chose que tu ne me dis pas ?

- Assad : ne t'inquiète pas, cela m'arrive juste assez souvent mais ce n'est rien de grave.

- Moi : pour commencer est - ce que tu as déjà été voir un médecin par rapport à cela ? à t - il dit que tout allait bien ?

- Assad : je te l'ai déja dis, ce n'est rien d'alarmant en soi.

- Moi : ce qui veux donc dire non

- Moi : sauf que pour ma part je ne suis pas tranquille Assad, c'est peut-être un signe d****

- Assad : shut, ne dis plus rien.

( en plaçant son doigt sur mes lèvres )

- Assad : oublie tout ça, tu veux bien mon amour ?

- Moi : non je ne peux pas et je ne serai tranquille que lorsque tu aura vu un médecin par rapport à ce problème.

- Moi : et je ne vais pas céder tu peux me croire.

- Assad : d'accord, pour te rassurer j'irai voir un neurologue plus tard. Es - tu contente à présent ?

- Moi : quand exactement ? parce que je veux être là aussi lorsqu'il va t'annoncer les résultats des examens.

- Assad : le plus tôt possible. Dès que j'aurai réussi à trouver un rendez - vous. Je te préviendrai ne t'inquiète pas.

- Moi : s'il te plaît fais - le très rapidement.

- Assad : et je le ferai. N'as - tu plus confiance en moi ?

- Moi : bien sûr que si.

- Assad : alors arrête de parler de ça et approche plutôt ...

( il m'emprisonne alors dans ses bras et commence à savourer son plaisir )