34- Vie

800 41 12
                                    











Vie








J'étais toujours furieux de ce que je venais de voir

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.



J'étais toujours furieux de ce que je venais de voir. Je savais qu'ils s'aimaient toujours mais de là à se sautaient dessus ? J'avais été pris de court.



Après mettre défouler sur Gabriel, je les avaient laissés se rhabiller et leurs avaient demander de me rejoindre dans mon bureau.





Il arrivèrent une dizaine de minutes plus tard. Maria semblait gênée tandis que Gabriel était occupé à sécher le sang qui s'écoulait de ses narines.




J'attendis qu'ils prennent place et lança :



- Avant que tu ne te tapes ma soeur t'avais trouver quelque chose ?



Gabriel leva les yeux au ciel afin de montrer son agacement avant que la personne me servant de soeur ne le défende.




- Mateo arrêt- tenta Maria.





Mais je la coupa aussitôt :




- Fermes ta gueule toi. Ne me déçois pas plus.




Elle se tue et je reposa ma question à Gabriel qui me répondu directement :



- Ama est le nom d'une ville au Japon mais honnêtement je pense que nous devrions retourner en Colombie. Après tout c'est la bas que sa vie à basculé alors on y trouvera forcément un indice.





J'hocha la tête assez satisfait des informations qu'il venait de me donner et lui dis :



- On s'envole ce soir. Tu peux te barrer.



Il se leva et alors que Maria s'apprêtait à le suivre, je la retînt :






- A ce que je sache j'ai dis qu'il pouvait se barrer, pas toi restes ici je dois te parler.





Maria fit un sourire rassurant à Gabriel et il quitta la pièce.





- Qu'est-ce que tu veux ? Tu ne trouves pas que tu en as assez fait ? dit-elle énervée.




Face à sa déclaration, je ne pus m'empêcher de rire ébahis par son élan de courage.




- Tu me demandes ce que je veux ? Tu sais très bien ce que je veux !




Elle soupira un instant avant de me répondre :



- Mateo je sais que tu veux juste me protéger et je t'en suis reconnaissante, mais depuis le temps, depuis que tu m'as lâchement abandonné j'ai grandis et je suis désormais libre. Et si tu veux que nos relations s'améliorent mais que tu n'as toujours pas compris ça alors je préfère m'en aller.






𝑪𝑶𝑳𝑶𝑴𝑩𝑬𝑺, 𝑬𝑵𝑵𝑬𝑴𝑰𝑬𝑺 𝑫𝑼 𝑪𝑨𝑹𝑻𝑬𝑳Où les histoires vivent. Découvrez maintenant