62. Les présentations

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Les parents de Nikolaï sont enfin là et ils sont arrivés vers les treize heures et étaient assez content de me voir. Bon exagére un peu, son père relativement et sa mère un peu moins.
Elle a toujours pensé et une fois dit que je ne méritais pas son fils et son nouveau statut social.

Faut dire avec notre niveau de vie, et le licenciement de mon père, on était du statut social de presque personne. Heureusement qu'aujourd'hui je peux leur offrir une vie qu'ils méritent.

Quand j'ai accouché Alek elle était d'abord contente jusqu'à ce qu'elle voit la couleur de ses yeux. Dans sa famille personne n'a cette couleur  et dans la mienne aussi à vrai dire.

Donc tout le monde était content mais sceptique de cette nouveauté.

J'étais désormais la femme de son fils et elle ne pouvait rien dire surtout qu'à l'époque Nikolaï me défendait ardement et avait interdit tout commentaire sur notre fils de peur de le perturbé.

Depuis elle me regarde bizarrement et regarde mon ventre à chaque fois qu'on se voit. Elle a pris l'habitude de me demande à chaque Noël que 《 quand vois-je donner un héritié à son fils.》

Le message est assez clair, ça pique est à chaque fois de me faire comprendre qu'elle sait que Alek n'est pas le fils de son fils.

Je pense que mes parents ce doute également mais refuse de me poser la question pour ne pas être déçue encore une fois.

Mais vue que c'est mon sang, il accepte. J'ai parfois l'impression de voir mon grand frère en Alek. Faut dire qu'il est un mélange de nous deux.

À part le regarde, les yeux qui sont identiques à son père. Le reste c'est cinquante cinquante.

Je pense qu'il a mes traits (et vue que c'est un garçon, il ressemble à mon frère, on se ressemblait beaucoup) la bouche de son père, mon nez et les oreilles de son père. Les cheveux, un mixage (châtain qui semblent s'éclaircir avec les années).

Papa  l'appele Champion comme mon frère. Je suppose que c'est à cause de cette ressemblance.

Il est presque dix neuf heures et je suis entrain de mettre la table quand Donia (mere de Nikolaï) entre dans la pièce.

- Pourquoi il y'a deux chaises en plus?

- Je reçois des invités. Dis je simplement

- Fallait prévenir, mon fils est-il au courant?

- Hum prévenir qui? Au dernière nouvelle je suis encore chez moi.

- Qu'est-ce que tu veux dire par là, que mon fils n'a pas son mot à dire dans sa propre maison?

- Donia. Je souffle en la regardant. Je n'ai jamais rien de pareil. Juste que pour recevoir des visiteurs je n'ai pas besoin de l'accord de MON mari.

- Hum. Elle regarde mon ventre. Je constate que tu refuse toujours de donner un héritié à mon fils?

Je ne réponds pas. Ça ne servirait à rien.

- Six ans de mariage et toujours rien, j'ai toujours su que tu n'étais pas celle qu'il lui fallait, les mères ont cet instinct. C'est par respect pour tes parents que j'ai accepté ce mariage.

- Maman il y'a un soucie. Dit Nikolaï en s'approchant de nous.

- Non mon chéri, je demandais juste à ta charmante épouse quant est-ce va nous donner un autre enfant?

Oui oui, le pire c'est que Nikolaï est enfant unique. Il prend sa mère dans les bras et me regarde.

- On y travaille.

Enceinte de luiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant