Goundo: Vais-je avoir une vie heureuse ?

Chapitre 47: Mams ?

2 mois plus tard, Novembre.

Je sais je sais je vous passe encore une longue période. Mais c'est parce qu'on arrive à la fin de mon récit. Dans quelque chapitres nous allons nous abandonner. Vous allez faire votre vie et moi la mienne mdrr. Bref.

Laissez moi vous détailler c'est 2 mois. Franchement 2 mois de fatigue intense. J'étais très très fatigué. Lamine à 11 mois m'embete énormément. Il a commencé à marcher. Il dure assez longtemps pas de ouf mais c'est déjà ça du coup il fou le bordel. Salim ça va il suit à l'école et il est tranquille sauf quand il joue avec son frère. Les deux sont terrible. Je passe mon temps à crier leur prénom dans la maison et c'est pas mes parents prennent leur défense. En mode « Goundo laisse c'est des enfants ». Mdr d'accord. Ils ont qu'à bien profiter qu'on vive chez mes parents encore. Après ils seront foutu.

Sinon ma soeur va bien. La bonne nouvelle c'est qu'elle est enceinte de 1 mois. J'étais trop contente pour elle. La famille s'agrandit. Franchement trop fière. Mon frère va bien ça bouge pas. On se parle pas trop trop mais y'a du Bonjour et au revoir c'est déjà ça.

Haby madame la grosse est à son 8eme mois. Elle souffre fort mais elle fait aussi souffrir tous le monde.
L'autre fois à 3h du matin elle m'a appelé en pleure. J'étais affolé et très fatigué parce que mon plan c'était je prie je redors. Mais pas du tous. Elle pleure soit disant elle va mourrir si je lui ramène pas des gâteaux et que son mari veut pas aller lui en acheter. Et patati et patata. J'ai craqué j'ai dis « Haby là là c'est chaud. ». Elle m'a dit « s'il te plaît Goundo je ferais ce que tu veux ». Du coup bah c'est ma pote donc j'ai capitulé. J'ai  pris un paquet que j'avais à la maison et je suis partis lui amener ça. Son mari m'a dit que je devais même pas lui amener qu'elle a des foutaises. Et elle m'a répondu de pas faire attention à lui. Si j'étais pas fatigué j'allais rire mais là voilà. Au final après bah j'étais rentré chez moi et j'ai tellement dormis. Waw ! J'ai tapé un vrai coma.

Sinon moi je vais absolument bien. Je pete la forme.  L'argent rentre, la santé est là donc que demander de plus? Concernant l'amour alors là... vous voyez les deux amis de Bafodé. Si je vous dis que chaque jours ils viennent c'est vraiment chaque jours. Je me fais harceler par eux et par tous le monde c'est un truc de ouf. Du coup pour l'instant j'ai pas craqué et je prend sur moi mais bientôt je vais les insulter pour qu'ils comprennent que moi faut pas me saouler.

J'étais sortis vite fais ce matin pour aller à la pharmacie acheter du Doliprane quand j'ai vu en bas de chez mes parents Mams et Serou accompagné d'autres personnes. Et là quand j''ai vu Mams j'me suis rappelé de lui. Enfaite lui je l'ai complètement oublié. Ce que j'aime bien c'est qu'il n'a pas forcé comme les autres. Et il me met pas la pression. Alors quand je l'ai vu j'me suis dis que peut être je dois lui donner une chance.

J'me suis avancé vers eux non pas pour Mams mais pour Serou. Je suis obligé de lui parler même si je devrais plus parce que je ne suis plus marié à son frère étant donné qu'il n'est plus vivant mais quand même. Il nous a payé le voyage. Il a été très présent pendant le voyage aussi. Franchement j'le remercierais jamais assez.

Quand je suis arrivé à leur hauteur Mams s'est mis à me fixer droit dans les yeux. Et je sais pas quoi mais il a un truc dans le regard qui déstabilise. Du coup j'ai baissé le regard quelque seconde jusqu'à ce que Serou dise mon prénom et que je le regarde.

Serou: Goundo?

Moi: hm..oui?

Sérou: Ca va ?

Moi: Oui oui désolé j'étais dans mes pensés. Qu'est ce que tu fais là ?

Sérou: Je suis venu saluer tes parents avec quelques potes à moi comme j'étais à côté.