Mateo, un richissime mafieux est obsédé par un trésor. Il a toujours cru que cette quête lui était destinée à lui et à lui seul. Ameerah est une jeune femme vivant dans la misère et qui est prête à tout pour s'en sortir.
Comment réagira-t-il en app...
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- Jefe, il y a quelqu'un pour vous.
Putain c'est vraiment pas le moment de me faire chier en me rendant des visites. J'espère que c'est vraiment important, je n'ai pas envie d'égorger des gens aujourd'hui, j'ai clairement d'autres choses à faire.
J'arriva près de l'entrée et vis un homme qui m'avais l'air assez apeuré.
Je m'approche de lui et lui demanda sur un ton agressif :
- T'es qui et tu veux quoi ?
L'homme se mit à trembler face à mon ton et me fixa avant de déclarer :
- Je-je viens de la pa-part de Ma-Mateo.
L'homme parlait avec un léger accent, signe qu'il ne me mentais pas, il devait vraiment venir d'Italie.
- Il veut quoi ? Abrège j'ai pas le temps. dis-je en allumant ma clope.
- Il retient Pablo et-et comme tu avais un accord avec lui Pablo se-se porte garant pour Mateo. Mateo ne s'attaquera plus jamais à la Colombie à condition que tu signes ces papiers.
Je suis à deux doigts d'éclater de rire. Ils me prennent clairement pour des cons. Pour commencer, l'accord que j'avais avec Pablo a prit fin à la seconde où Mateo a détruit son cartel.
Je suis pas con, je sais très bien que dans tout les cas, Mateo ne tiendra jamais cet accord. Il est trop assoiffé par l'argent, le trésor et le pouvoir. Bien sûr que tout le monde aime ça, ce n'est même pas une question, mais lui, il vit vraiment que pour ça.
On dirait que rien d'autre ne le stimule. Mais moi j'en ai complément rien à foutre. Ce n'est pas pour ça qu'un jour il me fera peur, loin de la.
Il a trouver plus fou que lui.
L'homme me tendis des papiers que je déchira directement. Il me regarda stupéfait et se mit à trembler de plus belle. Je sortis ensuite mon arme et lui tira une balle entre les deux yeux.
Simple et efficace.
- Nettoyez tout ça et envoyez lui la tête.
Mes hommes hochèrent la tête et s'activèrent pour faire ce que je venais de leur demander.
Je sais pertinemment que je viens officiellement de lancer une guerre en refusant son accord mais encore une fois, j'en ai rien à foutre.
