39- Larmes

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Larmes








La conversation que j'ai eu avec Gabriel plus tôt dans la journée m'avait vraiment contrariée

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La conversation que j'ai eu avec Gabriel plus tôt dans la journée m'avait vraiment contrariée. Comment il avait pu tolérer ça ? Comment ils avaient tous pu tolérés ça ?






J'ai été assez méchante lorsque je lui ai fait comprendre que Maria avait bien fait de le quitter et je sais que sa lui a fait de la peine mais je ne le regrette pas.








Je ne suis pas débile, je suis sûr que les potes de Mateo étaient tous au courant et qu'ils n'ont rien tentés pour le stopper. Je ne sais pas s'ils savent qu'il est malade mais dans tout les cas sa maladie n'excuse en rien le comportement ou devrais-je dire les comportements qu'il a eu envers moi.








Actuellement avec Maria nous nous déhanchons sur la piste de danse. Nous n'avons pas trop l'occasion de sortir a cause de tout ces hommes jaloux et possessifs qui nous entourent alors nous comptons bien en profiter ce soir.









Les musiques s'enchaînaient et nous ne quittions plus la piste de danse. Je dansais à n'en plus finir tandis que mon corps transpirait. Ce soir, je ne voulais pas être celle qui se mutilait, qui appartenait à une mafia, qui devait trouver un trésor et surtout :









Celle qui se forçait à sourire.







Quelques mecs avaient essayés de m'approcher mais à la vu du regard assasin que leur jeter Mateo du carré VIP, ils ont rapidement renoncés à l'idée et malgré moi, j'avais aimé ça. Le fait qu'il soit jaloux me plaisais et je me détester pour ça.







Je ne devais pas ressentir de telles sentiments et surtout pas après ce qu'il m'avait fait.








Après deux heures et demies sans avoir quitter la piste de danse, je décida d'aller au bar tandis que Maria, elle, continua à danser.







- Salut beauté me lança le barman qu'est-ce que je te sers ?









Enfin quelqu'un de chaleureux sa change. A force de vivre qu'avec des mafieux complètement aigri, avec le visage serré sa fait du bien de voir des personnes enjouées.








- Hum un coca zéro s'il te plait. répondis-je en souriant.









L'homme me servit ma boisson et je la bus d'une seule traite avant de regagner la piste.








Je dansais tout en me caressant de haut en bas lorsque je sentis un regard en particulier sur moi. Je releva la tête et croisa le regard sombre de Mateo. Pour ne pas changer, ses sourcils étaient froncés et ses pupilles étaient dilatées.









𝑪𝑶𝑳𝑶𝑴𝑩𝑬𝑺, 𝑬𝑵𝑵𝑬𝑴𝑰𝑬𝑺 𝑫𝑼 𝑪𝑨𝑹𝑻𝑬𝑳Où les histoires vivent. Découvrez maintenant