Mateo, un richissime mafieux est obsédé par un trésor. Il a toujours cru que cette quête lui était destinée à lui et à lui seul. Ameerah est une jeune femme vivant dans la misère et qui est prête à tout pour s'en sortir.
Comment réagira-t-il en app...
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Ce matin je me suis levé très tôt pour ne pas qu'Ameerah me voit à son réveil. J'ai passé la nuit avec elle et même si sa me fait chier de l'avouer, j'ai super bien dormi. Je ne sais vraiment pas ce que m'a fait cette fille je la déteste et m'en fou royalement d'elle, mais je ne peux pas m'empêcher de vouloir la découvrir de plus en plus.
Aujourd'hui est le dernier jour que j'ai accordé à Ameerah. Si elle ne me donne pas les informations qu'elle a sur le trésor, je me ferai un grand plaisir à torturé Pablo. Pourquoi pas elle directement ? Tout simplement car Ameerah se sentira coupable, responsable et sera donc obligée de cracher le morceau.
- Qu'est-ce que tu fais là toi ? dis-je en apercevant Gabriel descendre les escaliers.
- Je fais tout pour éviter Maria depuis qu'elle m'a gifler alors comme elle est en haut, je suis venu en bas.
Je souris face à cette information. Tout les deux ont toujours étaient comme chien et chat, avant ils ne pouvaient pas s'empêchés de se provoquer malgré tout l'amour qu'il y avait entre eux.
Je sais que Maria conçoit son départ comme une trahison mais elle ne connaît pas les raisons qui l'ont poussés à partir.
- Arrête un peu tu sais très bien qu'elle ne te ferai jamais de mal. dis-je en souriant.
- Mateo, tu connais ta sœur mieux que moi. Tu sais donc de quoi elle est capable.
En réalité, je ne la connaissais plus comme avant alors non, je ne savais plus de quoi elle était capable. Avec le temps, Maria avait l'air d'avoir beaucoup changée et sa me fait mal de ne plus trop la reconnaître, même si c'est totalement de ma faute.
...
- Mateo j'aimerai te parler.
Alors que j'étais dans mon bureau, Maria toqua à ma porte et me dis qu'elle voulait avoir une discussion avec moi. J'arrêta donc ce que j'étais entrain de faire et me concentra sur elle :
- Assis toi. dis-je.
Elle prit place en face de moi.
Et je déclara :
- Avant que tu ne dises quoi que ce soit, j'aimerai m'excuser pour ce que je t'ai dis à la mission. Je ne le pensais pas vraiment, j'étais juste inquiet pour toi.
Je ne suis pas quelqu'un qui m'excuse mais je ferai tout pour Maria. C'est mon sang et ce que je possède de plus précieux.