La prophétie de la Pythie

chapitre 1 Madame Kim fit étudier du Homère à ces élèves

Dans la capitale du pays super connectés qu'était la Corée du Sud, il y avait cette classe de troisième d'un simple collège. Les élèves attendaient leur professeur de littérature. Madame Kim, une très gentille femme qui avait débuté le métier que depuis quelques mois. Mais, ces quelques mois avaient suffit pour être aimé de tous, élèves, professeurs, parents d'élèves, la direction.

Elle savait tenir sa classe sans avoir besoin de crier toute les deux minutes. Elle était très pédagogue, intelligente, patiente et donnait envie à tout ces élèves d'apprendre. Ces cours n'étaient pas soporifiques, n'étaient pas incompréhensible, elle avait se petit truc qui donnait vraiment envie d'apprendre. C'était sûrement dû à deux chose: sa façon d'être. Étant assez jeune elle avait le langage et un comportement qui était plus ou moins comparable à ces élèves. Ce qui les faisaent rire et qui faisaient qu'ils s'identifiaient plus facilement à elle.

Et surtout car ce n'était pas des cours sur des vieux textes qui n'intéressait personne. Elle les avait déjà fait étudier des textes de rap américains, ou encore de la kpop. Tous se souvenaient de la fois où pour parler des texte où l'on pouvait retrouver un sens cacher. Elle avait fait écouter "Hot sauce" et "Baby don't stop" tout deux venant du célèbre groupe coréen NCT. Elle ne se cachait pas de clasher gentiment ces élèves.

Lorsque la prof arriva, tous les élèves se levèrent pour la saluer joyeusement. Elle était vraiment belle, des cheveux longs teint d'un côté en vers fluo qui rappellerai quelques choses de toxiques et de l'autre son noir naturel. Son chemisier blanc ne cachait pas totalement ces tatouages représentant un dragon en noir et blanc sur tout le bras droit et un immense cerisier japonais en couleur dans son dos. Sa jupe noir lui allait bien et elle portait un maquillage simple mais élégant.

-Bonjours les élèves comment allez-vous ? Ce n'était pas une formule de politesse, elle était vraiment intéressée par sa.
- Très bien madame, répondirent les élèves en chœurs.
- Je suis contente alors, aujourd'hui nous allons étudiez un poème venant de la Grèce antique très célèbre. Savez-vous du quel je parle ?

Plusieurs levèrent la main. Elle en désigna un.

-L'odyssée d'Homere ?
-Non mais tu te rapproche.
-L'Iliade ? Demanda une fille.
-Non mais c'est bien d'Homere, précisa la prof.
-La prophétie de la Pythie, s'exclamerent plusieurs élèves.
-Exacte nous allons étudier se poème, j'attends de vous que vous trouviez l'implicite dans cette œuvre. N'ayez pas peur de supposer car même encore maintenant ce texte reste assez mystérieux. Il y a pleins de figures de styles, de champs lexicaux.

Après son explication, elle donna trois feuilles à chacun de ces chers élèves. Elle expliqua que la première feuille qui était recto verso était le poème en lui-même. La deuxième était la biographie d'Homere et la dernière la version originale en grec ancien.

-Liser le poème, nous n'allons pas étudier sa forme mais son fond. Donc chercher se qu'il y a d'intéressant dedans. Je vous donne dix minutes, expliqua la prof.

Chaque élève commencèrent à travailler. Les meilleurs élèves trouvaient facilement et les autres plus difficilement.

" Quand le temps approchera armé de sa faux,
Quand les chaînes se brisant et se recréant,
Quand il voudra tuer ces trois traîtres d'enfants.
Quand, enfin, il se libéra de son cachot.

Viendra au pire moment, siècle du savoir.
Affaiblies, rejetés et abandonnés.
Par leurs fidèles, le peuple du savoir.
Seront remplacés, substitués et détrônés.

Enfants nés des divinités et des hommes,
Élever sur Terre sans connaître leurs aïeux.
Possédant le courage d'un surhomme
Devenant de légendaires demis-dieux.

Enfant du plus grand, héritier du tonnerre,
Aussi extraordinaire que son père,
Père de tous, maître de tous, touché par l'ange.
Possédant l'éclair et recouvert de louanges.

Enfant de la mer, de la terre et des volcans
Calme comme la mer mais violent tel l'océan
Ami de tous, seduit par le serpent aux beaux yeux,
Chevauchant la mer, armé de l'arme des dieux.

Froid comme son père, doux comme sa belle mère,
Démon au visage d'ange, cœur aux apparences de pierres.
Hait de tous, aimé du soleil souriant.
L'enfermant dans les sombres cachots pourrissants.

Tel le soleil illuminant les moissons,
Aussi doux mais aussi empoisonné qu'une fleur.
Aimé de tous, mais n'aimant que le chasseur.
Douce et fragile fleur devenant poison.

Enfant surprotégé, maître de la maison,
Enfant fourbe de l'amour et de la foudre.
Enfant pur aux caractères mature.
Douce chaleur sera sa condamnation.

Beauté digne des dieux, frère de la chasseuse.
Au cœur de feu, tel une pierre précieuse,
Doux sourire touchant même la douce mort.
Douce mélodie, brûlant ces fleches d'or.

Enfant égaré, élevé par la lune,
Grand calme, sage, cultivé mais sauvage.
Chassant dans un champs de blé, la lune
Tirant sa flèche, visant les sombres nuages.

Enfant de la guerre et de la sagesse,
Discret comme un chat, clairvoyant comme un rapace.
La chouette observe le vautour tuer.
Délaissant ces livres,s'armant pour protéger.

Enfant du soldat envahit par la haine,
Timide est le meilleur soldat d'Athènes.
Observant sous l'olivier, le sage se battre.
Envoyant ces soldats avec lui le combattre.

Enfant de l'amant et de la plus belle femmes,
Doux et angélique tel est son aspect;
Mais séduisante et royale tel est son âme.
Séduisant quiconque osant le regarder

Enfant du créateur, du sculpteur, de l'inventeur.
Au beau visage divin, se cache un génie,
Créant une bague pour son petit-ami.
Même le temps ne pourra détruire son dure labeur.

Enfant de l'épouse, maîtresse de la maison.
Rêvant d'une douce famille digne de ce nom,
Observant son amant lors d'une de ces créations.
Régnant en maître sur sa grande nation.

Enfant du voleur et du messager ailé.
Croisant deux civilisations différentes,
Capturant dans ces mains la plus belle des perles.
Tuant la nuit, tel un assassin discret."

(Ce n'est pas parfait j'en suis désolé)