37- Folie

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Folie







Hier, Mateo m'a donné la lettre qui  je suppose a soigneusement été écrite par mon géniteur mais je n'ai toujours pas eu le courage de la lire pour une raison qui m'échappe

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Hier, Mateo m'a donné la lettre qui je suppose a soigneusement été écrite par mon géniteur mais je n'ai toujours pas eu le courage de la lire pour une raison qui m'échappe.


Mateo n'avait pas menti. Dès le lendemain de son annonce, il nous avaient tous attendus dans la salle d'entraînement et à ma plus grande surprise, je découvris des personnes que je n'avais encore jamais vu ici.


Je savais que Mateo possédait beaucoup de personnes à ses côtés mais je ne m'attendais pas à en voir aujourd'hui et surtout pas autant.


En me levant se matin, Maria ma questionner sur mon pansement au cou. J'ai simplement prétexté que je mettais blessé et elle ne m'a pas plus poser de questions. Intérieurement je remercie Mateo d'avoir effectué mon autre cicatrice sur un endroit assez intime pour ne pas que les autres le remarque.



Je ne sais même pas pourquoi je n'ai pas dis la vérité à Maria. Je suppose simplement que j'ai trop honte pour avouer ce qu'il m'a fait même si au fond de moi, je sais que ce n'est pas ça mais le simple fait de penser que sa pourrait être quelque chose d'autre me terrifie.




Mes pensées furent soudain interrompues par l'intervention d'une voix grave :




- Pourquoi tu restes planter là ? Viens avec moi.




A contre coeur, je le suivis car je savais que de gré ou de force, j'allais finir par faire ce qu'il me demandait.




Il m'entraîna dans un des coins de la pièce et me regarda de haut en bas avant de froncer les sourcils.



- C'est quoi cette tenue ?



J'inspecta ma tenue de haut en bas qui était composé d'un jogging blanc ainsi que d'un tee shirt assez moulant de la même couleur avant de lui répondre à mon tour :




- Qu'est-ce qu'elle a ma tenue ? prononçai-je d'une voix assurée.




- Le tee-shirt est beaucoup trop serré et le jogging moule trop ton cul. Tu veux que tout mes hommes te mates ou quoi ?





Il n'avait pas tort et même si j'avais maigri ces temps-ci, certaines parties de mon corps ne voulaient toujours pas s'en aller à mon plus grand désespoir.





Mais par fierté, je fis semblant de ne pas être d'accord :





- Tu dis n'importe quoi et puis c'est mon corps après tout alors j'en fais ce que je veux que ça te plaise ou non.





𝑪𝑶𝑳𝑶𝑴𝑩𝑬𝑺, 𝑬𝑵𝑵𝑬𝑴𝑰𝑬𝑺 𝑫𝑼 𝑪𝑨𝑹𝑻𝑬𝑳Où les histoires vivent. Découvrez maintenant