Chapitre 27 La ville blanche

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Dix minutes plus tard, les trois garçons la rejoignirent habillé des tenues dans les dressings. Mingyu portait un t-shirt blanc sous un long gilet en laine marron et un pantalon gris. Junhui était tout en blanc: une chemise blanche avec de fines rayures grises claires, sous une veste de style costar mais plus souple blanche. La matière faisait briller le blanc à la lumière, pour le bas il portait un pantalon blanc et tout ce blanc contrastait à ces belles chaussures noirs. Wonwoo de son côté avait abandonné son côté gothique et dont l'apparence ne comptait pas pour quelque chose d'un peu plus chic. Un t-shirt beige avec des rayures blanches et marrons sans manche accompagné d'un pantalon beige. 

-Nous pouvons y aller, déclara Héléna qui se dirigeait vers l'ascenseur suivit des humains. 

Lorsqu'ils entrèrent, les trois garçons entendirent l'androïde dire une phrase en grec. Que Wonwoo comprit comme étant "τελευταίο βήμα" (teleftaío víma) qui signifiait "dernier étage". La cage fut secouer avant de démarrer, Wonwoo s'accrocha au mur alors que Mingyu faillit tomber sur Junhui. Héléna elle ne sembla même pas remarquer la secousse trop occupé à regarder le compteur numérique faire défiler le chiffre des étages.

Lorsque l'élévateur s'arrêta, la porte s'ouvrit et les garçons furent choqués. Ils se trouvaient face à une gigantesque ville grecque ancienne entourant une colline sur laquelle se trouvait . Le sol fait de larges pierres blanches amenaient à diverses temples. On pouvait voir des personnes dans les rues habillé comme à l'époque de Socrate.

-Suivez moi, sa sonnait plus comme un ordre qu'une demande. 

Les trois garçons la suivirent toujours choqués, on pouvait voir deux soldats habillés en spartiates discuter en grec ancien. Une magnifique femme portant une peplos*. Plusieurs enfants se couraient après. Ils passèrent à côté d'une gigantesque arène, un panthéon et de nombreux temple. Ils arrivèrent enfin devant la colline. Cent marches en marbre amenaient à une sorte d'autre ville cent fois plus luxueuse. Ils les gravirent et tombèrent sur ce une place en marbre où au milieu se trouvait une gigantesque fontaine où se baignait dedans plusieurs filles. Plusieurs rues conduisaient à cette places. Junhui compta quatorze temple se répartissant sur les cinq rues plus le principale qui se trouvait face aux quatre voyageurs caché légèrement par la fontaine. Ils contournèrent la fontaine et Wonwoo comprit la conversation des femmes.

-Ils sont nouveaux ? C'était une jolie fille de seize ans rousse qui l'avait dit.

-Ils le sont sinon sa aurait fait longtemps qu'on aurait appris que de si beaux garçons vivaient ici, c'était une autre celle-ci blonde qui avait parler. 

-Je me ferais bien le plus grand, dit la rousse. 

-Tu es folles Béroé ! S'exclame une troisième celle-ci aux cheveux bruns, vu son apparence il doit être fils d'Arès.

Wonwoo n'entendit pas plus car ils venait d'entrer par l'énorme porte en bois sculpté. Cet endroit semblait être un vrai labyrinthe mais ils finirent par arriver sur un grand jardin. Il semblait si calme, si paisible si beau. Enfin si on oubliait ces deux personnes qui se battaient, ils se rapprochèrent et quand Mingyu reconnu l'homme il se tendit. L'homme était bien son cher père qui combattait une magnifique femme qui lui disait quelque chose. Ces longs cheveux blonds étaient coiffé en un chignon vite fait, elle portait une peplos et des sandales de l'époque. Elle tentait de le tuer avec une lance. Un hululement se fit entendre, Jun remarqua une chouette effraie posé sur un arbre. Il réussit à la plaquer contre une colonne de pierre violemment en l'étranglant. Le bruit que son corps causa en percutant la pierre se répercuta dans tout le jardin. 

-On devrait pas faire quelque chose elle va se faire tuer, s'inquiéta Jun.

-Ne vous inquiétez pas mademoiselle est tout à fait capable de ce défendre. 

D'un coup un grand coup de vent fit éjecter l'homme. Il vola cinq mètre plus loin atterissant sur un mur. Elle tomba à terre en respirant difficilement, d'énormes marques rouges entouraient son cou. Elle se releva et l'homme fit de même, alors qu'ils allaient continuer à se battre mais une femme les empêcha. Elle était magnifique, non le terme était trop bas c'était sûrement la plus belle femme du monde. Elle portait une robe blanche en partie transparente longue split col bateau fendu le côté élégant de soirée noir. Ces longs cheveux bruns étaient décorés de fleurs et elle portait un maquillage impeccable.

-Athéna, Arès calmez vous, les deux lui lancèrent un regard noir la faisant sourire, pourquoi vous battez vous en une si belle journée. 

-Aphrodite écartes toi ou tu vas te casser les ongles, préviens la déesse sur les nerfs.

-Ecoutes la sa serait dommage que tu sois blesser, ajouta le dieu.

Elle leva les yeux et tourna la tête vers les humains. Elle lâcha un "oh" surpris et elle leur fit un petit coucou, les deux dieux qui étaient à deux doigts de se sauter dessus regardèrent dans leur direction et virent ce qui avait capté l'attention de la déesse de la beauté. Athéna écarquilla les yeux en voyant son fils et le dieu lui fusillait le sien, il n'oubliait pas son insolence. La mère d'Eros s'avança gracieusement vers les collégiens. Elle était encore plus belle de près.

-Bonjours les enfants, sa voix était douce mais en même temps arrogante c'était dure d'expliquer. 

-Bonjours mademoiselle Aphrodite, Héléna s'inclina avec respect.

-Oh bonjours ma belle comment tu vas ? 

-Bien mademoiselle et vous ? 

-Bien jusqu'à que deux idiots s'amusent à s'entretuer sous ma fenêtre. Et vous les enfants vous allez bien ?

-Oui mademoiselle, Wonwoo était clairement méfiant envers cette inconnue.

-Super bien, Jun lui au contraire semblait à l'aise trop occupé à admirer l'architecture pour être sur ces gardes. 

-O-Oui mademoiselle, Mingyu était clairement troublée par la déesse qui était l'amante de son père.

Wonwoo regarda l'autre déesse... sa mère. Elle était très belle mais pas de la même façon que sa sœur. Elle avait un coté sauvage mais simple, qui opposait celle superficiel de la sœur. Les deux se regardaient dans les yeux, il pouvait voir le trouble et la panique dans ces yeux. Aphrodite le remarqua mais vit aussi le fait que Mingyu et son père ne semblaient pas trop s'aimer. Elle allait avoir beaucoup de travail, non parce qu'entre le sale caractère d'Arès et Athéna qui n'osera pas s'approcher de son fils... Elle tapa dans ces mains.

-Les enfants je me présente je suis Aphrodite la belle et magnifique déesse de l'amour, et les deux qui se battent sont sans étonnement Arès et Athéna appr...

-J'y vais, interrompit sèchement Arès alors qu'il partait Mingyu se senti d'un coup mieux.

Y avais beaucoup de travail pensa amèrement Aphrodite. Elle soupira et se tourna vers Athéna, celle-ci décida aussi de partie mais salua avec politesse les gens. Athéna était un du style tsundere et elle est effrayer de parler à son fils. 

-Je vous fais visiter les enfants ? 

Elle n'attendit pas leurs réponse qu'elle partie, Héléna la suivie sans réfléchir et les trois garçons la suivirent étonnés.

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La robe portée par les femmes dans la Grèce antique s'appelait « peplos ». Il s'agissait également d'une sorte de tunique de laine blanche qui s'enroulait autour du corps et descendait jusqu'aux pieds, laissant les bras découverts.

La prophétie de la PythieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant