~ An Ode ~

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~ Un an et demi après la guerre~

La guerre qui opposait magie blanche et magie noire s'était terminé il y a maintenant plus d'une année et demie. Lord Voldemort, qui avait cru à une victoire écrasante, s'était vu terrassé par Harry Potter. Les Mangemorts furent arrêté, jugé, et enfermé à perpétuité. Leur défaite fut totale, leurs biens arrachés, leurs titres retirés, ils n'étaient plus rien.
Deux lieux spécifique furent témoin des batailles. Le Ministère de la magie, en partie ravagé, et la célèbre école de Poudlard. C'est dans cet immense château que s'était tenu les combats décisifs, le grand final qui fit trembler le monde.
Lord Voldemort y perdit la vie, ainsi que l'illustre Albus Dumbledore. Mais ils ne furent pas les seuls, dans un camp comme dans l'autre, les perte furent abominables.

Une semaine entière fut consacré au deuil, les cérémonies n'en finissaient pas, les larmes pourraient remplir un océan entier.

Puis vient le temps de la reconstruction. Les lieux dévastés furent remit à neuf par magie, les sorciers relevaient la tête et décidaient d'allez de l'avant. De nombreux haut placé du Ministère avaient laissé leur vie dans la bataille, il fallait de nouvelles têtes, de nouvelles idées, du changement et de la modernité. Beaucoup de pays étranger offrirent leurs aide à l'émergence de ce monde nouveau, des sorciers venus des quatre coin du monde pour apporter leur savoir faire.
Le gouvernement proposa une formation à tout les jeunes sorciers de septième ou de sixième années, qui désiraient travailler auprès des dirigeants du monde magique. C'est ainsi que de nombreux élèves quittèrent Poudlard avant l'heure, rêvant de devenir Aurors ou d'intégrer l'un des nombreux ministères.

L'obtention du diplôme n'était plus une priorité pour cette année macabre, nombreux étaient les domaines de métier qui offrirent une formation rapide aux jeunes.

La célèbre école de Poudlard fut vidé d'une partie de son effectif, mais aucun professeur ne s'en plaignit, il n'en restait de toute façon plus assez pour assurer des études ordinaires. Le cours de potion, celui sur les créatures magique, de défenses contre les forces du mal, ou encore d'Histoire de la magie, il n'y avait plus personnes pour les enseigner.

Avec la perte d'Albus Dumbledore il fallut choisir un nouveau directeur, Madame Lee fut élu à l'unanimité. Cette femme qui avait plus d'une fois démontré sa puissance et sa discipline ne se laissa pas écraser par les dégâts et blessure laissé par la guerre. Elle décida de proposer une formation de professeur à Poudlard, ouverte aux septième et sixième année, d'une durée d'un ou deux ans maximum. Peu nombreux furent les élèves à sy inscrire, mais suffisamment pour combler le manque d'enseignant.

Petit à petit la vie reprenait son chemin. Certaines cicatrices ne s'effaceraient jamais, mais chacun s'efforçait d'avancer malgré tout. On reconstruisait le pays, le quotidien, tout les survivants s'efforçaient de créer l'avenir qu'ils croyaient mériter.

Petit à petit le bonheur se lisait sur les lèvres, malgré les pertes, les séparations, les routes qui divergeaient, le bonheur et l'espoir envahissaient doucement le quotidien.

Comme en cette belle journée du début d'été, où la verdure envahissait les beaux jardins de Poudlard, éclairé par un soleil resplendissant, qui semblait gonfler de joie à mesure qu'une jolie musique s'élevait depuis le château de Poudlard. Des voix par centaine s'emmelaient autour des hautes tours, on se saluait, s'enlaçait, des vies entière se contaient depuis des lèvres aux sourires grandioses. Professeurs, parents, élèves, anciens élèves, tous se retrouvaient dans la cour du château décoré par accueillir la plus agréable des fêtes.
Une année scolaire venait de se terminer, les septième années ainsi que les jeunes sorciers ayant suivit la formation de professeur allaient être diplômé aujourd'hui. Cela donnait lieu à une gigantesque réunion, les amis et familles des jeunes diplômés, mais également des centaines de personnes venu des quatre coins du pays.
Ces derniers ne connaissaient même pas personnellement les élèves qui terminaient leurs études, mais ils se pressaient comme un foule désirant apercevoir une célébrité.