Au prix de l'amour

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Dans la peau de Assad



Nous avions donc suivis la sorcière et ses deux balais jusqu'à chez elle mais vu la résidence et les gardes autour nous ne pouvions plus nous approcher davantage plus près, au risque d'être repérés par les caméras.




- Shourem : tu disais quoi déjà hier ? une paysanne ?




- Shourem : frère après avoir vu où elle vit, tu t'étonnes encore qu'elle porte du Prada ?




- Shourem : avec son seul compte en banque, elle peut t'acheter toi et ton ego.



- Assad : sérieusement ? comment peux - tu parler ainsi alors que je suis près de toi ?




- Shourem : d'accord et maintenant qu'est ce que tu as derrière la tête ?




- Assad : je ne sais pas encore , mais je peux te dire qu'elle a réveillé quelque chose en moi.




- Shourem : parce que c'est la première fille à te tenir tête ? tu la bien saisi pourtant, rien n'a l'air de l'impressionner.




- Assad : sauf qu'elles ont toutes un point faible.




- Shourem : et celle là quel est son point faible ? les baleines bleu ou sinon son point dans ta face ?




- Shourem : je ne rigole pas mon frère, cette fille est une vraie bombe à retardement.




- Shourem : faisons demi tour, cela vaudrait mieux pour toi.





- Assad : hum ... ( en pleine réflexion )





- Shourem : ce silence en dit long, tu ne crois pas ?




- Shourem : sérieusement ne me dis pas qu'elle te plaîs quand même ?




- Assad : elle est un défi pour moi et tu sais parfaitement que je ne passe pas à coté des défis.




- Shourem : tu peux bien dire tout ce que tu veux mais ce qui pourris finis toujours par sentir.




- Shourem : déjà depuis quand tu t'appelles Assad ? vas - y cette fille te plaîs je ne cherche même pas loin.





A l'instant, je jette un œil sur ma montre, et remarque qu'il n'était pas si tard et qu'il y avait un adolescent qui jouais au basket sur le terrain.




- Shourem : ça roule mon petit ?





- lui : abrège s'il te plaît, je n'ai pas le temps comme tu peux le voir.





- Lui : et une dernière chose aussi, je ne suis le petit de personne.





- Lui : appelle moi par le prénom que m'a donné mon père si tu veux qu'on s'entende bien.




- Shourem : cela prouve que tu es un vrai. Tu peux monter avec nous ?

( il ne dis plus rien et rentre donc à l'arrière )




Une Femme Pour Quatre Frères !Où les histoires vivent. Découvrez maintenant