Il était vingt heures quand je suis descendu pour dîner, je n'avais pas la force d'affronter Léna après ce qui s'est passé, Irina c'est introduit dans mon bureau alors que j'attendais la venue de Léna pour la suivre jusqu'à ma chambre et je n'ai pas pu dire non à son baiser. Tout le monde est à table entrain de manger et les filles comme d'habitude animent par leurs conversations et disputent. Léna également est là, dans son calme olympiens, elle fait abstraction de ce qui l'entoure et se concentre sur son plat.
Moi qui pensais qu'elle allait me fuir comme elle a l'habitude de faire, je suis assez surpris de la voir là et mal a l'aise.
Les filles doivent forcément se dire que je suis déjà passé à autre chose et ne seront pas surpris si je me rapproche de Irina ou une d'une entre elles mais moi, je sais que tout est différent maintenant.
Elle est assise en face de moi comme chaque jour. Elle a encore retiré trois chaises qui prouve le départ des trois autres et les filles en ont profité pour s'éloigner d'elle de chaque coté. En gros trois chaises la séparation de chaque coté de la table du reste des filles. Elles l'ont écarté du reste du groupe.
Malheureusement ma position m'interdit d'agir au problème des filles.
Assise à ma droite Inna me regarde avec un grand sourire et à ma gauche Irina qui me lance de temps en temps des regards en biais.
Je suppose que c'est ça façon de voir si je vais tenir parole.
Flash back.
- Dimitri je peux te parler?
Je viens à peine de finir d'annoncer ma décision devant toutes les filles.
Je me dois d'être impartial même si je ressens plus d'affection pour Léna. Je dois tenir en compte que je ne suis pas là pour rechercher l'amour mais femme digne de confiance, qui n'aura pas peur d'affronter les media et me laisser mon enfant sans remords, une femme qui sait ce qu'elle veut, stable dans sa tête et qui ne cherchera pas à me faire tomber amoureux d'elle. Alors je ne dois pas commettre d'erreur.
Ma relation avec Léna est spécial, je la désire mais je sais également que ce n'est pas elle qui portera mon enfant.
Nous nous dirigeons vers mon bureau et une fois sur place, je prend place sur ma chaise.
- Je t'écoute.
Elle reste débout.
- Je suis consciente que ça ne me regarde pas mais je veux aider. Je suis la preuve qui prouve que Léna dit la vérité.
Je fronce les sourcils.
- Comment sais tu ce qu'elle m'a dit? Je demande un sourcil levé.
- Parce que j'étais là quand ça c'est passé, j'ai tout vue et entendu. Je peux témoigner devant les autres filles que Léna dit la vérité et Inna s'est faite mal toute seule.
- Qu'est-ce que tu veux?
Je sais bien qu'elle n'est pas venue me voir par bonté de cœur car si c'était le cas elle l'aurait fait depuis mais elle a attendu que je prenne ma décision.
Elle sourit.
- Rien de bien spécial tu sais, je sais que tu ne veux pas qu'elle parte, j'ai même pu récupérer la drogue qu'elle a utilisé hier sur Léna avec qu'elle ne la jette.
- Qu'est-ce que tu veux. Je répète.
- Juste que tu m'accorde TOUTE ton attention cette semaine et dimanche devant le journaliste, la vérité pourra éclater et le monde entier sera témoin qu'aucune femme ne peut te mentir et s'en sortir impunément. Tu pourras alors prendre les dispositions qui t'arrangeront.
Léna sera blanchi devant tout le monde.- Pourquoi une semaine.
- Je ne te demande pas de coucher avec moi. Ni même de gagner cet compétition parce que je veux te mérite, vois tu Dimitri je t'aime depuis longtemps déjà et je suis prêt à faire tout ce que tu veux, juste contre un peu de ton attention. Une semaine parce que je veux que tu apprennes à me connaître, je veux pouvoir passer du temps avec toi sans qu'une autre fille ne te vole toute ton attention. Bon je te laisse réfléchir.
_______
Quand Léna nous a attrapé je venais juste d'accepter sa proposition et elle en a profité pour m'embrasser.
C'est juste pour une petite semaine j'espère qu'elle le comprendra plus tard.
Je la veux près de moi, durant c'est six semaines qui nous reste.
Juste la voir me fais du bien. Et si
pour ça, je dois m'éloigner d'elle. Je le ferai.Je ne veux pas qu'elle me pose des questions maintenant car je ne saurrais pas la répondre.
Elle est toujours concentrée à manger son plat, puis elle se lève pour aller déposer son plat sans me jetter un regard.
Léna froide est revenue.
J'ai bien compris que c'est ça manière à elle de se protéger. Elle retourne dans sa chambre, mais je sais qu'elle reviendra pour laver les plats.
En parlant de ça, à partir de demain matin une domestique viendra faire la cuisine et toutes les tâches ménagères.
Elle dormira dans la maison des domestiques. J'ai bien envie de déloger Léna mais je sais qu'elle n'acceptera pas de dormir avec avec les autres filles. Elle semble apprécier sa solitude.
Quand je fini de manger, je decide de monter dans ma chambre me reposer.
La première chose que je constate, c'est mon lit défait et la tâche de sang qui si trouve.
Je retire tout et m'engage et mettre des draps propres puis part prendre ma douche.
Le liquide glacé tape et glisse sur ma peau comme comme des petites aiguilles et je ferme les yeux.
Les images de la nuit passée traverse mon esprit et je l'entend encore me dire 《 encore, plus fort Dimitri 》je ressens encore ses griffures sur mon dos et ses gémissement. Les petits clapotis de nos deux corps en sueur et en mouvement.
De la rondeurs de ses seins en mouvement quand je la pilonnais de mes coups de rein.
Léna
Je sors de la douche avec une serviette autour de la taille et me rend au balcon que j'ouvre et me place du côté ouest pour l'observer et elle est là. Je la trouve assise sur son lit un petit livre entre les mains. Je ne peux malheureusement pas lire le titre d'où je me trouve.
Sa fenêtre est encore grande ouverte et l'air vient caresser ses cheveux et les faits voler légèrement. Elle est tellement belle. Subitement elle lève les yeux et son regard capte le mien.
Elle se lève du lit, les sourcils légèrement froncé et dépose son livre. Je ne bouge pas. Elle se rapproche de la fenêtre le regard braquer sur moi et je m'attend à ce qu'elle dise quelque chose mais elle se contente juste de fermer sa fenêtre.
- Fait chier!
Je ne sais pas si je vais tenir, son corps me manque déjà. Je retourne dans ma chambre et porte un jogging avant de me coucher.
La semaine sera longue.
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Enceinte de lui
RomanceConnaissez vous le concept de mère porteuse ? Le milliardaire Dimitri Petrov est un homme d'une beauté froide qui ne croit plus en l'amour depuis bien des années. Malheureusement le temps passe et l'âge avance, maintenant âgé de trente cinq ans, il...