Chapitre 4

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Pdv de Talia :

Encore une fois la routine, une fois cela fait je prends mes clés de voiture et sors puis m'en vais.

Aujourd'hui je travaille toute la journée là-bas.

De 10:00 à 22:00...

Et on m'a envoyé un message pour m'informer qu'une autre bagarre a éclaté...

Toujours le même... autrement dit Kalel.

Il s'est apparement embrouillé avec trois autres prisonniers, dont celui que j'avais vu hier.

Vous vous souvenez ? Le petit gros là.

J'arrive et me gare.
Je me dépêche d'aller dans mon bureau. Installe mes affaires et pars chercher les quatre prisonniers dans leur cellules.

Ils ont été placé à part, bien évidement.

Je ne suis pas seule, je suis accompagnée de quatre agents armés jusqu'à la tête.

On arrive en face d'une cellule aussi sombre que les couloirs qu'on vient de traverser.

Sam: T'es prête Talia ? Me dit-il en riant légèrement.

Moi: Ce n'est pas drôle ! Dis-je en lui tapant sur l'épaule ce qui accentua ses ricanements.

Ha. Ha. Ha.

Il ouvre la porte de la cellule et ils sortent deux par deux.

Jusqu'à être tout les quatre devant moi.

Moi: Vous êtes bien amoché ! Dis-je outrée de voir leur état.

-Oui oui on le sait. Dit l'un d'entre eux en se tenant le bras.

Je les conduis à l'infirmerie et m'occupe d'eux.

J'en suis au troisième.

Il a une plaie par perforation, abrasions, des bleus et la liste est longue.

-Doucement doucement. Dit-il en serrant les dents.

Moi: Pardon. Dis-je en essayant de rester concentrée.

Kalel est assis dans un coin attendant son tour.

Et encore une fois, il me déstabilise avec son regard.

Il joue à quoi à la fin.

-J'ai aussi une griffure dans le dos.

Moi: Je vais voir ça. Dis-je en l'aidant à se déshabiller.

Je fais le tour et me positionne derrière lui pour examiner la griffure en question.

Une chose est sûr, elle n'a pas été causée par des ongles.

-Vous pouvez vous en occupez s'il vous plaît ? Me dit le jeune homme en m'extirpant de mes pensées.

Moi: Naturellement. C'est mon métier. Répondis-je en prenant le nécessaire.

-C'est à cause de toi espèce de monstre. Rugit l'homme à l'encontre de Kalel.

Je tourne furtivement mes yeux vers ce dernier pour voir s'il réagit mais rien.

Son regard est toujours sur moi.

Seigneur. Suis-je la prochaine sur la liste ?
Vais-je mourir ?

-Tu parles plus hein ?

Moi: Monsieur calmez-vous. Dis-je en tentant tant bien que mal de finir mon travail afin qu'ils partent au plus vite.

-Tais toi toi. C'est pas une gamine qui va me donner des ordres. Dit-il à mon encontre cette fois-ci en se tournant vers moi.

C'est gentil merci.

Je n'eus même pas le temps de répliquer qu'en une fraction de seconde l'homme était renversé par terre.

Et pas que.

Un corps était au dessus du sien.

Kalel.

...

The prisoner's nurse Où les histoires vivent. Découvrez maintenant