94. Que le jeu commence

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C'est toute furieuse qu'elle sort de mon bureau et je la regarde partir avec un petit sourire en coin.

Enfin seul.

Putain, j'arrête mon sexe encore en érection et je me maudits de ne pas être aller jusqu'au bout.

Mais il le fallait, pour lui donner une bonne leçon, le problème cependant est que nous sommes deux à souffrir maintenant. 

J'ai bien envie de me soulager avec mes mains mais le problème est qu'après avoir re-goûter à sa chatte chaude et étroite, il n'y a qu'elle que j'ai envie de sentir.

Je prends place sur ma chaise et soupire

Ça fait un mal de chien,

Cette bonne femme m'a mise dans tout mes états. Je prend une bouteille d'eau dans un armoire derrière moi pour me rafraîchir quand ma porte s'ouvre.

Je suis prêt à crier sur ma secrétaire de me laisser tranquille quand je vois apparaître la grosse tête de Vladimir.

Je l'ignore et bois une bonne partie du contenu de ma bouteille sous son regard attentif.

- Qu'est-ce qu'il y'a encore? Dis je soûler quand je fini ma buvette, lasse qu'il me scrute.

- Qu'est-ce que tu as encore fait à Léna ?

Je le regarde d'abord perdu avant qu'un lent sourire se dessine sur mes lèvres

- Quoi tu l'as croisé?

- Oui, elle ne m'a porté aucune attention à d'habitude, elle a juste filé vers l'ascenseur en me disant je cite : je suis un peu pressée, Faut dire à ton ami d'arrêter de me provoquer parce que là il m'a trop énervé.
Dit il en imitant sa voix ce qui me fais exploser de rire.

- Alors?

- Rien de bien grave, je l'ai juste puni pour quelque heures?

Il ouvre les yeux et me regarde.

- J'espère qu'on ne parle pas de la même punition? Dit il sceptique et quand je ne répond pas, il explose de rire

- Vous l'avez fait ici? Oh non je ne verrai plus ma petite Léna de la même manière.

Je roule les yeux.

- C'est ma femme, je te signal.

- Merci pour le rappel. Dit il en souriant. Mais elle paraît si fragile, si...

- Pieuse? Je demande

- Exactement.

- Ne te fit pas à son jolie visage, c'est une petite diablesse cette femme, elle a osé me faire.... Non rien

- Quoi?

- Rien.

- T'es pas drôle

- Ce n'était pas dans mes intentions. Bon Des collaborateurs m'attendent dans la salle de réunion, je n'ai pas encore fini avec eux... Je commence en me levant

- Depuis là? D'ailleurs comment ce fait il que Léna était encore là alors que...

- Ne cherche pas à savoir sinon tu pourrais me remplacer? J'ai quelques choses d'important à faire. Dis je quand une idée une viens en tête

- Ouais je n'ai rien à faire maintenant, mais que compte tu faire.

Un sourire satisfait apparaît sur mon visage.

- Ne me dit pas que...

- À tout à l'heure. Dis je en me dirigeant vers la sortie.

- Tu as intérêt à revenir. Me crit il en souriant,  Ne la fatigue pas trop.

Je m'avance, le pas pressé vers mon ascenseur personnel et pénètre.

Une fois à l'extérieur, elle est déjà partie alors je prend un taxi pour la maison.

J'arrive quelques minutes plus tard et rentre au salon, les enfants sont déjà rentrés et prennent leur goûter.

Je les frotte les cheveux et me dirige vers notre chambre mais je ne la vois pas.

J'entends les jets d'eaux dans la douche et un sourire espiègle se dessine sur mes lèvres.

Je me déshabille complètement nu et entre dans la douche et me dirige vers la boîte en vitre embué de vapeur d'eau chaude et pénètre.

Je la regarde entrain de se rincer le corps ses mains la nettoyant

- Vilaine fille, tu ne m'as pas obéit.
Je tone.

Elle sursaute et se retourne vers moi

- Qu'est-ce que... Mais...

- Chut, je t'ai interdit de te toucher  nor?

Je m'approche d'elle et elle recule jusqu'à ce que sa tête cogne contre la vitre de la douche italienne.

Je souris, une fois nos corps à quelques centimètres l'un de l'autre. Je me baisse et capture ses lèvres avec avidité et désir.

Maintenant nous avons le champs libre pour faire tout ce que je veux.

Elle répond avec la même intensité, je la soulève et elle enroule ses jambes instinctivement sur mes reins, puis je la pénétre profondément.

Un râle de plaisir traverse mes lèvres et je plonge ma tête dans son cou pour la succoté

J'accélère mes va et vient sous ses gémissements de plus en plus fort et le bruit le l'eau qui coule sur mon dos.

Elle s'accroche à mes épaules comme si sa vie en dépendait et ses ongles pénètrent ma peau.

Je grogne et nos langues se rejoignent une nouvelle fois.

Elle m'avait tellement manqué.

J'ai l'impression de ne plus contrôler mon corps.

Qu'est ce qu'elle m'a fait?

Sentir les parois de sa chair se refermer sur ma queue au fur et à mesure que je m'enfonce en elle est d'un plaisir presque inhumain.

Je ne tarde pas à me déverser en elle et très vite elle me rejoint dans un moment de pur délice.

Le souffle court. Nous peinons à reprendre notre souffle, moi toujours dans elle.

Magique

C'est le seul mot qui me viens à l'esprit présentement.

Je me libère d'elle et la dépose sur le carrelage.

- Tu avais intérêt de finir ce que tu avais commencé. Dit elle en entrant dans l'eau et j'eclate de rire.

- Ah ouais ?

Elle fait mine de rincer ses cheveux et j'éteins le robinet.

- Je ne t'ai jamais dit que j'avais fini avec toi. Dis je

Elle me détaille de la tête au pied et constate que mon sexe et entrain de reprendre forme.

La voir nue et à ma merci ne peut que m'exciter, surtout quand je viens de goûter au délice de son corps.

Je la vois faire un puis deux pas en arrière et se retourne pour me fuir mais  je la rattrape assez rapidement et la soulève.

- Non non non. Dit elle.

- Et qui t'as dit que tu avais ton mot à dire?

- Mais tu viens à peine de me fatiguer

- Tu as Sept mois, trois jours et dix  sept heures à te faire rattraper, donc j'ai bien peur chaton qu'à partir d'aujourd'hui tu ne puisses plus bien dormir la nuit.

-  Mais c'est pas juste

- La vie est injuste mon cœur, mais moi je veux mon dû.

Je la jette au lit et m'en vais chercher ma petite boîte remplie de mes jouets favoris

Que le jeu commence.

Enceinte de luiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant