Épilogue

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Pdv de Talia :

Je me réveille lentement, alors que les rayons du soleil caresse ma peau. 

C'est si apaisant, j'ai perdu la notion du temps, je ne sais même pas il est quelle heure et honnêtement c'est le cadet de mes soucis.

J'émerge de mon sommeil et ouvre mes yeux pour tomber sur le corps imposant de Kalel, allongé à côté de moi, alors que son bras était posé sur mon ventre.

Il a l'air apaisé, il dort encore et j'en profite pour passer ma main dans ses cheveux soyeux.

Je suis presque jalouse !

Je continue mes caresses, mais lorsque mes yeux redescendent sur son visage je fus très surprise de le voir les yeux ouverts.

Il m'observe à son tour , il m'observait comme si j'étais une merveille.

Moi : Bonjour.

Kalel: Viens ici. Me dit-il en me tirant à lui.

Je me retrouve sur son torse alors qu'il se mît à jouer avec mes cheveux.

Moi: Tu as bien dormi ? Dis-je pour engager une discussion.

Kalel: Très. Dit-il en plantant un baiser sur mon front. Et toi ? Tu n'as mal nul part ?

Moi: Non. Je suis nickel. Dis-je en collant un peu plus mon corps contre le sien.

Kalel: Lève-toi.

Moi: Pourquoi ? Que se passe-t-il ? Dis-je alors que la panique me prenait.

Kalel: Ne t'inquiète pas. Tout est sous contrôle. Fais-moi confiance. Dit-il en me rassurant ayant sûrement remarqué mon stress.

Je me lève et on prend une douche avant de s'habiller.

Je lui pique un boxer et remet mon ensemble et lui il se change.

Suite à cela on sort et il m'emmène dans un restaurant-café où on prend un bon petit déjeuner.

Et puis je me retrouve encore une fois dans sa voiture allant vers je ne sais où.

Moi: On va où encore Kalel ?

Kalel: Patiente habibti. Me dit-il en mettant ma main dans la sienne sans pour autant quitter la route des yeux.

Je tourne mon regard vers la vitre alors que je souriais comme une folle.

Je me sens heureuse.

Après dix minutes on arrive dans une rue remplie de boutiques et il me traîne dans l'une d'entre elles et tout se passa très vite.

Je suis donc maintenant dans une cabine d'essayage avec quatre robes que j'ai choisi.

Je les essaye toutes les quatre et décide d'en choisir une comme il me l'a demandé.

En revanche je n'ai pas voulu lui dire laquelle j'ai choisi.

Je ne sais pas pourquoi mais je trouvais cela drôle.

La vendeuse range alors la robe et l'emballe alors qu'il était au téléphone.

Une fois cela fait, il arrive et paye pour la robe dont le prix est catastrophique.

Je me sens mal tout à coup.

Kalel: Arrête. Dit-il alors qu'un employé portait le sac pour le mettre dans le coffre de la voiture.

Moi: Arrêter quoi ?

Kalel : De culpabiliser. Je vais t'offrir le monde entier. Des robes, des sacs, des bijoux, des voitures, des voyages, des manoirs et villas, des nuits torrides. Finit-il par me chuchoter à l'oreille avant de venir m'embrasser délicatement, comme si j'étais faite de sucre.

The prisoner's nurse Où les histoires vivent. Découvrez maintenant