Mateo, un richissime mafieux est obsédé par un trésor. Il a toujours cru que cette quête lui était destinée à lui et à lui seul. Ameerah est une jeune femme vivant dans la misère et qui est prête à tout pour s'en sortir.
Comment réagira-t-il en app...
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Ameerah est partie en furie dans sa chambre. J'ai donc décidé de la laisser un peu seule afin qu'elle puisse se retrouver avec elle-même, et j'ai demandé aux autres de faire de même.
Tous ont respectés ma demande, à l'exception de Maria, qui s'est précipité pour la rejoindre.
Au bout de quelques heures, je toque à sa porte. Elle m'invite à entrer, et je la vois rire en compagnie de sa nouvelle amie Maria. Je suis plus que confus ; elle vient de perdre sa grand-mère, sans doute l'être le plus cher à ses yeux, mais elle semble loin d'être en deuil.
Elles tournent leurs têtes vers moi, et Ameerah lance la discussion :
- Tu veux quoi ? Prononce-t-elle d'une voix glaciale.
- Hum, je tiens sincèrement à te présenter mes condoléances. Je sais que c'était un être cher à tes yeux, elle ne méritait pas une telle mort. Je suis désolé qu'il ait dû en arriver là.
À la fin de ma phrase, elle me regarde simplement pendant quelques instants, avant de jeter un rapide coup d'œil à Maria, puis elle se lève lentement.
« Putain, cette femme causera définitivement ma perte. »
Elle s'avance d'une démarche lente, sensuelle et féminine à la fois, et quand elle se trouve enfin devant moi, elle me tourne autour tout en posant sa main sur mon corps, avant de me chuchoter à l'oreille :
- Toi et moi, enfin ce semblant de relation qu'il y avait, c'est fini. Même si pour moi ça n'a jamais vraiment commencé.
Mon visage se décompose à la suite de ces déclarations :
- Tu veux dire que tu n'as jamais rien ressenti pour moi ? Je demande, incertain d'avoir bien compris.
Elle tourne une de mes mèches de cheveux avant de répondre, droit dans les yeux :
- Non, je me servais juste de toi pour m'enfuir. Mais comme j'ai promis à Maria de rester, notre petite utopie est malheureusement terminée. De plus, tu n'es qu'un homme faible, tu n'as même pas essayé de me défendre face à Pablo.
Putain, j'ai l'impression d'avoir été pris pour un con. Je m'approche alors d'elle jusqu'à ce que l'on devienne totalement collés, puis je lui siffle à l'oreille :
- Tu es à moi et à personne d'autre. Si tu me rejettes, tu le regretteras. Maria t'a sûrement chuchoté des choses à l'oreille, mais sache au moins qu'elle ne veut pas ton bien, contrairement à moi. Elle est simplement jalouse de toi, de moi, de nous. Et en ce qui concerne Pablo, ne t'inquiète pas pour ça.
Elles se mettent ensuite à rire avant qu'Ameerah me force à quitter sa chambre.
Je ne m'inquiète pas plus que ça ; elle et moi, c'est loin d'être terminé.