Chapitre 36 Repas de Noël chez les Kim

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Et si le repas de Noël de Wonwoo était remplit de dispute et de tension, celui de Mingyu au contraire était remplit de joie. Il était tôt, vingt heure n'avait pas encore sonné. Mingyu était triste les jumeaux n'avaient pas pu venir, l'une de leurs maisons de vacances dans le sud de la France avait brûler et ils avaient été obliger d'y aller pour. Mais en tout cas, Mingyu était concentré pour l'instant à la préparation des crevettes. Sa mère avait mit de la musique et organisait la table pendant que son frère se préparait et que son beau-père était aller chercher les bouteilles dans la cave.

Alors qu'il cuisinait, Mingyu entendit qu'on sonnait à la porte, il s'essuya les mains puis partie ouvrir. Il sourie grandement en voyant son aîné à la porte. Seungcheol portait un gros sweat bleu nuit sous une veste en fourrure de luxe marron avec un jean. Les deux amis s'enlacèrent comme il se devait. Il salua le grand frère de son ami ou plutôt son demi-frère. Car Min-Soo était né d'un premier mariage de son père et Seungcheol était né d'une relation entre sa mère et son petit ami de l'époque. Min-Soo ne ressemblait absolument pas à son demi-frère, autant physiquement que dans la personnalité.

Mingyu attrapa le beau manteau de Choi Chun-Ja, la mère de Seungcheol pour l'accrocher au porte manteau. C'était une très belle femme travaillant comme chirurgienne dans le meilleur hôpital du pays. Elle lui sourie en le saluant. Il fit de même avec celui de Nam-Kyu. L'homme portait un costard noir très élégant.

-Tu es très élégant aujourd'hui Mingyu, la médecin caressa la joue du jeune ado.

-Merci Chun-Ja toi aussi tes super jolie aujourd'hui.

La femme rigola attendrit, elle connaissait Mingyu depuis sa naissance et le voyait comme un de ces enfants. Elle alla saluer la maîtresse de maison pendant que Mingyu saluait son époux.

-C'est dommage que les jumeaux ne peuvent pas venir.

-Allée Gyu, Seungcheol posa son bras autour de l'épaule du géant, à t'entendre ils sont mort, alors qu'ils kiffent leur vie dans le sud de France.

-Mouais mais sa fait tellement longtemps que je ne l'ai pas vu, il se mit à bouder, il pouvait pas envoyer des gens en France et rester ici avec nous.

-Aller arrêtes de bouder Gyu ils vont nous ramener plein de pâtisseries françaises tu verra. Sinon, comment tu vas ?

-Bah super et toi ? Pourquoi il avait l'impression qu'il allait se faire baiser.

-Car d'après Eun-Bi, tu aurais amener Jeon Wonwoo à son café et tu serais aller voir son oncle pour qu'il t'offre son nouveau ordi.

Voilà il se faisait baiser, il ferma les yeux en se rappelant d'étriper Eun-Bi quand il la verrait.

-Alors comment sa se fait que tu traîne autant avec Jeon.

-Bah on est ami.

-Ami ? T'as passé je sais pas combien d'années à pleurer car il t'ignorait quand tu voulais être son ami et maintenant vous passer tout votre temps ensemble c'est bizarre quand même.

-C'est bon t'as fini de me coller ? Faut que j'ai finir le repas.

Mingyu partie dans la cuisine pendant que son ami rigolait. Seungcheol se posa dans le salon à côté de son frère qui envoyait des messages. Il commença à discuter avec le demi-frère de Mingyu. Il adorait ce gosse, il discutait aussi avec les adultes. Au bout de dix minutes, Nam-Kyu reçu un appel, il s'excusa et s'éloigna pour appeler.

-Comment sa se passe à la maison bleu en se moment ? Demanda la militaire à son amie qui soupira lourdement.

-Sa va enfin si on oublie l'offre taré qui veux nous balancer des bombes à la gueule, sinon en vrai sa va en se moment. Et toi ? J'ai entendu dire que tu avais des problèmes au travail.

-Rien juste que certains n'apprécie pas vraiment qu'une femme qui ne vient pas d'un milieu aisé soit aussi haut placé dans la société. Mais bon j'ai l'habitude.Sinon Cheol comment se passe l'école ?

-Sa va, les cours passent tranquillement et les profs nous mettent énormément la pression.

-Sinon avec..., elle n'osa pas dire son nom mais ils l'avaient tous comprit.

-Sa va, son sourire était tellement faux que sa attrista les femmes.

-Chéri, madame Choi serra doucement la main de son fils.

-Si tu veux Cheol, je peux la faire disparaître, proposa madame Kim, il ne me serra pas dur en plus t'es le fils du premier ministre et le pays entier t'aime alors ne t'inquiète pas.

-Merci mais je pense que l'on va éviter de faire disparaître la fille du ministre de l'économie si tu veux bien, il appréciait la proposition de la femme même si sa l'attristait.

-Aller, la maîtresse de maison tapa dans ces mains, ne pensons pas à des choses négatives. Mingyu ! T'as fini de préparer le repas ?

-Si tu venais m'aider à la place de faire la discussion sa le serrait le cas, râla le fils.

-Quand tu ramènera l'argent à la maison tu pourra te plaindre !

Les invités pouvait entendre Mingyu râler comme quoi il était l'esclave de la maison. Il arriva quelques minutes après avec un plateau d'apéritif, il servit aux adultes des flûtes de champagne et des cocas aux mineurs.

-Voilà l'apéro pour tout le monde, il s'affala sur le canapé.

-Merci mon cœur.

-Mouais, il commença à grignoter les tartines de foie gras.

Messieurs Choi arriva, remercia pour la coupe puis soupira longuement.

-Sa va chéri, s'inquiéta Chun-Ja.

-Oui ne t'inquiète pas juste le travail.

La discussion reprit tranquillement et ils profitèrent de l'excellent repas qu'avait préparer Mingyu, ils avaient reçu un appel de la famille Kwon pour se souhaiter bon noël. Et quand minuit sonna, Mingyu envoya un message à Wonwoo.

La prophétie de la PythieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant