Depuis toujours, les gens fuyaient Jihoon, il n'avait été entouré que de mépris, de violence, et de solitude. Que deux personnes lui avait offerts de l'amour: sa très chère mère et celle qu'il avait toujours considérée comme sa grande sœur. Le reste du monde soit le détestait soit l'ignorait.
Il a toujours sentit cette fracture entre lui et les autre dès son plus jeune âge. Il avait toujours été plus petit que ceux de son âge, il n'avait jamais connu son père, en différence des autres garçons, il n'était pas bruyant et agité mais au contraire calme et sage, il n'aimait pas les voitures, il n'aimait pas courir partout, ce qu'il aimait était de lire, écrire.
Alors que les autres enfants jouaient ensemble, lui aimait la tranquillité. Et ces petites choses qui semblaient anodines avaient suffit à le catégorisé comme bizarre. Si on ajoutait son regard naturellement froid les enfants avaient finit par ne pas vouloir l'approcher.
Et plus il voyait les autres enfants, le fuir, plus il se renfermait sur lui même. Quel dommage, car si quelqu'un avait ignorer les rumeurs alors il se serait rendu compte que Jihoon était quelqu'un de joyeux et très intelligent, qui avait un sourire lumineux. Un garçon qui rougissait facilement aux compliments le rendant attendrissant.
Un jour alors que Jihoon avait six ans, la maîtresse avait proposés aux enfants de dessiner la personne avec qui ils voudraient finir plus tard. Jihoon, qui était dans son coin, avait dessiner un garçon aux cheveux blonds, qui semblait danser. Jihoon c'était appliquer pour le faire car il voulait le montrer à sa mère qui était très fatiguée depuis quelques temps. La maitresse avait remarquer qu'en différence des autres garçons, il n'avait pas dessiner de filles mais de garçons. Surprise, elle lui fit remarquer son erreur et sa réponse le surprit.
-Les filles de mon âge, sont ennuyeuses, j'ai peur qu'en grandissant elles le seront toujours autant. Alors je préfère un garçon avec qui je pourrait parler de littérature, de musique ou de danse. Je veux pas être amoureux d'une fille, qui aimera les barbies, les princes charmants et qui attendra que je la sauve.
-Mais tu sais que les filles sont faites pour sortir avec les garçons et les garçons avec les filles.
-Maman m'a dit qu'un garçon pouvait aimer un garçon comme une fille.
-Mais ta mère c'est trompée.
-Maman m'a dit qui j'aimais ne regardais que moi. Je veux juste aimer quelqu'un qui n'est pas bruyant, et qui aime ce que j'aime, et qui n'aura pas peur de moi, sa me dérange pas à quoi il ressemble ni si c'est une fille ou un garçon.
Ce jour-là, la frontière entre Jihoon et ces camarades s'agrandit. La professeur fit un scandale à sa mère disant qu'il apprenait des choses scandaleuses et sexuels aux autres enfants, les parents d'élèves qui n'étaient pas plus ouverts d'esprits, demandèrent à leurs enfants de ne pas s'approcher de lui.
Les enfants qui le eurent enfin une raison valable l'exclurent encore plus. Ce fut le début de nombreuses années où Jihoon se faisait vraiment harceler en se faisant insulter ouvertement, le frappant même. Jihoon ne dit rien à sa mère, pourquoi ? Tout simplement car elle était de plus en plus fatiguée et qu'il ne voulait pas la déranger.
Dans tout les cas, il était sûr de ne pas être dans la faute car sa mère lui avait toujours apprit à ne pas juger les gens et que l'on pouvait aimer n'importe qui et qu'il fallait ignorer ceux qui répondait la haine. Elle accrocha même son magnifique dessin ou plutôt ce qu'il en restait car la maîtresse l'avait écrabouiller ce jour-là.
Sa l'avait grandement attristé mais sa mère, lui avait proposé d'en refaire un et qu'elle était contente qu'il ait tenue tête à sa maîtresse. Il lui avait donc refait un dessin et elle avait exposer les deux sur le frigo, en déclarant qu'elle avait hâte, qu'il rencontre celui avec qui il pourrait parler d'art sans être juger.
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La prophétie de la Pythie
Fanfiction[Tome 1 de "Les treize"] Wonwoo connaissait Mingyu comme le camarade de classe bruyant, de bonne humeur mais surtout très maladroit qui avait l'habitude de l'observer. Mingyu connaissait Wonwoo comme le camarade de classe discret, froid, mais surtou...