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-Diana-
- Joyeux noël hormiguita, me chuchote Flavio à l'oreille.
- Joyeux noël dude, lui dis-je en retour.
Il m'embrasse le front puis on finit par s'endormir.. ou du moins essayer parce que y'a un petit être humain qui n'a pas fait sa nuit, j'étais grave explosé et Flavio a décidé de s'en charger donc je me rendors comme un bébé.
Le lendemain, Flavio était à mes côtés avec Wayle dans les bras et il jouait avec lui.. mais le mec n'a pas dormi ou quoi ?
- Tu dors pas ? lui demandai-je.
- Non, je suis tellement content que je n'arrive pas à dormir, m'avoua-t-il.
Je lâche un mini sourire et j'admire mon fils, des fois par moment, je n'arrive pas à réaliser que je suis mère, c'est trop bizarre.
Je me lève du lit et je vais faire ma toilette, j'en profite que Flavio soit là pour quand même prendre un eu soin de moi, parce que je vous jure être épilé d'une seule aisselle et pas l'autre parce que vous avez un enfant en bas âge à surveiller c'est trop difficile mais je ne me plains pas.
- Vas-y laisse je vais prendre le relais et toi va dormir, dis-je à Flavio.
- Non, je suis en forme t'inquiètes.
- T'es trop bizarre, continuai-je.
- Je suis amoureux c'est tout, répliqua-t-il avant de me tirer vers lui.
On était tous les trois sur le lit et on regardait la télé.. lol c'est la télé qui nous regardait ouais ! Parce que monsieur Flavio n'arrêtait pas de prendre des photos par ci et par là, alors que je n'étais même pas un peu apprêté.
- Mais t'abuses regarde ma tête ! lui dis-je.
- T'es magnifique dans n'importe quelle circonstances, me complimenta-t-il.
- Tu dis ça parce que t'es amoureux c'est tout, répliquai-je.
- La ferme, t'es une magnifique femme.. t'es une magnifique mère et t'es la plus belle à mes yeux ! continua-t-il avant de me smacker.
- Mon fils me ressemble, dis-je tout fière.
- Mort de rire, où tu vois de la ressemblance ? Il ressemble à ma famille mais pas à toi, dit-il en rigolant.
- Pff, tu verras quand il va grandir il va me ressembler et en plus ça va être un fils à maman, j'ai trop de chance !
- Tu rigoleras moins quand il viendra d'abord dans mes bras avant de venir dans les tiens, me nargua-t-il.
