Un jeu dangereux.
AVANT DE COMMENCER JE VOULAIS JUSTE VOUS REMERCIER DES 10K, C'EST PEUT-ÊTRE PAS BEAUCOUP POUR VOUS MAIS POUR MOI C'EST ÉNORME ! CHAQUE JOUR DES PERSONNES DÉCOUVRE L'HISTOIRE ET JE SUIS TROP CONTENTE. VRAIMENT UN GRAND MERCI À CELLES QUI ME LISENT DEPUIS LE DÉBUT !! MILLE MERCI POUR LES 10K ❤️
-Diana-
- Oui.. oui c'est vrai, lui avouai-je avant de détourner mes yeux.
Mais c'est un truc de fou d'ouvrir sa boca comme ça, mais dans quel but tu vas raconter ma vie et surtout un passé que j'essaye d'oublier ? J'étais vraiment entouré de mauvaises personnes c'est n'importe quoi.
- C'est bon maintenant que tu sais la vérité, ça va te donner plus de raison de m'insulter de pute et de salope c'est ça ? lui dis-je.
- Non.. Je t'avoue que je suis contre l'avortement mais je suis personne pour te dire quoi faire et encore je ne sais même pas si les circonstances étaient bonnes pour avoir ce bébé donc je me tais.. je voulais juste savoir si c'était bien vrai ce qu'on disait sur toi Diana, me dit Flavio avant de se rapprocher de moi.
- Tu joues à quoi Flavio ?
- Tu ne m'as pas tout dit, je sais qu'il manque des détails à ton histoire, raconte-là moi s'il te plaît, dit-il en plongeant ses yeux bleus dans les miens.
Il veut m'ensorceler je le sais mais ça va pas le faire, j'ai pas envie d'en reparler.
- Non arrêtes Flavio, j'ai pas envie de parler de ça.
- Est-ce que c'est le mec qui t'avais frappé ? me demanda-t-il.
- Non, pas du tout, lui ce connard je l'ai connu à mes vingt ans, lui confiai-je.
- Tu ne manges pas ma tropézienne ?
- J'ai pas besoin de la manger devant toi, lui répondis-je avec insolence.
- Elle était bien ta soirée hier ?
- Je suis restée chez moi à rien faire, jusqu'à ce que Thomas vienne me tenir compagnie.
- Thomas est venu ici hier ? me demanda Flavio en fronçant les sourcils.
- Oui pourquoi ? Ça te pose un problème ?
- Eh Diana, pourquoi t'es obligée d'être sur la défensive comme ça avec moi ? me dit Flavio en se levant du canapé.
- Ah parce que comme je t'ai avoué l'histoire qu'on t'a raconté maintenant je dois te parler normalement ? répliquai-je.