60- Négocions

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Négocions





Nous sommes tous les trois installés au salon depuis quelques minutes maintenant

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Nous sommes tous les trois installés au salon depuis quelques minutes maintenant. Après avoir hurler sur Ameerah, Gabriel m'a calmé et depuis, plus aucun de nous n'avait prit la parole jusqu'à ce qu'Ameerah décide de le faire :


- Tu me proposes pas à boire ? Je t'ai connu beaucoup plus accueillant Gabriel. lança Ameerah avec un sourire.

- Marina amène des boisons s'il te plaît.
dit Gabriel.

- Pourquoi t'es revenu ? m'empressai-je de lui demander.

- Tu ne me demandes pas : « Salut Ameerah, depuis que je t'ai laissé pourrir ici sans même essayer de trouver une solution ça fait longtemps ! »


- Non parce que j'en ai complètement rien à faire de ça.


- Arrête, je suis vexée. dit-elle ironiquement.

Marina revint avec les boisons, nous servit puis partie.

- Plus sérieusement, j'aimerai parler avec Gabriel en privé.

C'est vraiment la personne la plus audacieuse que je connaisse. De quel doit elle se pavanait dans la maison de mon frère qu'elle a lâchement abandonné et se permettait d'exiger des choses ?


- Tu peux le dire devant ma femme je n'ai rien à lui cacher. répondit Gabriel.


- C'est très important. ajouta-t-elle.


- Tu n'as pas entendu ce qu'il a dit ? Je reste alors parle devant moi ou sors de cette maison.

- Maria laisse nous.

Quoi ?

- Mais- tentai-je avant qu'il ne me coupe :

- Laisse nous s'il te plaît. répéta-t-il.

Je quitta la pièce à contre coeur, sous le regard victorieux d'Ameerah.









...







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𝑪𝑶𝑳𝑶𝑴𝑩𝑬𝑺, 𝑬𝑵𝑵𝑬𝑴𝑰𝑬𝑺 𝑫𝑼 𝑪𝑨𝑹𝑻𝑬𝑳Où les histoires vivent. Découvrez maintenant