66. un matin mouvementé

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J'ouvre les yeux et la vision qui s'offre à moi est tout simplement magnifique.

Léna dort à plat ventre, ses deux mains en bas de l'oreiller qui soutient sa tête.

Quelques grains de ses cheveux me barre la vue sur son beau visage.

J'ai passé une nuit mouvementé, une des nuits les plus belles et intenses de ma vie car je l'ai fait par amour et non pour soulager ma libido.

Maintenant que j'ai goûté à ce bonheur j'espère le vivre tout le restant de ma vie.

Hier j'ai profité du feu de l'action pour lui dévoiler mes sentiments, car je ne veux pas qu'elle doute à aucun moment des raisons de ma présence auprès d'elle. Des années plus tôt j'avais renoncé à ce qu'elle peut et est entrain de m'apporter.

Je me redresse et l'envie de l'embrasser, de la faire encore l'amour est très présent en moi.

J'ai presque envie de dire que je suis accro à son corps.

Alors je degage ses cheveux que je ramene d'un côté et commence à lui faire des bisous le long de son dos nu.

J'embrasse chaque parcelle de sa peau que je découvre en profondeur et retire tout doucement la couverture qui m'empêche de goûter à cette peau laiteuse qui me rend fou.

Elle se tortille et soupire, je comprends que madame s'est réveillée

J'arrive au bas de ses reins et à l'encre de ses fesses joliment bombé, je retire complètement la couverture qui me dévoile une nouvelle fois son corps entièrement nu que j'admire encore avant de la dominer de toute ma stature.

Léna est tellement petite que c'est facile pour moi de faire de son corps ce que je veux. Et bizarrement j'adore ça.

Je me positionne au dessus d'elle, et la regarde, elle sourit en gardant les yeux fermés.

Je lui fais un petit bisou sur sa joue avant de lui dire de ma voix rauque.

- Bonjour mon amour.

Je n'attend pas qu'elle me reponde car j'écarte légèrement ses cuisses et la pénètre doucement et m'enfonce le plus profondément possible.

Elle gémit, je grogne.

Elle est tellement bonne et mouillé.

J'adore.

Je me mouve en elle en effectuant de petits va et vient toujours plus en profondeur. Elle se cambre me donnant encore plus ses fesses et écarte ses jambes pour me laisser la possibilité de la pénètrer sans gène.

J'augmente au fur et et à mesure la cadence et son postérieur frappe contre moi au rythme effréné de mes va et vient.

Mon chaton gémit de plus en plus fort et serre le drap. Ses mains ne se trouve plus sous l'oreiller mais en dessous des miennes, de part et d'autre de sa tête. Je retire une de mes mains pour la laisser glisser le long de son corps dans une caresse lente et le guide jusqu'à l'encre de sa chatte enfin de titiller son clitoris.

Elle gémit encore plus fort.

- Dimitri. Dit elle à bout de souffle

- Oui mon amour ? Dis je avec un petit sourire en coin.

- Plus vite.

Je suis d'abord surpris de son répondant et éclate de rire d'un son gurulant avec de lui répondre

- Tout ce que tu désires mon amour.

J'accélère le rythme et elle me murmure des petits 《 oh oui, oui, humm, oui Dimitri 》 qui m'excite encore plus et  très vite nous rejoinons l'extase et je me libère en elle. Je m'écroule sur le côté à bout de souffle et elle se retourne et me regarde en souriant.

- Bonjour mon amour, j'aimerais bien me réveiller comme ça tout les matins.

- Ah ouais? Je dis en essayant de reprendre mon souffle.

- Oui.

- Viens là, donne moi tes lèvres.

Elle se rapproche de moi et on s'embrasse passionnément, je me sens combler.

Cette femme est la femme de ma vie.

- Je t'aime. Me dit elle quand on se sépare à bout de souffle.

Je la regarde et sourit.

- Je t'aime encore plus.

J'attrape ses fesses et l'attire encore plus vers moi. Son genou se pose sur moi et touche mon sexe endormi. Je caresse ses cheveux en la regardant.

Elle est encore plus belle au petit matin, je veux une nouvelle fois l'embrasser quand on entend des bruits de l'autre côté de la porte

- Papa tu sais où est maman ? Dit Galina derrière la porte.

- Oh merde les enfants ce sont réveillés. Dit elle en sautant du lit pour se diriger vers la douche. J'eclate de rire en la voyant faire et un seul de sa part m'indique que je dois arrêter de rire et c'est ce que je fais.

Les une semaine qu'elle a passé ici, elle dormait dans une autre chambre, alors je supporte que c'est là-bas qu'ils sont allés la chercher.

- Papa je peux entrer?

Heureusement Galina s'est qu'il faut toujours signaler sa présence avec d'entrée dans une pièce. Je mets rapidement ma couverture pour cacher le reste de mon corps quand elle ouvre la porte

- Papa où est maman. Dit elle en entrant suivie de près par Alek qui se frotte les yeux.

- Elle se lave. Je montre la douche.

Je vois Alek se diriger directement la vers la porte

- Popopopo, où vas-tu comme ça toi.

- Me laver avec maman. Dit il simple

- Ah ça non, tu ne peux plus te laver avec elle.

- Et pourquoi ça?

- Moi aussi je veux me laver avec maman. Crit Galina

- Non et non. Vous êtes déjà trop grand pour vous laver avec elle. La seule personne ici qui peut se laver avec elle c'est moi. Dis je très sérieusement avec un petit sourire espiègle.

- Quoi? Disent ils en même temps

- Mais pourquoi?

- Parce que c'est moi votre papa.

- Papa toi aussi tu es déjà trop vieux.

- Je...

- Qu'est-ce qui se passe ici?. Léna sort avec une serviette autour de la poitrine et mon regard n'arrête pas de la détailler.

Voir les gouttes d'eaux perlées sur son corps que je sais nu me donne des idées.

- Papa ne veut pas qu'on se lave avec toi . Dit Alek boudeur

- Oui parce qu'elle va devenir ma femme et ma femme, personne à part moi n'a le droit de la voir sous la douche.

- Dimitri. Dit elle

- Quoi? je dis la vérité. Je regarde Alek et Galina très sérieusement.

Je ne partage pas.

- Maman tu peux me porter?

- N... je m'apprête à dire quand je suis coupé par

- Biensur mon coeur

Léna porte Alek et il me tire la langue.

Ces petits monstres veulent me voler ma femme.

Enceinte de luiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant