BONUS 1

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Nathan Presley :

Alcoolisé, je ne savais pas comment je m'étais retrouvé dans la chambre de cette inconnue. Mais putain, je n'allais pas me plaindre alors que mes mains apprivoisaient son corps.

Comment s'appelait-elle ? Je n'en avais rien à foutre, je voulais seulement baiser sa petite chatte. Et elle allait aimer ça.

Peut-être que je baiserais sa bouche à l'occasion.

Ses petites mains s'attardaient sur ma braguette alors que mon haut noir traînait déjà sur le sol de sa chambre. Elle embrassait avec avidité mon cou, et tout ce à quoi je pensais était que j'aurais tué pour avoir une vue pareille.

D'où nous étions, à quelques pas de son lit, nous pouvions apercevoir les gratte-ciels illuminées de la nouvelle-Amsterdam tandis que l'obscurité avait complètement englouti les rayons lumineux du soleil.

C'était sûrement une fille à papa qui collectionnait les cartes de crédits.

En ayant assez de la laisser me traiter comme un jouet, comme si elle était aux commandes, je poussais l'inconnue sur son propre lit afin qu'elle s'écrase entièrement sur ce dernier.

Je vins me placer au dessus-d'elle, et, ses cheveux éparpillés sur son matelas, elle me rappelait curieusement ma copine, Eleena. Mais elle mit court à cette pensée lorsqu'elle attrapa brusquement ma nuque pour m'obliger à l'embrasser.

Je forçai la barrière de ses lèvres pour que ma langue vienne caresser la sienne. Ainsi, l'alcool âcre et sucré qu'elle avait bu plus tôt dans la soirée venait imprégner ma bouche, me rappelant à quel point j'étais en train de pécher.

Ses cheveux étaient aussi blonds que du sable, elle était uniquement vêtue d'une culotte en coton, elle ressemblait à un ange délicat. Un ange insatiable, égoïste et prêt à m'accueillir tant elle mouillait pour moi.

Je vins prendre un de ses seins en bouche en venant masser l'autre. Je suçai sa chair durcie alors qu'elle gémissait et se frottait contre mon érection sans la moindre gêne, sans la moindre retenue.

Mon sexe gonflé en devenait douloureux, mais je voulais lui procurer du plaisir. Je voulais qu'elle se rappelle tous les jours de sa misérable existence que je l'avais baisé alors que moi, je serais incapable de la reconnaître si je la croisais dans la rue.

C'était ça mon fantasme, m'introduire dans la tête des femmes et des hommes que je croisais. Ensuite, je les baisais dans tous les sens du terme.

Aucune rédemption n'était à ma portée, mais j'étais le maître du jeu.

Plus personne ne pouvait m'atteindre si j'étais le premier à frapper. C'était une leçon que j'aurais souhaité acquérir avant de rencontrer Romane, avant qu'elle abuse de moi.

Ses petites mains tiraient mes cheveux noirs et je soupirai de plaisir contre son sein. Non pas parce que j'aimais ça, mais parce qu'inconsciemment, elle appuyait sur une de mes scarifications, là où personne ne pouvait les remarquer.

Putain.

J'aimais qu'elle me fasse du mal, ça m'excitait. Même si elle ne s'en rendait pas compte.

Elle continuait à me baiser à travers nos vêtements tandis que je mordillais son téton, m'assurant de ne laisser aucune marque. Je désirais qu'elle ait l'impression que je n'étais qu'un rêve, une illusion.

Finalement, je me penchai pour attraper le préservatif que j'avais posé sur sa table de nuit. L'inconnue déposait des petits baisers sur mon torse en me tenant par les hanches.

VenimeuseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant