Mateo, un richissime mafieux est obsédé par un trésor. Il a toujours cru que cette quête lui était destinée à lui et à lui seul. Ameerah est une jeune femme vivant dans la misère et qui est prête à tout pour s'en sortir.
Comment réagira-t-il en app...
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Après que nous ayons terminés nos valises avec Maria, nous avons remarqués que l'atmosphère entre les garçons était très tendue. Mateo jetait de nombreux regards noir en direction d'Enzo pour une raison qui nous était inconnu, tandis que les autres ont tout de suite commencés à sourire à la seconde où ils m'ont aperçu descendre les escaliers.
- Vous avez fait quoi pendant tout ce temps ? demanda l'un d'eux.
- On a juste fait nos valises. répondu Maria.
C'était pas entièrement vrai. Certes nous avions fait nos valises, mais avant ça, je m'apprêtais à rechuter. Je ne pouvais pas supporter l'idée de retourner en Colombie, là où tout mon calvaire avait réellement commencé. Maria était arrivée alors que je m'infligeais ma cinquième coupures et m'a réconfortée.
Même si je ne pense pas qu'elle le sache vraiment, elle m'aide énormément. Je commence à comprendre que malgré tout j'ai le droit de vivre et que ceux qui m'ont infligés tout mes traumatismes sont en réalité les méchants de l'histoire.
Les garçons se levèrent et allèrent faire leur valise et j'en profita pour questionner Maria sur la nature de sa relation avec Gabriel qui lui était toujours entrain de faire sa valise :
- Comment sa se passe entre vous deux ?
- Honnêtement je n'en sais rien. Je veux dire, j'ai toujours des sentiments pour lui mais je me dis que si nous avons été séparés de cette manière dans le passé, c'est peut-être parce que nous sommes pas fait pour être ensemble. termina-t-elle.
- T'es vraiment sûr de toi ? Réfléchis Maria, il a vraiment l'air de tenir à toi. dis-je.
- Je suis encore perdue pour le moment, mais sa ne veut pas dire que nous pouvons pas passé du bon temps ensemble...
- Arrête Maria !
- Quoi ? Tu verras lorsque tu commenceras à faire ça avec Mateo, tu ne diras plus la même chose. dit-elle.
Il n'en fallait pas plus pour que mon visage vire au cramoisi. Maria avait vraiment le don de me gêner.
- Quand on commencera à faire quoi ?
Oh non non non, j'avais halluciné, il ne pouvait pas se trouver derrière moi à cet instant présent.
