27. Amitié

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Elle sort de ma chambre en courant. Je l'ai blessé,  je le sais mais tout est de sa faute, elle n'aurait jamais dû venir dans ma chambre.
Je ne devais pas l'embrasser cependant c'était beaucoup plus fort que moi.

Quand je l'ai vue de mon balcon se déshabiller, une chaleur indescriptible s'est logée au fond de ma poitrine. Ma bosse quant à elle s'est réveillée.

J'ai pris une serviette avec moi et je suis descendu pour mettre fin à se supplice.

J'avais l'intention de lui gueuler dessus mais quand j'ai ramassé son soutien gorge dans l'eau, toute mes bonnes résolutions ce sont envolées.

La voir ainsi, presque nu devant moi, était une grosse et grande tentation. Je me suis retenu de toute mes forces pour ne pas craquer.

Je ne devais pas céder, nous n'avions pas le droit. En plus je ne cesse de me répéter qu'elle n'est pas mon style de fille. Alors pourquoi je suis dans tout mes états.

Je suis comme un loup en cage.

Je suis monté prendre une douche pour faire redescendre toute la pression et j'ai laissé son soutif dans la poche de mon pantalon qui était dans le panier à linge sal, va savoir pourquoi je l'ai pris avec moi.

Quant elle est entrée vêtu de ce petit short trop sexy à mon goût et ce démembré où je pouvais voir sans mal la naissance de ses seins.

C'était trop pour moi. En plus elle n'avait rien mit en dessous.

Voir ses seins me faire ainsi de l'œil dans ce haut blanc et l'imaginer nu sous ses vêtements, j'ai craqué.

Dire que je n'ai pas apprécié goûter ses lèvres pulpeuses et charnues serait un mensonge.

J'ai adoré.

Quand j'ai traversé la barrière et ses lèvres et qu'elle s'est mise à gémir, j'ai cru devenir fou.

J'allais faire une bêtise.

La prise que j'effectuais sur son cou n'était plus suffisant, j'en voulais plus, beaucoup plus alors je ne suis éloigné.

Elle était perdue, ne comprennant pas ce qui s'est passée. Mais je devais l'éloigner de moi au plus vite alors je l'ai viré.

Nous n'aurions jamais du faire faire ça. J'ai bien remarqué qu'elle essayait de copier et s'habituer à mon rythme mais putain qu'elle embrasse vachement bien.

Ce n'était pas parfait, il y'avait une touche d'innocence qui me laissais tout contrôler à ma guise et ces justement ça qui m'a plu.

Ses lèvres avait littérature un goût sucrée, exquis.

J'en veux encore. J'ai presque envie de la rattraper et passer ma nuit à me perdre dans ses bras, caresser son corps et sucoté chaque parcelle de sa peau de mes baisers.

J'ai envie de titiller de ma langue et de mes dents le bout de ses seins et découvrir de ma bouche le goût de sa jouissances.

Oui j'ai envie de l'entendre crier mon nom.

Je souffle un bon coup sentant mon sexe au garde bout près à exploser. Je dois encore faire un tour dans la douche j'ai l'impression.

Je m'apprête à partir quand je remarque ses vêtements au sol. Elle les a lâché quand elle a essayé de m'empêcher de m'approcher encore plus d'elle.

Tentative vaine, au contraire ça à  libérer le loup en moi.

Je les ramasse et les mets dans le panier de linge sale, elle viendra les prendre ici.

Enceinte de luiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant