Mateo, un richissime mafieux est obsédé par un trésor. Il a toujours cru que cette quête lui était destinée à lui et à lui seul. Ameerah est une jeune femme vivant dans la misère et qui est prête à tout pour s'en sortir.
Comment réagira-t-il en app...
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La nuit vient à peine de tomber. Après notre altercation, Mateo m'a laissé planter là, en plein milieu du salon. J'ai attendue quelques minutes mais personne n'a daigner se pointer pour me faire visiter. J'ai donc décidé de le faire seule. J'ai été émerveillée par chacune des pièces que j'ai eu le temps de visiter. Ayant perdue la notion du temps, je ne sais pas au bout de combien de temps exactement un homme est venu me chercher en me prenant par le bras et m'entraînant dans une chambre.
Actuellement, je tape comme la folle que je suis sur la porte. J'ai sûrement l'ai ridicule de penser qu'il me libérera mais croyez moi, quand on est désespérer on tente tout ce qui nous passent par la tête même les choses les plus ridicules. Il faut que je me rende à l'évidence, personne ne viendra me sauver. La vie n'est pas un compte de fée. Je décide de m'allonger dans le grand lit sombre au milieu de la pièce et en profite pour détailler cette dernière qui est sombre et pour réfléchir à mon plan.
Comme je l'ai dit, maintenant que Pablo et ses amis ne me surveillent plus, j'ai plus de chance de réussir à m'enfuir mais cela n'empêche pas que ça pourrait aggraver ma situation. Mateo est beaucoup plus puisant de ce que j'ai compris et vue donc si il me retrouve, je risque beaucoup de choses et même si Mateo a besoin de moi, cela ne veut pas dire qu'il doit me garder intacte...
Je sais que ça ne va pas du tout être facile, surtout maintenant que monsieur a pour projet de me coller mais je dois tenter le coup maintenant Pablo ne me surveille plus et que les autres ne sont pas là.
Même si je sais qu'au bout d'un moment, Esteban et les autres commenceront à se poser questions. Je vais donc devoir réfléchir rapidement et intelligemment pour ne pas prendre plus de risques. Lorsque j'ai " visité " la villa, j'ai remarqué que l'intérieur est très surveillé ce qui signifie que sortir par l'entrée principale sera quasiment impossible pour moi. Je songe donc à m'enfuir par le jardin car il me paraît beaucoup moins sécurisé et je pourrais donc m'enfuir sans qu'ils ne le remarquent toute suite mais je ne sais pas exactement quand ni comment.
Lorsque je trouve mes affaires dans un coin de la pièce, je comprends que Mateo compte vraiment me faire dormir ici.
S'il croit vraiment que l'on va dormir ensemble...
Je me lève et décide d'aller prendre une douche, de toute façon je n'ai que ça à faire en plus de réfléchir à mon plan. Je prends bien soin de gaspiller l'eau de ce fils de pute puis sors après avoir fini de me préparer.
Je m'assois ensuite sur un fauteuil, attendant patiemment qu'on me nourrisse mais vu mon comportement plus tôt, ça ne risque pas d'arriver d'aussi tôt...
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22 heures
Durant la journée, j'ai passé mon temps à préparer la mission dont la date approche à grands pas. J'ai vérifier que tout est bon pour ne pas que nous soyons prit au dépourvu le jour J, le plan des cachettes, les caméras de surveillance, les armements, tout dans les moindres détails.
Je travaille en parallèle sur des trafics de drogue, d'armes, de prostitution et je blanchi mon argent avec d'autres marchés comme l'immobilier. Pour l'instant, tout ce que je viens d'énumérer représente cent pour-cent de ma richesse mais lorsque j'aurais accompli mon destin, ça représentera seulement quarante pour-cent. Donc même si la quête m'obsède et que j'y pense toute la journée, ça ne veut pas dire que je néglige les autres parties.
Pendant la journée j'ai aussi rendu visite à des gars qui me devaient de l'argent. D'habitude je laisse mes hommes s'en charger mais des fois, je le fais moi même surtout quand c'est des grosses sommes. Ils me devaient un paquet de fric je leur aient laisser un délai d'une semaine mais non par pitié, loin de la même. Juste pour qu'ils vivent dans la peur constante de se faire buter durant cette petite semaine.
Comme vous vous en doutez bien seulement deux sur huit d'entre eux m'ont rendu l'argent à temps.
F l a s h b a c k
Je viens de pénétrer dans la dernière maison. Après ça j'aurais enfin fini de rendre une petite visite de courtoisie à toutes les personnes qui me doivent de l'argent. Le dernière homme se nomme Paco, c'est un petit dealer de quartier qui a effectué quelques transactions mineurs pour moi. J'lui ai prêté de l'argent pour qu'il soigne sa mère soit disant malade mais que j'ai été surpris lorsque j'ai appris qu'il avait utiliser l'argent pour une toute autre activité !
Je rentre dans la pièce quand il se mit tout à coup à me scruter de haut en bas. Une fois que ses yeux tombent dans les miens, il se met à déglutir :
- A-Ma-mate-mateo sa fa-fait longtemps tu vas bi-bien ?
Ce batard bégaye comme une pédale alors je comprends qu'il pas récolté la somme totale.
- Paco, Paco, Paco tu sais que je te faisais confiance n'est ce pas ! Tu sais aussi que je t'ai prêté une somme d'argent bien plus que colossale !
Mes questions sont complètement rhétoriques mais il hoche tout de même la tête.
- Alors, où est l'argent ?
A ma grande surprise, il me montre de son doigt la direction d'une étagère sur laquelle se trouve un sac. Je l'autorise à aller le chercher et il l'ouvre. Je tombe sur une somme incalculable de billets.
- Bien très bien même t'as réussi à réunir la somme !
- Oui patron, je sais que tu ne tolères pas les retards.
Je tourne quelques secondes en rond avant de le cibler de mon arme.
- Ne t'inquiètes pas pour ta mère, on saura s'occuper d'elle mieux que toi. Passe le bonjour aux autres de ma part.
F i n d u f l a s h b a c k
Paco et que les autres ont voulut me baiser, personne ne baise Mateo.
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Je viens de me réveiller en sursaut. Je ne sais pas ce que je fais là et combien de temps exactement j'ai attendue la nourriture.
Attends quoi ? Sur le fauteuil, oui, alors comment c'est possible que je me retrouve sur le PUTAIN DE LIT ! Je palpe la place à côté de moi et sens des bras musclés ainsi qu'un corps plus que bouillant.
- Il fallait me le dire si tu voulais me toucher.
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