17. bazar

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C'est Satisfait que je me dirige vers ma chambre, j'ai besoin d'un peu de repos pour pouvoir affronter la soirée mouvementé qui se prépare, j'envisage commencer à faire connaissance avec les filles dès ce soir.

J'entre dans ma chambre et la première chose qui m'accueille sont mes habits éparpillés au sol.

Elle n'a qu'à même pas osé?

Je lève les yeux et trouve mon lit défait, intacte qu'à mon réveil.

Elle n'a rien foutu, pire elle s'est permise de foutre le bordel dans mes affaires.

Mon regard ce noirci et ma machoire se serre, Je suis en colère, je n'ai qu'une seule envie descendre et lui montrer de quoi je suis capable.

Je serre mes doigts et me retiens.
Je ne pensais pas qu'elle serait capable de le faire.

Je souris légèrement quand une idée brillante germe dans mon esprit, j'enlève ma veste pour me couche sur le canapé de mon petit salon en prenant bien soin de retirer les vêtements posés dessus.

Je me réveille quelques heures plus tard, je regarde ma montre et il est vingt heures, je baille et me déshabille en laissant tombé sur le sol chacun de mes vêtements et me retrouve nu comme un verre devant ma salle de bain.

L'eau chaude caresse ma peau et je ferme les yeux, sans le vouloir l'image de Léna à quatre patte apparait devant moi et au plus de ressentir de la colère comme tout à l'heure, je me sens tout drôle.
Encore une fois.
Inutile de toucher mon sexe pour savoir qu'il est entrain de prendre en grosseur et si je n'arrête pas tout de suite je vais me retrouver à bander comme un chien.

Je m'habille assez rapidement d'un de mes costumes sur mesure noir qu'elle a eu l'amabilité de ne pas toucher et je descend.

Toutes les filles sont présentes au salon et Léna seule est entrain de s'affairer à la cuisine.

Préparer pour une trentaine de personnes n'est pas facile on dirait. Je suis assez surpris aucune des filles ne s'est proposée de l'aider.

Je l'ignore et concentre mon attention sur la jeune demoiselle qui s'approche de moi avec toute son assurance. Elle est la première à m'avoir remarqué.

- Bonsoir Dimitri, je me présente Sasha. Dit elle en me faisant deux bise. Je suis ravie de enfin te rencontrer, j'ai beaucoup entendu parler de toi.

- J'imagine.

- Ça te dirait qu'on face un peu plus connaissance ailleurs? Dit elle en me montrant toute les filles qui nous regarde.

- D'accord.

Je la dirige vers la terrasse sans me retourner.

- Déjà sache que j'ai déjà signé le contrat et il est très intéressant, j'aimerais te poser un question si tu le veux bien.

- Je t'écoute

- Pourquoi ne pouvons nous pas abandonné après la signature?

- C'est pourtant évident, je ne voudrais pas que la demoiselle que je choisirai puisse penser qu'elle pourrait faire machine en arrière.

- Même si nous ne sommes pas encore élu au titre?

- En venant ici chacune d'entre vous sait à quoi s'attendre et je refuse d'être d'associer à des gamines qui ne savent pas ce qu'elles veulent. Dis je en mettant mes deux mains dans mes poches.

- J'ai vingt trois ans Dimitri, je ne suis plus une gamine, je suis une femme.

J'affiche un petit sourire

- Sache jeune fille, que seule un homme peut te rendre femme en t'épousant ainsi est faite la vie et ce n'est sûrement pas tes petites coucherie qui feront de toi un jour une femme.  Retournons maintenant à l'intérieur.

Je remarque toute la honte qu'elle  dégage mais elle reste tout de même la tête honte.

Nous entrons et je me fais encercler par les demoiselles en manque d'attention qui demandent chacune leurs tour, d'autre plus mâture je suppose reste à l'écart et observe la scène.

Je leurs délaisse donc et me dirige vers une qui a attiré mon attention tout à l'heure.

- Je ne semble pas être si intéressant pour vous on dirait.

- Dimitri, vous êtes un homme beaucoup trop occupé, pour que je me permette de vos importuner par ma modeste personne

- Et à qui ai-je l'honneur?

- Irina.

- Ravie de faire votre connaissance Irina.

Elle me sourit timidement.

- Le repas est prêt. Annonce une voix forte derrière moi.

Je me retourne et pose mon regard sur elle, Nous nous dévisageons quelques secondes.

- Ne prête donc pas attention à cet fille qui manque à première vue d'éducation, je ne sais d'ailleurs pas pourquoi, tu as accepté de la faire intégré cette maison. Dit Paulina assez fort pour que Léna puisse entendre et les autres filles aussi en se dirigeant vers moi.

Je regarde pauline avec un sourire en coin

- Tu as probablement raison.

Nous nous dirigions tous vers la grande table où tout a été servi avec un peu de soin.

Je m'assoie au bout de la table et les filles se bagarre pour avoir les places les plus proches de moi.

Léna quant à elle est assise sur la chaise juste en face de moi à l'autre bout de la table.

Je regarde les filles autour de moi.

- Bon appétit, vous pouvez vous servir.

Chacune d'elles se serre le stricte minimum et la table se retrouve encore plein à craquer. Elles n'ont pris que la salace.

Je me serre en même temps que Léna et je la voit remplir son assiette. Ce qui m'arrange un petit sourire.

Il y'a au moins une qui ne blague pas avec son ventre.

Elle se fait dévisager pour la quantité de portion de son plat et je décide alors de lancer avec désinvolture

- Je n'ai pas besoin d'une femme anorexique pour être la mère de mon enfant, mon enfant doit être bien nourri

À peine j'ai fini ma phrase que je vois les filles se réservir plus normalement. Je remarque le petit sourire discret de Léna.

Nous réglerons nos comptes tout à l'heure t'inquiète pas. Me dis je intérieurement.

Enceinte de luiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant