La Survivante {Terminée}

La baignoire

Les tout jeunes mariés (oui enfin), était dans une petite maison à la compagne pour profiter de leurs compagnies mutuel.
Mais comme c'était Fred et Rose, ça n'avait en rien de romantique. Non c'était simple, familial, tel qu'un voyage entre ami.
Les repas romantique à la chandelle avait été remplacer par des simple sandwich, les balades mains dans la mains avait été remplacé par des petite compétition. Les bains ensemble avait été remplacé par...par rien, c'était la seule chose de romantique.

Justement, Fred était dans la baignoire en train de jouer avec des canards en plastique tandis que sa jeune femme était dans leur chambre.

-Tu pense que George s'en sort avec la boutique ?

-Ce n'est pas toi qui m'a dit de ne pas parler de boulot ! Répond au loin Rose.

-Oui pour toi, moi mon travail est plutôt un passe temps. Une activité divers qui me procure du plaisir. Ose me dire qu'être auror te procure du plaisir.

-Justement !

Rose montre enfin sa tête, en restant à la porte ouverte. Elle porte simplement un t-shirt noir qui appartenait à Fred, laissant apparaître ses tétons...

-Comme tu en parle. J'ai peu être envoyé un lettre quand nous sommes partie.

-A qui ?

-Sirius ! Mais une lettre professionnelle qui dit peu être que je ne reviendrais jamais au bureau des aurors.

Fred laisse un rire s'échapper en s'imaginant Sirius Black recevoir cette lettre alors qu'il crier au monde sa joie de pouvoir travailler avec ses filleuls.

-J'ai accepter d'être le bras droit du directeur du département des mystères...

-Mystère. Répète Fred avec un sourire. Ça me rappel des petits souvenirs.

-Tu t'en rappel ! Sourit Rose en s'avancent vers lui. Toi et George la première fois qu'on c'est rencontrer, je n'avez pas le droit de dire mon prénom...

-On ta alors appeler mystère. Je suis content si tu es contente. Maintenant ! Rose Lily Potter Weasley rentre tout de suite dans cette baignoire.

-C'est un ordre ? Demande t'elle avec un sourire sournois.

-C'est un supplice de t'admirer loin de moi...

-Fred Weasley ! Qu'elle mouche vous a piqué ! C'est beaucoup trop niant !

-J'ai envie de cette néantise. Répliqué le roux en s'allongent.

Rose abdique et rentre habiller dans cette baignoire chaude. Fred s'empresse a la parsemé de baiser sur les joues et le cou.

-Tu as chaud...observe Rose en posant ses mains sur la poitrine de son époux.

-C'est ce que fait l'amour sincère et puissant chez un homme. Chuchote Fred à son oreille.

Ils échangent un regard avant de s'embrasser tendrement, ce n'était pas un baiser fièvre, ou avec du désirs. Non c'était un baiser d'amour sincère entre deux personnes qui était complémentaire.
Alors que les rayons du soleil dessinée leurs visages, qui s'emboîté au fils du baiser. Les mains de Fred parcours le corps de Rose pour lui enlever son seul tissu.

Ils étaient obliger de reprendre leurs respiration, Rose pose son front contre celui de Fred.

-Je t'aime, chuchote Fred.

-Je ne veux pas un simple je t'aime, tu veux de la néantise, donne plus.

-Connasse. Réplique sincèrement le Weasley, Rose lui envoie de l'eau en plein figure.

Rose désirait tel un fantasme des mots sortie de livre romantique, meme si naturellement elle n'aimer pas ce genre de déclaration d'amour, mais son égo les adorait. Elle pose ses mains sur les joues de Fred :

-Aller ! Encourage t'elle.

Fred réfléchis avant de se laisser timidement :

-J'ai besoin de toi pour vivre, tu es l'object de mes désirs, l'oxygène de mes poumons... arrête de me regarder comme ça, ça aide pas sale troll.

-Fred !

-Okay ! J'ai compris ! Je...je mort à chaque instant sans toi, tu es mon remède à un mal que je ne comprend pas. Mais quand tu es la mon cœur bat tellement vite que j'ai l'impression qu'il va sortir de mon corps et aller dans le tiens.
Je vie...pour toi à chaque instant, si tu n'es plus là à mes côtés je tombe et je ne me réveillerais plus jamais. Parce que tu détiens mon cœur, il n'est que à toi et depuis toujours. Je...suis a toi entièrement depuis ce jour dans les couloirs de Poudlard à ta mort.

-Oh mon cœur ...

Elle l'embrasse de nouveau, s'assoie à califourchon sur lui pour le prendre dans ses bras. Fred niche sa tête dans le cou de sa femme.

-A ton tour.

-Tu peux rêver, réplique Rose.

-Salope.

-Salaup

Jamais ses instants romantique ne durer une éternité entre eux. La voix d'enfants dans leurs têtes revenait toujours pour faire une bataille d'eau.