The prisoner's nurse

Chapitre 29

Coucouuu ! Me revoilà avec un nouveau chapitre qui je l'espère vous plaira !

⚠️N'hésitez pas à lire ce chapitre en écoutant DANS L'ORDRE les deux musiques que j'ai trouvé sur YouTube pour vivre pleinement le moment avec notre très chère protagoniste !⚠️

‼️La première musique est en haut dans le coins média, n'hésitez pas à la remettre une deuxième fois si nécessaire ! Et la deuxième est à mettre à partir du moment où vous voyez écrit : « Deuxième sons ». Je vous mets le lien ici : https://youtu.be/NbVonhK7uXA. N'hésitez pas à la remettre si elle s'arrête avant la fin du chapitre ‼️

N'hésitez pas à voter et surtout à me dire en commentaire comment vous avez trouvé ce chapitre.

Bisous 🫶🏼
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Pdv de Talia :

Tout s'est passé si vite que je ne sais pas si je suis dans un rêve, la réalité, un autre monde ?

J'ai senti mon âme quitter mon corps, une peur sourde m'analyse tout le corps.

Qui est-ce qui nous attaque ? Et pourquoi ?

Kalel: Appelez des renforts. Hurla-t-il aux gardes en prenant ma main dans la sienne. Suis-moi. Me dit-il.

Comme si j'avais un autre choix avais-je envie de rétorquer mais je n'en fis rien.

On court jusqu'à la tente et il me pousse à l'intérieur de cette dernière.

On y a pénétré par l'arrière et il y avait une dizaine de gardes autour.

Kalel: Toi tu restes ici. Me dit-il en ouvrant une armoire. Je reviens dès que je peux, des dizaines de gardes surveillent l'arrière et une autre dizaine l'avant. Tu n'as rien à craindre ici. C'est à l'extérieur que le danger rôde. Tu as compris ? Me dit-il en me prenant par les épaules.

Je ne dis rien et je hoche simplement de la tête.

Je ne sais même pas quoi dire.

Il ferme l'armoire après m'avoir donné une lampe torche.

Mon stress augmente, j'aurais aimé qu'il reste auprès de moi, cela me rassure. Mais je sais que c'est impossible. Alors je me suis réduite au silence.

Mes mains tremblent et elles sont moites. Mes jambes menacent de me lâcher à tout moment mais j'essaye de garder un semblant d'assurance.

Il ne faut pas que je bouge. Il faut que je me calme. Me répétais-je en boucle.

Putain.

Ma respiration est irrégulière alors que les minutes passent.

Aucun bruit rien, jusqu'à ce que j'entende des coups de feux retentirent à l'extérieur.

C'est quoi ça ?

J'entend des voix s'élever et je commence à sérieusement remettre en question ma présence ici.

C'est pas une armoire qui va me sauver. Même si être à l'extérieur ce n'est sûrement pas meilleur.

Mais mon angoisse augmente et l'espace serré dans lequel je me trouve actuellement ne m'aide pas.

Le pire c'est que je ne comprend rien de ce qui se dit à l'extérieur car ils crient tous des choses incompréhensibles en arabe.

Je fais comment moi ?

J'essaye tant bien que mal de tendre l'oreille jusqu'à ce que à ma plus grande surprise de nouvelles voix surgissent, et cette fois-ci je comprends tout ce qui se dit.