54. partie remise

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Debout près de la fenêtre de mon bureau, j'entends la voix forte de Vladimir résonné à travers le haut parleur de mon combiné posé sur la table.

- Et que compte tu faire maintenant ?

- Ils resteront désormais avec moi. Dis je avec fermeté.

- Mais Dimitri tu ne peux pas faire ça.

- Et qui est assez fou pour m'empêcher ?

- Léna est elle au courant ?

- Non, mais elle fera ce que je lui demande.

- Dimitri.

- C'est mon enfant Vladimir, mon enfant tu pense que je la laisserai retourner avec lui?

- Biensur que non, mais ils sont mariés et tu ne peux rien contre ça.

- C'est ce qu'on verra. Dis je soûler de la tournure de cette conversation.

- Il est où?

- Il dors, j'ai appelé le médecin et on a du lui mettre une attele à la main. Il était trop content bizarrement. Mais tu t'en rend compte, ce malade a fait du mal à mon fils et ma femme.

- Ouais c'est vrai que c'est grave ce qu'il a fait. Hum Dimitri tu viens de dire que Léna était ta femme.

- C'est... elle le sera quand elle aura divorcé de ce... Je grogne. Cette femme m'appartiens.

- Tu pense sincèrement qu'elle le voudra? Peut-être elle l'aime.

- Impossible

- Mais...

- Léna a toujours été à moi depuis le premier jour. Je dis peu sur de moi.

Maintenant je me dis qu'elle s'est peut-être mariée si vite c'était pour l'enfant.

Le cacher à ses parents.

- Je sais qu'à la villa elle ressentait des trucs pour toi et si c'est fini?

- Même si c'est plus le cas je la ferai retomber amoureuse de moi.

- Enfin, mon frère assume ses sentiments.

- Je l'ai toujours gardé dans mon cœur et je ne voulais pas intervenir dans sa vie par principe même si parfois c'était beaucoup plus fort que moi. Mais savoir qu'elle a porté mon enfant, les choses ont définitivement changé.

- Je te comprends.

- Je ne me vois avec personne d'autre si ce n'est pas elle.

- Bye bye les putes. Dit il en riant.

- Tu as fais ce que je t'ai demandé.

- Oui, elles ont tout vidés. Elles arriveront bientôt chez toi.

- D'accord, car je ne veux plus que Léna remette un pieds là-bas peu importe la raison.

- Elles ont tout pris. Habits, chaussures, sacs. Idem pour le petit.

- Bien. Je te laisse j'ai des choses à faire.

- Dis plutôt que tu pars voir ta...

Je raccroche et me dirige vers ma chambre, j'ouvre la porte et elle est là, couché dans mes bras,

J'adore cette vision.

Elle dort toujours.

Je l'ai transporté jusqu'à chez moi après qu'elle se soit évanoui.

Elle vivra dorénavant ici, avec moi.

Maintenant que je l'ai, je ne supporterai plus de la savoir loin de moi.

Enceinte de luiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant