31- Surprise

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Surprise






Avec Mateo, nous étions toujours à ce stupide gala depuis un peu plus d'une heure maintenant

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Avec Mateo, nous étions toujours à ce stupide gala depuis un peu plus d'une heure maintenant.
Depuis notre arrivée, tout le monde nous regardait ce qui me donnais un sentiment d'inconfort.



Maria m'avait préparé et même si elle avait fait un travail magnifique, je ne me trouvais pas belle. Selon moi trop de choses n'allaient pas chez moi, j'avais l'impression de ne jamais être assez bien. Je me trouvais trop grosse, mes cuisses étaient énormes, j'avais un nombre incalculable de cicatrices et j'avais ce stupide nom de famille qui était entrain de me gâcher la vie.



La seule chose que j'aimais à peu près chez moi étaient mes longs cheveux bouclés que je trouvais magnifiques.



Alors que j'étais toujours dans mes pensées, je sentis une main se poser sur mon épaule. Je me retourna alors brusquement :



- C'est juste moi pourquoi t'es si tendue ? Tu t'attendais à voir quelqu'un d'autre ? lança Mateo.




- Je ne pensais pas que tu me poserai une question aussi stupide un jour. J'ai l'air de connaître quelqu'un ici ?


- J'espère pour toi que non. rétorqua-t-il sèchement. Suis moi, je dois voir quelqu'un.



J'hocha la tête et on emprunta des escaliers avant d'arriver devant une grande porte.




- Tu m'amènes où ? J'ai le droit de savoir tu ne trouves pas ? demandai-je.




- Ferme ta gueule et tu auras l'occasion de le savoir par toi même.




Je leva les yeux au ciel face à son impolitesse mais ne répondu rien. Mateo poussa la grande porte et elle nous mena directement à un gigantesque salon. Tellement la pièce était immense, on ne pouvait pas tout voir en un coup d'œil :



- Fermes ta bouche tu baves. rie Mateo.





- Tu ne peux pas me laisser vivre en paix ne serait-ce que pour quelques secondes ?




A la suite de ces mots, j'entendis de petit pas se faire sur le sol luxueux du salon. L'attente se faisait longue mais la personne se rapprochait de plus en plus de moi. Je voulais savoir qu'elle était son intention alors j'attendis sur place.





Puis je sentis ses doigts décalés en douceur mes cheveux bouclés et son souffle chaud taper contre ma nuque. Je n'avais même pas besoin de me retourne pour savoir de qui il s'agissait.



- Non te voir énervée est beaucoup trop tentant pour ça.



Je me tourna alors prête à rétorquée quand la porte s'ouvrît de nouveau sur un homme que je n'avais pas vu durant la soirée :




𝑪𝑶𝑳𝑶𝑴𝑩𝑬𝑺, 𝑬𝑵𝑵𝑬𝑴𝑰𝑬𝑺 𝑫𝑼 𝑪𝑨𝑹𝑻𝑬𝑳Où les histoires vivent. Découvrez maintenant