Joyce et Jackson se connaissent depuis qu'ils sont petits, ils ont tout vécu ensemble, se sont toujours soutenus quoiqu'il arrive et ne se sont jamais lachés. Leur amitié que tout le monde voit comme indesctrucitble est pourtant menacée par le passé...
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Le retour en taxi passe à une vitesse interminable, mais quand on arrive enfin à destination, on paie très vite le chauffeur et marchons rapidement vers notre chambre.
Quand je referme la porte de la pièce derrière moi, je me tourne directement vers Jo qui me sourit.
Son sourire est éclatant et lui va magnifiquement bien. Je m'approche d'elle et dès que je suis assez proche d'elle, mes mains encadrent son visage le temps de sceller ses lèvres aux miennes.
Ses mains glissent dans mes cheveux et s'y accrochent fermement. Les miennes caressent la peau nue de son dos et je sens le frisson qui la traverse. Elle se tortille dans mes bras pour se coller à moi.
Les papillons présents dans tout mon corps me chatouillent le cœur, le faisant battre plus vite. Je n'entends plus rien à part la respiration saccadée de Jo et la mienne qui cale à la sienne.
L'instant se déroule au ralenti.
Lentement et sans gestes brusques, je l'entraine sur le lit. Elle s'y allonge d'elle-même pendant que je me place au-dessus d'elle. Elle reprend possession de ma bouche et joue avec ma langue comme si elle le faisait depuis toujours.
C'est tellement magique que je souhaite juste que ce moment ne se termine jamais. Mes mains se baladent sur son corps, passant de ses hanches à ses cuisses avec douceur.
Sa peau est tellement douce.
Ses paumes quittent ma nuque et je sens qu'elle défait le premier bouton de ma chemise. Pour qu'elle puisse voir ce qu'elle fait, je me détache de ses lèvres et descends à son cou.
Elle sent si bon, mon Dieu.
Ses doigts froids effleurent quelques fois mon torse et quand elle finit de défaire tous les boutons, je retire ma chemise et la balance quelque part dans la chambre sans y porter de réel intérêt, beaucoup trop occupé par le cou de Jo.
Au bout d'un moment, elle attire mon visage vers le sien pour plonger son regard dans le mien.
— Je t'arrête avant que tu ne me laisses des marques, sourit-elle.
Je rigole légèrement.
Je redescends mes mains au niveau du bas de sa robe pour la lui retirer, mais avant qu'elle ne remonte au-dessus de ses cuisses, je lui demande :
— Je peux te l'enlever ?
Elle hoche la tête sans hésitation et je ne me retiens pas plus avant de passer la robe au-dessus de sa tête pour qu'elle se retrouve en sous-vêtements. Mon regard ne peut s'empêcher de contempler toutes les parties de son corps. Elle porte un soutien-gorge et une culotte de différentes couleurs tous les deux, ce qui me fait sourire.
Ma bouche se colle presque à son oreille quand je lui murmure pour la mettre en confiance :
