la réconciliation

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Après que mon père ait verrouillé la porte de l'extérieur et qu'il soit parti, je pleure et me rapproche de lui pour toucher son front qui saignais un peu pendant qu'il me serrais contre lui par la taille.

( je me suis mise à inspecter son corps dans tous les sens )








- Moi : je suis tellement désolé, tu es blessé quelque part. Est - ce que je t'ai fais très mal mon cœur ?

( mon humeur a radicalement changé à cause des hormones )








Le pauvre transpirait encore comme un poisson à bout de souffle mais il a quand meme trouvé le courage de hocher la tête pour me dire " non " pendant que je l'inspectais toujours de partout.









- Maher : ne t'inquiète pas, mes blessures ne sont pas aussi grave, j'ai juste peur d'avoir une collision au niveau de l'épaule après que tu m'ais lancé ce vase dessus. J'ai atrocement mal.










- Moi : fais moi voir cela tout de suite !











Je lui fais donc retirer sa tunique blanche très rapidement pour découvrir l'énorme rougeur sur son épaule. Je comprends alors très vite et sans le prévenir de ce que je m'apprêtais à faire, j'utilise toutes mes forces pour tourner son bras du côté inverse par un mouvement brusque et rapide.

Il a crié tellement fort qu'il avait dû être entendu par toute la villa.









- Maher : dieu du ciel, tu ne pouvais donc pas me prévenir à l'avance pour que je puisse me préparer psychologiquement











- Moi : je suis désolé de t'avoir pris par surprise mais tu ne m'aurai jamais laissé faire autrement.









( il gémit de douleur en transpirant pendant que j'épongeais son visage avec mon voile )

Et quelques instants plus tard je l'aide à se débarrasser de tous ses vêtements pour pouvoir l'accompagner sous la douche. Je n'avais pas d'anticeptique dans la chambre car nous étions enfermé à double tour, je n'ai donc eu d'autre choix que d'utiliser ce qui était à ma portée : de l'eau.

Le pauvre a lâché un deuxième cri car elle était trop froide parce que j'avais oublié de régler la température.









- Moi : je suis vraiment désolé, pardon.

( il ne dis rien et baisse la tête pour essayer de contenir la douleur )








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Quelques instants plus tard, je termine de le nettoyer et lui sèche les cheveux avant d'aller chercher de quoi l'habiller dans l'armoire.










- Maher : est - ce que tu es vraiment sûr le point de me faire enfiler l'une de tes robes ?










Une Femme Pour Quatre Frères !Où les histoires vivent. Découvrez maintenant