Chapitre 51 Une fleur de cerisier

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Les jours passèrent tranquillement et la fin de janvier et le début de février arriva rapidement. Dans un petit village calme pas très loin de la capital, se trouvait un adolescent qui s'occupait de la serre qui appartenait à sa famille. Sa grand mère travaillait comme fleuriste et était aimée de tous pour ces magnifiques compositions. L'adolescent fredonnait une quelconque chanson pop alors qu'il arrosait des Ixia. Quand il eu finit d'arroser ces fleurs, il alla couper des jonquilles pour en faire un bouquet destinée à une de ces voisines puis passa le ballet dans la boutique en continuant de chantonner puis enfin il coupa les fleurs fanée.

Quand il eu finit, il se posa sur l'escabeau au fond de la pièce, enleva ces gants et passa une main dans ces cheveux noirs qui lui collait le front à cause des efforts qu'il avait effectuer et tira un peu sur sa chemise blanche pour se faire de l'air. Alors oui, on était en hiver mais l'endroit possédait une bonne température, et il ne savait pas comment expliquer mais il n'avait jamais l'impression d'avoir froid à côté d'elle. Il s'étira un peu avant de sortir son téléphone et de regarder l'actu. Il y avait cette histoire de ce couple coréen tuer à New York où le fils à disparu. Au dernière nouvelle il aurait été vu dans les bas fond de la ville par un SDF et il semblait vivant.

Il y avait aussi l'actu people qui s'affolait depuis des semaines car le fils du premier ministre, le fils de l'amiral Kim, le beau fils du riche messieurs Jeon, l'acteur Wen Junhui et le fils héritier de Xu incorporation traînaient ensemble. Le jeune ado se dit que la vie de riche ne devait pas être simple entre les paparazzi et l'hypocrisie des gens. Lui il aimait sa vie comme elle était, avec une gentille grand mère, quelques amis, une vie tranquille, des profs gentils... Sa vie lui allait très bien comme sa.

Il mit de la musique sur son tel qui diffusa dans la boutique Fighter de The Score et chanta alors qu'il faisait les compte de la boutique. Sa grand mère commençait à devenir vieille alors quand il avait du temps il venait travailler à la boutique pour qu'elle puisse se reposer. Mais sa ne lui posait absolument pas de problème, il adorait traîner dans cette boutique aux milles senteurs. Alors qu'il nettoyait les vitres, le carillon à l'entrée sonna mélodieusement et le jeune ado se tourna vers celui-ci et vit une très jolie adolescente plus vieille que lui sûrement une lycéenne.

Pourtant il était sûr qu'elle ne venait pas d'ici et il ne savait pas pourquoi mais il avait le sentiment qu'elle était mauvaise. Une alarme dans sa tête c'était déclencher lui ordonnant de la fuir mais il ne pouvait pas fuir une inconnue comme sa alors il demanda avec un sourire qu'il espéra avoir l'air vrai.

-Bonjours que puis-je pour vous ?

Elle continua de le regarder dans les yeux plusieurs seconde le mettant un peu plus mal à l'aise. Il déglutit lentement en espérant sincèrement qu'elle n'était pas une psychopathe. Elle finit par s'approcher de lui et quand elle fut à moins d'un mètre de lui et qu'elle essaya de s'éloigner d'elle, elle lui sourie et si normalement les sourires étaient sensé être rassurant ce ne l'était pas dans cette situation.

- Je voudrais un bouquet de cyprès, de gentianes blanches de branche d'If et d'œillet rouge  s'il te plais mon chou.

Sa voix ne rassura pas vraiment le garçon, elle semblait se vouloir séduisante pourtant il avait cette étrange sensation d'entendre une voix robotique, sans vie.

-B-Bien.

Il se dirigea vers les bacs possédant les fleurs puis réalisa quelque chose. Ce bouquet semblait bien trop atypique pour que les fleurs choisies ont été prises au hasard. Elles avaient toutes des symboliques triste en lien aux deuil l'effrayant un peu plus, elle ne semblait pas à quelqu'un en deuil alors pourquoi prendre ce genre de fleur qui n'allaient esthétiquement même pas ensemble.

Quand il eu finit, il se retourna et sous le choque laissa tomber le bouquets de fleurs de la mort au sol. Il recula et quand son dos tapa contre un bac il se laissa tomber à terre. La terreur et l'incompréhension se lisait sur son visage alors qu'il observer ce monstre, cette chose qui tranquillement posé sur le comptoir de la caisse le regardant avec un mélange de cruauté et d'amusement. C'était sa cette chose prenait un plaisir malsain à le voir dans cet état.

-Q-Q'est ce que, bégaya-t-il.

Cette chose devant lui qui avant ressemblait à une lycéenne normal quoique folle, était ce qu'il apprendra plus tard être une empousa. Ces démones qui cachaient leur apparence monstrueuse et surtout leurs jambes l'un d'âne l'autre de bronze. Elle rigola de sa terreur avant de sauter du comptoir et s'approcher de lui, elle rigola un peu plus en le voyant trembler comme une feuille. Pris de panique il attrapa la première chose qu'il vit qui était un pot en céramique et lui balança à la gueule. Elle l'évita facilement et rigola un peu plus, le pauvre garçon était à deux doigts du malaise, qu'avait-il fait pour arriver dans ce genre de situation.

Il ferma les yeux en priant, sa main toucha une rose fanée à terre et c'est à ce moment que la vie de ce jeune garçon changea pour toujours. Ces yeux passèrent noirs à un reflet vert et il écarquilla les yeux de surprise comme la fille après que de grosses racines de la taille d'un point sorte du bac derrière lui et foncé vers elle. Elle l'évita de peu mais si l'une des racines ne se planta pas dans son cœur, elle lui ouvrit le bras. L'humain hurla de leur en voyant du sang violâtre coulé de sa plaie. Son hurlement créa une nouvelle vague d'étrangeté.

De la mousse se mit à pousser sur les murs, un jeune citronnier empoter dans un gros pot poussa jusqu'à atteindre le triple de sa taille détruisant le pot, les racines rampèrent tel des serpents sur le sol et l'une d'elle s'accrocha même à la jambe de métal. Le cœur du jeune garçon battait la pleine chamade et pourtant il sentit une sorte de réconfort lorsqu'une fleur de cerisier lui tomba sur le nez. Il leva la tête et vit que derrière lui un gigantesque cerisier japonais avait poussé.

Il regarda la bête et vit qu'elle c'était libéré, elle allait l'attaquer quand une lance se planta dans son cœur avant de disparaître. La femme se désintégra et l'ado pleura en voyant sa grand mère. Elle regarda le désastre qu'était devenue sa boutique avant de regarder son petit fils, elle s'approcha de lui et l'enlaça. Il se colla à elle en pleurant et elle tenta de la consoler.

-Sa va aller Seokmin, le rassura-t-elle, sa va aller je te le promet.

La prophétie de la PythieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant