par amour

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Le jour suivant mon retour à la villa.


J'ai fais ma valise dans la matinée avant de récupérer mon sac et mon passeport dans l'intention de me rendre à l'aéroport.

A mon plus grand malheur, Aymar était encore couché sur le canapé à cette heure là. Je passe ainsi près de lui sans lui dire aurevoir.




- Assad : puis - je savoir où est - ce que tu compte aller ainsi ?





- Moi : d'où je n'aurai jamais dû partir, ça c'est certain.





- Moi : car j'ai aussi une famille, est - ce que tu t'en souviens encore ? d'ailleurs j'aimerais bien que tu dises à ta mère de ma part qui sont les " Arweed "




- Moi : je suis loin d'être pauvre, encore moins misérable !




- Assad : tu n'iras nul part Saranah car c'est ici ta maison désormais.

( il se lève donc calmement pour me barrer la route )



- Assad : au diable ma mère et au diable tout ce qu'elle peut bien penser. Cela m'est complètement égal.




- Moi : sauf que moi, je ne m'en fiche pas du tout. Tu peux croire tout ce que tu veux mais je m'en vais afin de protéger ceux que je porte en moi.




- Moi : je sens le danger arriver de loin et avant que le pire n'arrive, il vaudrait mieux que je mette mes enfants à l'abri, en sécurité parce que je les aime même si tu es leur père.




- Assad : et parce qu'elle t'a menacé, tu la crois sérieusement capable de faire du mal à ses petits fils ? son propre sang ?



- Moi : une personne qui arrive à te dire droit dans les yeux qu'elle va tuer tes enfants, finira bien par le faire un jour.




- Moi : ta mère est absolument capable de tout pour me voir loin de toi.




- Moi : et je ne vais certainement pas attendre qu'elle le fasse pour la croire alors ôte - toi de mon chemin Aymar.




- Assad : dans ce cas, je suis désolé de la décevoir, mais avec ou sans enfants, je t'aimerai toujours.




- Moi : mais qu'est - ce que tu n'as pas compris dans ce que je viens de te dire Assad ? je veux partir tout de suite d'ici pour ma part.



- Moi : JE LE VEUX DE TOUTE MON ÂME ALORS LAISSE MOI PASSER.




- Moi : mon amour a aussi ses limites tout autant que ma patience.




- Assad : je sais pertinemment que tu n'auras jamais le cœur de lever la main sur moi peu importe les problèmes que nous traversons.




- Moi : alors n'en abuse pas, et écartes toi de mon chemin.




- Assad : Saranah s'il te plaît...

( il tente de me retenir une fois de plus )



- Assad : tu laisses la haine te posséder au point où tu es devenu presque aveugle. Où est donc passé ma femme ?





Une Femme Pour Quatre Frères !Où les histoires vivent. Découvrez maintenant