le sort du destin

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après cette conversation je remonte dès lors dans ma chambre pour aller me rafraîchir et m'apprêter à sortir.

Quelques heures plus tard, je quitte finalement la villa et emprunte l'une des voitures du park pour me rendre à l'aéroport dans la plus grande discrétion.



Quelques heures plus tard, je quitte finalement la villa et emprunte l'une des voitures du park pour me rendre à l'aéroport dans la plus grande discrétion

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Je réccupère donc Lyam assez rapidement et mets le GPS jusqu'à l'île de Gězīra. Deux heures plus tard, je me gare à quelques pattés de maisons de la villa et la voiture s'immobilise.

Un grand silence s'installe ensuite dans la voiture avant que je ne puisse parler de nouveau :






- Moi : voilà, nous y sommes. C'est là qu'il vit et c'est cette maison qui renferme le plus grand secret de ma belle - mère.







- Lyam : est - ce que je peux te poser une question ?









- Moi : je t'écoute !









- Lyam : qu'est - ce que tu attends exactement de moi Saranah.








- Moi : un dossier complet de cet enfant sur mon bureau le plus vite possible. Je veux absolument tout savoir sur son existence jusqu'à la couleur de ses sous - vêtements.







- Lyam : cela ne risque pas d'être une tâche facile, je préfère te le dire tout de suite. Il n'y a pas pire qu'une personne qui ne veut pas être découverte.








- Moi : le sucre ne se dis pas sucré, tu es un détective hors pair Lyam.








- Moi : c'est ton travail d'enquêter, tu le fais tous les jours et jusqu'à aujourd'hui tu ne m'a jamais déçue. Ne fais donc pas en sorte que celle - ci soit une première.







- Lyam : ça ne le sera jamais soit en certaine mais j'aurai besoin d'un peu plus de temps pour faire ce que tu me demande.








- Moi : prends autant de temps que nécessaire mais je t'averti d'une chose : le jour où je te reverrai de nouveau, je veux un dossier complet sur mon bureau sans aucun détail en suspens.






- Moi : est - ce que mes propos sont suffisamment clairs pour toi ?

( il ne réponds pas )







Je sors ensuite une carte de crédit de mon sac que je lui tends.








- Moi : tu peux assurer ton séjour avec les fonds de cette carte. Il y'en a assez même si tu dois soudoyer et corrompre le pays entier pour me ramener les informations que je t'ai demandé.







Une Femme Pour Quatre Frères !Où les histoires vivent. Découvrez maintenant