Chapitre 53

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Mon esprit était blanc, je connaissais cette endroit. Je le connaissait, je l'avais vue une fois. Je continua à avancer vers la fin du tunnel. Je veux mourir. Je vais y arriver. Pourtant, pourtant mes yeux se tiunerernt, vers ses gens malheureux à coter de moi, ils étaiebt si nombreux. Tant de gens conter sur moi. Mais mon cœur était si lourd. Trop lourd je voulais revoir Baji, Snachiri et même mon père. Alors j'avançais quand j'allais enfin sortir de la zone blanche quelqu'un se jetta sur moi.
- Maoï, tu m'avais promit que tu n'allais pas d'abandonner.
- désolé Maiky.
Min cœur se brisa un peu plus et je continua mon chemin pour arriver dans une zone noir complètement noir. Dans cette zone j'appersur Baji. A côté de lui il y avais Sanjiro. Je courus vers eux je leur sottzd dans les bras ils était au is froids que le jours où il était mort.
- Qu'es que tu fais là la naine ?
Je pleura dans leur bras, il m'avais telement manquer.
- Je voulais vous revoir, vous me manquer trop je ne peux rien faire sans vous.
- petite tête, je t'ai déjà dis d'arrêter de vivre pour les autres. Il y a des pilier Gans sur tu aime tu veux vraiment tous les quitter pour nous ?
- J'ai plus la force Sanji (le frère a Maily) . J'arrive plus à être heureuse. J'arrive pa ssnas vous j'ai plus la force.
- Tu as plus de force que tu crois, t'es la plus forte du Toman dit Baji. Allez n'abandonne pas. C'est toi qui m'as toujours dis de jamais abandonner tant qu'il y avait un espoir et des gens pour te soutenir. T'as les deux tu n'as pas à être là la naine.
- Mais'...
- puis on est toujours avec toi Maoï, ne l'oublie pas.
- Mais y a tout le monde qui pars à cité de moi, j'ai peur, j'ai mal, alors j'arrive plus à vivre et...
- Et ne pleure pas. Tu sais tu fais zortis du monde des des vivant tout se repars ou s'arrache ici rien ne peux changer. Alors retourne de la out u viens.
- J'ai pas envie de repartir je ne veux plus jamais avoir mal au cœur.
- Maoï, s'il te plaît rentre chez toi et vie, tu n'as pas à mourir. Tu es trop exceptionnel. Je veux que tu aille mieux, pense à tout ses gens que tu aime. Tu n'as plus envie d ekes voir.
- Je les verrais d'ici.
-Tu crois que la vue et plaisante d'ici. A ma mort de te voir pleurer seule sur cette tombe te torturer par ce que tu pense que si tu meurt il vont pas reahur. La mort vas te torturer.
-¶ Vous voulez vraiment que j'y retourne ?
- oui. Dirent les deux en même temps.
- Je peux rester encore un peux avec vous ? Je ne veux pas vous lâcher.
Les deux là serrent en peu plus fort dans leur bras.
- allez vas y maintenant, on t'aime Maoï, rejoins nous dans lontemps.
- Merci. Vous me raccompagner ?
Dit la jeune fille en repartant. Ils partirent, elle fit le chelain inverse plus ses pars se rapprocherent de la sortie plus son cœur était lourd, elle s'arrêta. Baji et Snachiri aussi.
- allée vas y.
- J'ai peur, j'ai mal, la même douleurs qu'avant de partir.
- Sa vas allez. Dit Baji en la prneannt une nouvelle fois dans se sbras. Je suis désolé de t'avoir laissé trop tôt. Et se n'est pas de ta faute si je suis mort d'accord.
- Oui.
- Allez vas y.
- Sanchiro, si j'arrive plus à aider Maiky, tu me pardonneras.
- vous vous aimez telement que tu pourras toujours l'aider.
- tu es sur ?
- certain. Allez vas y.
- Je vous aime
- nous aussi.
Et il s'arrêtèrent la je sortis de cette zone blanche. La porte pour sortir était juste devant moi alors pourquoi je refuser de la prendre ? Pourquoi j'avais si peur ? Je la regarda de longue heure, au fond je n'en avait pas envie. Les parole de kisaki me revinrent en tête "ils seront triste un instant ils seront plus heureux après". Oui, j' avait compris, j'avait toujours fait partie des faibles, j'avait toujours était un boulet, mon père me l'avait appris. Je m'était toujours 1ccricher au autre se qui faisait de moi quelqu'un de fiable. Les seules moment où j'avais était forte était au côté d eles amis. Mais pourquoi se mettre à côté d'eux alors qu'ils disparaisse un à un ? Oui. Au porte d ela mort elle abandonna. Elle laissa tomber le fils de sa vie. En même temps que des pilier d'image arrivèrent dans sa tête. On as beau se battre, on ne peut pas gagné si on est faible. J'etais faible de croire un 8nstajt que j'etait dans les forts. Adieu, pardonne moi Maiky je n'ai pas tenus ma promesse, je t'ai abandonné.
Aidez-moi.

Une larme, un sourire, un espoir Mikey X OcOù les histoires vivent. Découvrez maintenant