toi+moi

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Je sens quelque chose bougée à côté de moi. Puis, une sorte de grognennement. Cette perturbation me réveille. J'ouvre les yeux sur son magnifique visage endormi.

J'ai tellement bien dormi. Avec cette sensation de protection qu'il amène. Cette chaleur entre ses bras et ce confort ! Ses bras et son lit sont siiii confortables !

Moi- Tu as bien dormi ?

Leon- Très bien et toi ?

Moi- Tellement !

Il me prend à nouveau dans ses bras. J'ai le droit à mon petit sourire et mon bisou du matin. Il tient sa petite tête du réveil avec ses yeux plissés et son visage fatigué.

Leon- Petit déjeuner ?

Moi- Seulement si c'est toi qui me le prépare !

Leon- OK...

Nous levons nos corps simultanément des deux côtés du lit. Leon vint me donner un T-shirt qui sur moi se transforma en robe. Mais, celui ci est inondé du parfum de mon numéro 18, ça sent tellement bon !  Nous descendons ensuite dans la cuisine.

Leon- Ah faut que je te prévienne. J'en ai marre de toujours être blessé donc j'ai décidé de mieux manger pour avoir un physique plus résistant. Donc j'ai banni certains aliments de mon alimentation.

Moi- Y a pas de problème et ça ne peux me faire que du bien !

On se mit alors à la tâche. Il sortit plein d'ingrédients et d'ustensiles de ses nombreux placards.

Leon avec un français très, très moyen- Pour Madame la Française, des crepeu !

Moi- Trop bien ! Mais purée quand est-ce que je vais te trouver un défaut !

Leon- Attends j'essaye au mieux de les cacher.

La cuisine s'est transformée en un champ de bataille ! La simple recette de cuisine d'internet n'a pas indiqué de faire une bataille de farine mais c'était très drôle. Bien sûr, comme d'habitude j'ai gagné. Voilà je suis trop forte. Bref, ensuite il m'a cassé un œuf sur la tête, j'ai donc riposté avec de l'eau dans le visage, mais le soldat d'en face était très téméraire ça a donc finit avec une simple bataille de bisous que Mr Goretzka a gagné. Parce que je l'ai laissé, il faut dire ce qu'il y ait. Mais au bout de 15 minutes, la pâte à crêpes était prête puis qu'à laisser reposer une heure environ et nous pouvions manger. Pendant ce temps, nous sommes allés nous laver puis nous nous sommes posés ensemble sur le canapé. J'étais couchée sur lui et il me tenait avec ses bras autour de mes épaules. Nous avons regardé une émission allemande que Leon aime bien, une sorte de questions pour un champions mais Julien Lepers est allemand.

Une heure plus tard, la pâte est enfin prête. Et tant mieux car mon ventre commencer à tellement gargouiller que l'on entendait plus la télévision. Leon s'appliqua à bien faire cuire chacune de mes crêpes et moi ayant l'habitude m'amusais à l'épater en les retournant en sautant.

On s'amusait tellement les deux ! Et imaginons que je n'ai pas accepter cette proposition. Je ne lui aurais sûrement jamais reparler. Notre histoire serait restée sur cette fin tragique... Mais c'est pas le cas ! Et tant mieux !

Je l'aime tellement, il est parfait ! Aah je peux enfin le dire sans avoir peur que ça ne sois pas réciproque ou que je mente à moi même.

C'est alors que je reçu un appel de Mona.

Mona- Allô ? Alors ?

Moi- Aaah je suis la femme la plus heureuse !

Mona- Je suis tellement contente pour toi. Raconte !

Je lui ai donc raconté le date parfait que je venais de passer et Mona en était ravie puis au bout de 50 minutes d'appel nous avons raccroché. Elle m'a prévenu d'en parler au directeur du club car cette relation à des impacts pour eux mais je verrai ça plus tard...

Après manger, il a décidé de m'emmener me promener dans la ville de Munich pour que j'apprenne à la connaître et que j'arrête de chercher des adresses pendant 30 minutes. Il a fait son guide tout du long, il m'a présenté tout son quartier. Contrairement au mien qui est très authentique, rustique, le sien est coloré et vivant. Beaucoup de gens marchait, courait, se promenait. Ce qui m'a quelque peu inquiéter...

Moi- Attends tu veux pas rentrer ?

Leon- Pourquoi tu te sens pas bien ? Tu n'aimes pas ?

Moi- NAN nan c'est trop bien et j'ai le meilleur guide mais tous ces gens et s'ils nous reconnaissaient ?

Leon- Oh mais ils nous ont reconnu. Et ça c'est ce qui est magique avec Munich, ce n'est pas comme à Paris où tout le monde qui vient te prendre une photo ou en prend de loin pour les poster sans ton consentement. Loin de là ! Ici, les gens te laissent tranquille ou s'ils prennent une photo, ils te demanderont avant de la poster...

Moi- Oh je suis désolée alors continuons ! J'adore encore plus Munich ! C'est la ville par-faite alors !

Nous continuons de marcher main dans la main.

Leon- Oh et tu te rappelles lorsque tu étais venue me voir jouer et que tu t'étais retrouvé à côté de mes sœurs. C'était tellement drôle !

Moi en rigolant- Arrête j'étais tellement gênée ! Je suis partie direct quand une de mes amis était arrivée. Mais ce que je me souviens c'est que déjà, tu jouais très très bien !

Leon- Je m'entraînais tout le temps et aujourd'hui ça a payé. Mais bon la cette année je sais pas je ressens une énergie tellement forte c'est con mais j'ai l'impression que nous sommes invincibles !

Moi- Et moi j'y crois tellement !

Ensuite nous sommes rentrés chez Leon et avons manger des patates avec du poulet accompagné d'un peu de chou fleur. Et puis l'après-midi nous avons dû rentré au Säbener Strässe, lui pour s'entraîner et moi travailler. Je dois m'occuper des postes pour le #packmas. C'est à dire des photos de l'entraînement ou de la pub pour les maillots. Mais une question se posait...

Moi- Et on va dire quoi ? Les garçons savent que l'on sait vu hier...

Leon- Avec eux autant dire la vérité ! Sinon il la trouveront sans qu'on ne le veuille !

Moi- Alors on leur dira ! J'en connais un qui sera heureux...

Nés pour être ensembleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant